Docteur J.,  La Plume de Florean

Docteur J. – Chapitre 9 – Bonus

Le temple de Louise

J’ai le coeur qui bat la chamade et les mains qui tremblent. Des papillons battent furieusement des ailes dans mon ventre. Est-ce que je vais vraiment faire ça ?
Il ne m’a pas invitée à le visiter depuis la dernière fois. Je doute de l’innocence de ce soudain intérêt à ce que je vienne immédiatement dans son cabinet.
Je pousse la porte de la salle des infirmières et me dirige vers la salle à pas lents.
Talons hauts qui claquent sur le sol gris.
Blouse plus serrée que jamais sur mes mensurations trop généreuses pour être tout-à-fait contenues par la coupe droite, étroite.
Je ne porte rien dessous.
Rien du tout.
Je respire lentement.
Deux portes.
Une porte.
J’y vais ?
J’ai le trac.
Et l’envie.
Je frappe et entre.


Il est là, souriant et beau. L’air rieur.
Je me détends.
– Ah, Louise, enfin ! Nous sommes jeudi !
Je sais ce qu’il veut dire, mais je feins l’ignorance.
– Jeudi ?
Il sourit, rayonnant.
– Jeudi, oui, C’est le jour où vous me faites visiter votre Crypte, que j’ai décidé de rebaptiser « Temple de Sainte-Nitouche » ! Allons, vous êtes trop sexy ce matin pour ne pas y avoir pensé en venant ici !
Je rougis un peu en tirant sur ma blouse, ce qui ne fait qu’accentuer la forme de mes seins, qui ressortent davantage. Je ne sais pas comment les boutons tiennent, ils semblent prêts à craquer. Sainte-Nitouche… peut-être avant qu’il ne me propose de le sucer pour la première fois… mais plus maintenant…
Ma voix tremble en répondant.
– Ce ne serait pas raisonnable, docteur…
Il se lève et me rejoint. Je jette un oeil involontaire sur son entrejambe. Il le remarque, bien sûr. Une belle bosse déforme déjà le tissu du jean. Je déglutis. J’ai envie, j’ai envie…
Il me prend les mains et les embrasse tour à tour. Ses lèvres sont douces et chaudes.
– Raisonnable ! Ne l’ai-je pas été ? J’ai été la patience même, et vous connaissez ce philosophe du Moyen-Âge qui disait que la patience commence avec des larmes mais qu’à la fin on sourit ?
Je pouffe malgré moi.
– Quel rapport avec votre…scandaleuse… envie ?
– Et bien c’est aussi le cas de la sodomie. Enfin pas tout-à-fait, c’en est une juste une allégorie, évidemment. Et le gars a été canonisé, notez-le. C’est dire. Et puis… scandaleuse ? Nous parlons de Sainte-Nitouche ! Rien de scandaleux là-dedans. Enfin… quand je dis « là-dedans »… oh, si, ça convient parfaitement à la situation !
Il me prend dans ses bras.
Je l’embrasse immédiatement, vaincue, mais il l’ignore encore.
– Je…je ne sais pas…
Ses mains glissent sur mes fesses, soulèvent ma blouse lentement et caressent ma peau nue. Il cherche la ficelle du string. Il n’y en a pas.
– Voyez-vous ça. Prête à être visitée, au final, non ?
Il est ravi.
Je le regarde en souriant, provocante.
– Un simple oubli…
Il me gratifie d’un baiser profond pendant que ses doigts me parcourent intimement.
– Vous aviez raison, le Temple est ouvert aux visites le jeudi. Amen.
Je ris nerveusement.
– J’ai juste… oublié la culotte… je vous assure que… oh… docteur !
Il sourit en parcourant ma chatte d’un doigt joueur.
– …alors voyons-y un signe du destin. Tournez-vous, très chère, votre visiteur unique de la journée est arrivé.
Je l’embrasse goulûment.Il me flatte la croupe, que j’ai ronde et généreuse. Je résiste pour la forme.
– Docteur… pas trop vite… j’ai besoin d’une petite mise en bouche…
Je ne sais pas ce qui m’arrive. Je ne suis pas comme ça, d’habitude… peut-être est-ce parce qu’il me regarde avec ses yeux gourmands, l’air de savoir avant moi ce que je suis, ce que je veux. Certainement plus une Sainte-Nitouche, non…
– Oh… alors… quel goujat serai-je de ne pas vous satisfaire…
Je m’écarte et déboucle sa ceinture, stupéfaite par l’envie qui me vrille les reins. Je sens littéralement ma minette couler entre mes cuisses, c’est délectable et douloureux à la fois, il faut que je m’empale sur son dard, mon corps le hurle.
