La Plume de DJoy,  La Plume de DJoy et Florean,  One-Shot,  One-Shot

Un peu de correction(s)

De DJoy pour Florean

Elle s’est allongée sur le lit alors que j’étais déjà en train de travailler. Sa pose est presque nonchalante, comme un accident, mais je me demande… j’ai l’impression qu’elle a tiré sur sa jupe pour me montrer sa culotte… un accident, vraiment ? Elle a cette jupe à plis, bleu foncé, ses chaussures à talons, ce chemisier blanc – qu’elle porte sans soutif, je déteste quand elle sort comme ça, même si elle me fait bander jalousement…la courbe parfaite de ses seins tend le tissu trop serré et ses tétons transparaissent, épais, énormes, gonflés par le frottement du vêtement et, très certainement, par un désir mal dissimulé. Que d’autres garçons puissent la voir ainsi me rend malade. Qu’elle s’habille ainsi juste pour me faire bander me rend fou.
Je fais mine de rien et me replonge dans mes copies. Il faut vraiment que je finisse ça pour demain, elle le sait, elle était prévenue, mais elle est venue quand même.
Quand je lui ai dit – on communique par sms, la plupart du temps, aucun de nous n’aime le téléphone – elle m’a répondu :

« Je prends mon ordinateur, on travaillera à côté et on se fera des câlins quand tu auras fini ! »

J’ai eu beau lui répéter que ça me prendrait toute la soirée et que je ne voulais vraiment – vraiment – pas qu’elle s’ennuie, elle n’a rien voulu savoir.
La vérité n’est pas tant que je ne veux pas qu’elle s’ennuie, mais plutôt que je ne peux pas travailler en ayant envie de la déshabiller et de la prendre d’un coup sans même prendre le temps d’enlever mes chaussettes.

Je déglutis. Voilà que je bande, maintenant. Une phrase attire mon attention sur la copie. « En 1789, Louis XVI convoque les Etats Généreux ». Je ricane. C’est mignon. Je griffonne « Généraux ! » et passe à la réponse suivante.

Elle tire sur sa jupe et me révèle le haut de ses bas blancs. Je lui souris en secouant la tête. Son sourire est joueur.

– Tu es incorrigible.
Elle fait l’innocente.
– Quoi ?

Je baisse la tête vers mes copies sans répondre. Encore une de corrigée. La délivrance approche.


Elle a débarqué chez moi il y a une demi-heure. Elle a sonné à la porte et j’ai ouvert, à moitié ennuyé, à moitié heureux. Inquiet surtout de ne pas pouvoir finir mon tas de copies, c’est vraiment important, les livrets sont à rendre le 15, si je ne termine pas je suis dans la panade… Elle s’est jetée dans mes bras et s’est accrochée à mon cou. L’étreinte s’est prolongée pendant plusieurs minutes, cela fait quelques jours qu’on ne s’est pas vus, c’est aussi pour ça que je n’ai pas eu le cœur de refuser de la voir ce soir. Mon bas-ventre a réagi violemment aux milles baisers qu’elle a l’habitude de picorer dans mon cou, elle aime mordiller mes oreilles brièvement puis me prendre les lèvres pour des baisers qui n’ont rien d’innocents… Ses mains ont glissé dans mon pantalon, malgré la ceinture serrée et j’ai répondu à cette attention avec l’ardeur du manque de sexe et de câlins… ma queue a glonflé dans ses mains tandis que je cherchais des miennes le chemin de ses pentes douces et de ses creux et lobes rebondis, comme muées par une volonté propre. Mais quand je me suis saisi de ses seins lourds, elle a rompu le baiser en riant :

– Tu as du travail, non ?

J’ai lutté contre l’envie féroce de lui appuyer sur les épaules pour qu’elle descende me sucer, là, dans l’entrée. Elle a retiré sa main de mon pantalon et m’a guidé vers la chambre, un sourire coquin au coin des lèvres. Elle marchait avec ses talons dans la maison, en accentuant exagérément le balancement de ses hanches – son petit cul parfait et délicieux roulait sous sa jupe.

Je l’ai suivie, conscient que mon trouble et mon envie risquaient de m’empêcher de travailler … Elle a soulevé sa jupe pour me révéler ses fesses rondes et blanches, soulignées par un simple string blanc… Mon érection était à son comble, je la maudissais presque d’être si bandante !

Elle a ri en rebaissant sa jupe.

– Sois sage, voyons… au moins jusqu’à ce que tu aies corrigé toutes tes copies…
Et elle a passé la langue sur ses lèvres en déboutonnant deux boutons de sa chemise – celui du bas et celui du haut…

Son nombril… son décolleté.

