Août
Un petit one shot que j’espère efficace 😉
10h23En plein mois d’août…Ce qu’il y a de bien au mois d’août c’est qu’il n’y a personne .On n’est pas dérangé.On travaille à son rythme.Et on peut même se permettre de petites digressions. Il fait chaud, du coup je ne suis jamais très couverte.J’imagine que les gens voient mes jambes nues pas la vitrine.Je me demande si ils se demandent ce que je porte sous ma robe.Je me demande si ils se demandent si je ne porte rien.Ils doivent voir mes tétons dressés sous le tissus fin. Si ils sont un peu curieux ils doivent savoir que je ne porte pas de soutien gorge. Et ils doivent se demander si c’est un « ensemble » assorti…Il commence à faire très chaud, heureusement qu’aujourd’hui les collègues sont sur chantier, je peux me toucher discrètement. Mes mains glissent le long de mes cuisses.Légères.Douces.Je sens déjà mes lèvres bien ouvertes, je sens que je coule déjà sur ma chaise de bureau.Mais je ne veux pas venir maintenant.Je tire les rideaux fins derrières mon bureau, je ne voudrais pas qu’un passant voit – ou peut être que si, mais ce sera pour une prochaine fois, avec ces grandes vitrines, il y a du potentiel… – je tire les rideaux avant d’enlever les bretelles de ma robe.L’une, puis l’autre.Je libère mes seins, qui n’étaient pas très enfermés…Je suis tellement excitée qu’ils sont tout durs.Le pointes presque noires, dressées. J’effleure mes tétons avec le dos de la main.Je frissonne d’excitation, d’envie.J’ai trop envie.Je prends mes deux seins dans mes deux mains et je les malaxe.Je les masse.Fort.À m’en faire mal, je veux avoir des bleus demain.Puis je masse mes tétons. Je les tire. Je les pince.J’entends comme si j’étais loin mes gémissements qui se font de plus en plus fort.Je sens mon excitation couler sur la chaise.Je remonte ma robe au dessus de mes cuisses, je suis pratiquement nue devant mon ordinateur, le tissu enroulé comme une ceinture autour de ma taille.Et j’enfonce d’un coup 3 doigts dans ma chatte ouverte et trempée.Je tremble.Je m’accroche à mon bureau pour ne pas tomber.Je sors les doigts de mon sexe et les porte à ma bouche, j’imagine que c’est une queue bien dure.Je suis sur excitée.Mes mains redescendent le long de mon corps, effleurent mes seins.Mais ne s’arrêtent pas.Je glisse un doigt le long de ma fente humide.Je le couvre de mouille bien grasse.Et je descends jusqu’à mon petit trou serré.Mon cul aspire ce doigt coquin et je crie.C’est si Bon.Entre la douleur légère et le plaisir extrême.Je me mets à quatre pattes sur ma chaise, mes mains deviennent folles je ne les contrôle plus.Clito.Chatte.Cul.Je n’ai pas assez de doigts.Pas assez de mains.Et mes doigts sont bien trop fins.Bien trop courts.Je sais que je n’arriverai pas à jouir sans queue.…Ce qu’il y a de pire au mois d’août c’est qu’il n’y a personne.