Je m’agenouille, jambes écartées, chatte à l’air, et baisse son boxer et son pantalon en même temps. Il déboutonne le haut de ma blouse, laisse exploser mes seins engoncés à sa vue et commence à les malaxer avant même que je n’applique mes lèvres, puis ma langue sous le gland gonflé. Est-ce que j’ai poussé le verrou de la porte ? Je le prends entier dans ma bouche et le presse dans ma gorge. Au diable le verrou. Si sa secrétaire coincée entre, je lui montrerai comment on peut satisfaire son patron.
Le pénis énorme me remplit et m’étouffe, je l’aspire, le gobe, le titille et l’avale jusqu’à en hoqueter. Il caresse mes cheveux, mes seins, mes lèvres autour de sa queue, il se prend au jeu et me tient la tête lorsque je veux remonter, il bat sur ma langue, je salive et bave à gros bouillons.
Je le recrache, essoufflée, un filet liquide va de mes lèvres à son sexe luisant. Je l’essuie de la paume et en lèche les pourtours soyeux. Il me relève et m’embrasse.
– Il n’y a pas à dire… vous savez faire plaisir… mais…
Il me fait m’asseoir sur la table et écarte mes cuisses. La blouse tombe sur ma minette et la cache. Il déboutonne juste ce qu’il faut pour la découvrir, nue, épilée de frais dans la douche de la salle des infirmières il y a quelques minutes à peine, de quoi booster mon envie de lui, d’un homme en moi comme jamais je n’ai eu encore.
– Parfait.
Je suis prête pour le pal, mais il me pousse contre le mur, pour mettre ma chatte affamée bien en avant, il se penche et…
– Mmmmmmmmm !
…parcourt la fissure inondée et sensible de la pointe de la langue. Son nez disparaît dans ma fente, remonte jusqu’au clito boursouflé, mon petit bouton secret si friand de ce type d’attentions…
Son pouce me surprend, cependant, il l’enfonce d’un coup sec dans ma moiteur, j’ouvre les cuisses, la respiration coupée un instant par le plaisir intense. Je me presse les seins, en étire les pointes, les fais darder, ses yeux sourient en fixant mes mamelons foncés.
– Oh… Venez… Maintenant…
Il sourit des yeux – sa bouche est toute entière perdue dans les vallons encaissés de mon sexe.
Sa langue parcourt encore la fente molle, remonte jusqu’au clitoris – je couine – puis sur le ventre jusqu’au nombril et aux seins, qu’il mordille avidement, je me cabre et me cambre, un rien délurée, je perds mes inhibitions, je veux juste le sentir en moi, vite.
Il bécote tendrement mon cou, ma bouche, relève mes genoux et applique sa queue contre mon vagin conquis.
– Je commence la visite ou je flâne un peu ?
Je comprends à demi-mots. Sodomie directe ou un peu de préparation ? Je suis venue pour ça, mais…
Il patiente en trempant son sexe aux abords du mien. Les peaux douces se redécouvrent, s’apprécient, flirtent, s’enduisent de plaisir gras et turgescent… il attend.
Je tends les lèvres vers lui. Il se penche et m’embrasse. Enfin, je respire et chuchote, le coeur au bord des lèvres :
– Le client est roi… Choisissez.
Il sourit en coin et me plante sa queue d’un coup sec dans la chatte. J’ai le souffle coupé. C’est divin.
– OH !
Il me plaque au mur, malaxe mes seins et me pistonne à grands coups de reins, c’est ce que j’aime chez lui, la recherche de sensations pures, sans chichis, sans fausse pudeur. Je relève les genoux, il admire sa bite fendre mon vagin et y disparaître jusqu’aux bourses avant de remonter presque à en sortir, je ne peux m’empêcher de regarder le sexe gorgé d’énergie, fascinée par son envie de moi, par mon envie de lui… il est voyeur, je le suis aussi. Si mon mari me voyait…
Il accélère le rythme, je m’accroche à ses bras, à ses épaules, je serre les cuisses et en suis récompensée par une explosion de plaisir qui érupte de mes reins et se diffuse dans mon corps entier, je jouis, comme toujours lorsqu’il me prend, en priant pour qu’il ne m’imite pas, je le veux derrière, je veux connaître ça avec lui, lui offrir ce cadeau.