J’ai repris mes copies, la queue en feu, les couilles douloureuses… un mal de garçon puissance 26.
Elle a cet effet-là sur moi.
Et le problème, c’est qu’elle le sait.


Elle est presque sage, maintenant.
Je suis assis au bord du lit, je corrige mes copies sur mes genoux. Elle est assise en tailleur, sa jupe remontée, bas et culotte visibles, mais elle sent que j’ai besoin de calme, alors elle se décide à aussi travailler, comme elle me l’a promis.
Elle se met à quatre pattes sur le lit, jupe relevée sur son cul blanc et attrape son ordinateur dans son sac.
Je fais mine de me concentrer sur mes copies. J’ai une vue royale sur la ficelle du string qui plonge entre les fesses pâles.
Elle se rassied, ajuste sa jupe et pose le portable sur ses jambes en tailleur. Sa position est étudiée… ses cuisses aux bas blancs m’attirent presque plus maintenant qu’elle les cache… je me prends à imaginer qu’elle a ôté le string et que sa chatte nue coule librement, dissimulée par l’ordinateur.


Elle ne tape rien, elle lit juste, fait rouler la souris vers le bas, lit encore.
Sa respiration se fait plus rapide, plus haute.
Je me demande soudain ce qu’elle lit.
C’est une coquine, parfois.


Toutes les trois ou quatre copies, je m’étire et l’autorise à me détourner de ma corvée…  une petite digression, un sourire, un baiser sage – si tant est que nos baisers le soient –  une caresse légère… A chaque fois, je découvre son chemisier un peu plus ouvert, et ses joues un peu plus roses… Elle se trémousse, elle a changé de position, elle serre ses jambes croisées, je sais ce que cela signifie… elle a une manière bien à elle de se faire plaisir seule… ça ne m’aide pas à me concentrer !. Je sais qu’elle mouille. Qu’elle a tant envie que je pourrais la prendre d’un coup, m’enfoncer en elle d’une traite, ma queue entière l’empalerait, mes couilles cogneraient contre son vagin trempé, je sais qu’elle n’aurait pas mal… au contraire même… c’est ce qu’elle aime… atteindre tout de suite le point culminant… ça, et un peu plus… pas de tabou avec ma belle… j’ai de la chance !
Je m’aperçois que je n’ai pas fait une copie depuis quelques minutes. Je suis sûr qu’elle regarde nos photos coquines, ou qu’elle lit des textes pas très catholiques. Elle a envie, et quand elle est comme ça, elle ne pense qu’à ça ! Je glisse discrètement la main dans mon pantalon pour redresser ma queue gonflée, engoncée dans mon boxer. Ça ne lui échappe évidemment pas. Je reprends mes copies. Il en reste une dizaine. Heureusement que je n’ai que 28 élèves !
Elle se tend, les jambes croisées, serrées, elle se redresse, les lèvres fermées, les yeux dans le vague. Je la regarde trouver son plaisir. Elle ferme son ordinateur dans un soupir et le pose à côté d’elle.

– J’ai envie.

Elle se met à quatre pattes sur le  lit, et vient m’embrasser. Le baiser est doux mais ferme, sa langue cherche la mienne, en demande plus…

– Tu as bientôt fini ? J’ai envie !

Elle a un sourire dans la voix. Un sourire coquin…
Je culpabilise et me maudis intérieurement. Je ne vais jamais finir mon tas de copies ! J’essaye pourtant.

– J’ai presque fini. Tu n’as qu’à… commencer… tu sais que j’aime ça.

Elle sourit et s’allonge sur le lit, à côté de moi. Sa tête est posée sur ma cuisse. Elle pose sa main sur ma braguette et tâte la grosseur rebondie qui ne demande qu’à sortir. Elle s’est allongée de façon à ce que sa jupe remonte haut, je vois un petit bout de tissu blanc, transparent d’humidité. Elle me regarde avec intensité, tout en faisant semblant de rien. Elle ne retire pas sa main, mais glisse l’autre jusque sa culotte. Elle fait tourner son majeur ostensiblement sur le string et ferme les yeux. Elle appuie et tourne, appuie et tourne… Je suis hypnotisé. J’aime la voir se faire plaisir seule. Ça m’excite. J’aimerais savoir chaque fois qu’elle mouille quand je ne suis pas là. Chaque fois qu’elle a envie. Chaque fois qu’elle le fait.
Elle se cambre soudain. Son haut ne tient plus que par un bouton, sa poitrine gonflée de son excitation manque de le faire exploser. Je vois ses tétons pointer à travers le tissu fin. Elle croise les cuisses et se tend, secouée de soubresauts. Je glisse une main et ouvre son chemisier. Ses seins sautent presque hors du vêtement. Ils sont rougis d’avoir été trop enserrés. Je les caresse et en étire les pointes. Elle écarte à nouveau les jambes et me montre mieux le string qui dessine maintenant parfaitement sa fente trempée. J’ai trop envie.