Il sourit en m’entendant couiner, il ralentit, jusqu’à ce que j’aie eu mon content de ses coups de queue rageurs.
Mon coeur manque un battement. C’est le moment.
Il remonte ma blouse sur mes seins et sort lentement son sexe poisseux de ma chatte comblée sans quitter ma poitrine presque cachée du regard. Je ne m’étonne pas, c’est plus sexy ainsi.
– Je… je me retourne ?
Son sourire est si doux et plein d’ironie à la fois…
– Je crois… que ce ne sera pas nécessaire…
Il glisse sa queue entre les lobes de mes fesses, juste sous ma chatte et commence à pousser sans forcer.
– Détendez-vous… le petit oiseau va rentrer…
Le mélange de sueur et de mouille est tel que je m’ouvre immédiatement, le gland est happé tout entier en un instant.
J’inspire d’un coup sec.
– Ououuuuh !
– Cui-cui.
Je ris de manière incontrôlable. Cui cui ?
Il s’enfonce par à-coups délicats. Il mate mon cul, une sueur légère couvre son front.
— Je continue ?
Je me pince les tétons très fort en relevant davantage les cuisses.
— Oh… oui… bien sûr… la visite… ne fait… mmm… que commencer… oh…
Il pousse encore et encore. Je m’allonge, des étoiles dans les yeux.
Il pose sa main à plat sur ma chatte glabre et y enfonce un pouce long et épais en écrasant mon clito sans concession.
J’aime. Je m’ouvre à la petite double-pénétration. Et je commence à gémir pour l’encourager.
— Mmmm…
Je souris en réalisant que je suis sodomisée par mon patron, je profite pleinement de ses caresses, de ses doigts qui me pénètrent le chaton, de sa queue qui m’emplit le derrière, qui m’écartèle le cul.
Il me replie les genoux et il coulisse en moi, m’empale sans concession sur la table étroite.
— Comme ça, ce sera parfait, ma chère…
Je ne contrôle plus rien.
Il se baisse, m’embrasse à pleine bouche et me visite de fond en comble.
Je me retiens de crier.
— Encore… encooore… encooore… oui…
Les coups de reins se font plus puissants, plus rapide, il se redresse et admire tour à tour sa queue qui me déchire, mes mains sur mes seins dressés, ma chatte ouverte et trempée… La table cogne contre le mur, des coups sourds qui rythment les allers et retours du sexe qui m’embroche, qui me ramone, qui me défonce délicieusement.
Le plaisir monte en une vague soudaine. Je jouis sans y être préparée, des pieds à la tête.
— AH ! AH !
Mes cris résonnent dans le bureau exigu. Je pense vaguement à la secrétaire, de l’autre côté de la porte, mais le docteur accélère ses coups de boutoir et plante à nouveau son pouce dans ma chatte.
— OUI !
Sa respiration devient un râle rauque, sa queue enfle soudain dans mon petit trou, il vient en spasmes douloureux et délicieux à la fois, inondant mes intestins d’une douce chaleur, saturant mon cul d’un sperme gras et dégoulinant.
Il sourit, le visage couvert de sueur.
— Fin… fin de la visite… j’ai retrouvé la foi en visitant votre Temple.
Je ris et l’attire à moi.
— Encore…
Il m’embrasse langoureusement.
Ses mains soupèsent mes seins et les malaxent tendrement.
— Encore ? Voyons… est-ce que par hasard vous seriez d’astreinte cette nuit ?
Je me cale sur sa queue qui désenfle lentement.
— Non, mais je peux l’être.
Il sourit.
— Soyez-le. Cet édifice est décidément une merveille et, maintenant que j’y pense, je n’ai pas pensé à prier pour Sainte-Nitouche.
Je ris.
— Vous le ferez cette nuit.
Son sourire s’élargit.
— Ne le prenez pas mal, mais ça m’étonnerait…
Il pousse une dernière fois son sexe entre mes fesses.
Il a raison. Je ne suis plus une Sainte-Nitouche.
J’attrape le téléphone et appelle mon mari pour le prévenir que j’ai une longue nuit de prévue.
Le Docteur J. me sourit et recommence à enfler en moi en me pelotant les seins.
Il accélère quand mon mari décroche.
Je me mords les lèvres en souriant.
— Chéri ? J’ai un petit empêchement pour ce soir…

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