Je soupire à mon tour, et, sans poser mes copies, je me penche vers elle. Elle se soulève et m’attrape la bouche pour un baiser lourd d’envies trop longtemps contenues. Il dure et dure encore, elle y met toute sa jeune passion, j’y mets tout mon amour, nos lèvres se mangent, nos dents s’entrechoquent, nos langues dansent… les copies tombent sur le côté du lit. Elle s’en aperçoit et sourit, la respiration entrecoupée, haletante.

– Il faut que tu bosses.

Je mets un instant avant de regagner un minimum de contenance. Elle a raison.
J’ai la tête qui tourne. Où est mon stylo rouge ?
Elle se redresse, ramasse les copies, me les tend et, tandis que je tente d’y remettre de l’ordre, elle entreprend d’ouvrir mon pantalon, de défaire la ceinture et d’en ouvrir les boutons un à un.
Je tâche de me concentrer à nouveau tout en me laissant faire, curieux.
C’est rare qu’elle prenne les devants… ça vaut bien un peu de retard dans mes corrections…
Elle me libère de la gangue du boxer, sa petite main enserre mon envie dressée. Elle pousse un soupir de soulagement en commençant à me branler lentement mais fermement. Je serre les dents. « Etats Généraux. 1789 ». Bien. « Marie-Antoinette décapitée parce qu’elle aimait la brioche ». Je ris silencieusement. Ce n’est pas si faux. La main sur ma queue se fait plus pressante. Elle veut que je craque. Je n’en suis pas loin, mais je continue à m’accrocher à mon stylo.


J’aurais pu continuer à corriger si elle n’y avait pas mis la langue.


Toujours assis, je pose mon tas de copie et la regarde lécher mon gland du plat de la langue, un sourire satisfait aux lèvres. Mes doigts parcourent son dos creusé par l’excitation, découvrent ses fesses, toujours sous la jupe. Je m’étire pour essayer d’ôter le string, de tremper le majeur dans la fente lisse et grasse de mouille. Elle joue, m’empêche d’y accéder, refuse que j’enlève la culotte avant qu’elle ne l’ait décidé… je la laisse faire, c’est un fantasme masculine que de voir la jeune fille prendre les rênes, demander, se servir… Mais ma belle est un fantasme masculin à elle toute seule. Elle s’empare ma queue en ahanant d’un plaisir qui déborde, son souffle est chaud, sa langue câline. Elle tire sur mon pantalon. J’abandonne définitivement l’idée de finir mes corrections et capitule lorsque je vois sa salive glisser le long de ma bite en bouillons blanchâtres. Je me soulève pour l’aider à retirer pantalon et boxer alors qu’elle me garde en bouche et l’avale profondément jusqu’à ce qu’elle bute dans sa gorge. Elle reste ainsi le plus longtemps possible, essaye de me gober entièrement, puis remonte lentement le long du chibre tendu et luisant.
Elle me suce de mieux en mieux, ma petite coquine, elle me prend de plus en plus loin… j’ai envie de le lui dire, souvent, envie qu’elle me fasse venir rien qu’avec sa bouche et ses mains, qu’elle me fasse jouir sur ses lèvres, langue tendue… mais ce n’est visiblement pas ce qu’elle a en tête aujourd’hui… Elle suce et suce encore, elle m’aspire et m’enduit de salive grasse qu’elle essuie de ses paumes comme honteuse de sa gourmandise. Je caresse son dos, son cul, elle se cambre et me laisse accéder à sa culotte trempée de mouille. Un doigt glisse sous la ficelle du string, elle me mord la queue et se tend sur ma main…

– Mmm

Elle me lèche encore un instant le gland, puis s’écarte en m’embrassant sur les lèvres. Elle se met debout devant moi, et retire son string. Elle garde la jupe et le chemisier, toujours ouvert sur sa poitrine généreuse, ses petits gros seins pointant vers moi. Je les caresse.
Elle sourit et m’enfourche, s’empale d’un coup sur moi. Elle pousse un cri de surprise – de plaisir – de me sentir si loin au fond d’elle. Je l’embrasse passionnément en soufflant pour me contrôler, pour ne pas venir déjà, c’est trop bon, trop rapide, terriblement doux et excitant de sentir combien elle mouille, combien elle a envie de moi.
Elle appuie sur mon torse pour que je m’allonge, retire sa chemise et se blottit contre moi, mi-nue, tremblante. Je referme mes bras autour d’elle et la laisse me prendre longuement, ma queue au fond de son vagin humide, nous ne faisons qu’un, nous sommes enfin complets, entiers. J’accélère un peu pour  lui montrer mon désir, lui montrer que j’ai envie de plus. Elle se redresse et me chevauche de plus belle. Je mate ses seins rebondir au rythme de ses coups de reins. Je lève la tête et admire ma pine qui entre et sort des lèvres lisses, écartelées, son bouton de plaisir est rouge et gonflé d’excitation. J’y glisse une main, un pouce. Elle rejette la tête en arrière et gémit. Sa respiration devient  lourde et profonde, elle s’empale sur mon sexe de façon désordonnée, cherche son plaisir, je la regarde, j’aime qu’elle s’écoute, qu’elle se serve ainsi !.
Elle se penche vers moi pour m’embrasser, mes mains trouvent ses seins, les titillent, les pressent, je pince ses tétons.

– Plus fort…

J’obéis. J’hésite toujours, j’ai peur de lui faire mal, mais elle aime que je les étire et les pince très fortement. Je bande de plus belle en écoutant ses geignements, en sentant ses tremblements. Elle aime vraiment !
Elle me mordille les lèvres et se relève presque violemment, ses mains sur les miennes malaxent ses seins de façon brutale, elle se plante sur ma queue,  sauvage, ses cris de plaisirs emplissent la chambre, elle est proche de l’orgasme. J’accompagne mon petit amour dans ses mouvements de bassin, elle reste suspendue au-dessus de mon aine pendant que je lui fais l’amour à mon tour. Quelques coups de reins rapides la font partir, elle coule et s’écroule sur moi, agitée de soubresauts erratiques, je m’efforce de continuer à la combler pendant qu’elle jouit, tremblante, dans mes bras. Mes coups de bite rapprochés prolongent son plaisir, la laissent pantoise, la font jouir plus profondément, plus longtemps. Sa respiration est rapide et irrégulière, elle soupire son plaisir à mon oreille, je lui signifie le mien en la prenant encore et encore.
La tempête est passée, elle somnole presque contre moi, un sourire aux lèvres. Son corps se détend.
Je la serre dans mes bras, je la laisse reprendre ses esprits, je ne suis pas venu encore, mon corps réclame son dû…Je la fais bientôt rouler sur le dos, pantelante, la bouche entrouverte, les joues rouges, les cheveux défaits, les yeux fermés. Je m’agenouille sur le lit et présente ma queue à l’entrée de ses lèvres, elle ouvre la bouche par automatisme, et me gobe mollement jusqu’aux couilles. Elle passe une main sur mes fesses pour me retenir, elle aime sucer avec application, sa bouche gourmande aspire le gland découvert, elle aime goûter sa mouille sur ma bite, sa langue joueuse tourne autour de la tige dure et l’aspire avec une énergie retrouvée.
Je profite de l’instant pour découvrir d’autres lèvres avec mes doigts. Je glisse ma main entre ses seins, tourne autour de son nombril… Elle écarte les cuisses. Mon majeur s’y faufile. Elle est trempée.
 Elle me masturbe doucement, les yeux fermés, pour profiter de mes caresses. Je pousse ma queue sur ses lèvres, elle tire sa langue en souriant, me lèche sous le gland, là où la sensibilité réside, là où j’aime. Elle pourrait me faire venir juste en me titillant cet endroit assez longuement.
Mes doigts explorent le fond de son vagin, de plus en plus gourmands, de plus en plus rapides, elle se cambre délicieusement pour que j’aille plus loin. J’ai envie d’y mettre la langue… Je me retire doucement d’entre ses lèvres et ses mains et je passe ma jambe au-dessus de sa tête. Je la devine gourmande, elle sait ce que je vais faire… Elle cale un coussin sous elle pour me téter à nouveau alors que je me penche pour goûter à mon tour ses nectars secrets.
 Elle soupire d’aide dès que mon souffle approche sa chatte qui, d’excitation, s’ouvre en grand pour m’offrir le clitoris boursouflé et les petites lèvres humides.
 Je lèche l’intérieur des cuisses, je lape le clitoris, bois la mouille abondante, mon nez va jusqu’à découvrir l’anus… elle donne de petits coups de bassin désordonnés, pour que je descende, elle est toujours pressée, insatiable… Je peine à rester sur son clitoris… Je me mets sur un avant-bras pour pouvoir utiliser mon autre main pour la maintenir… et un peu plus. Sitôt que mon index la pénètre, elle recrache ma queue et plaque une main sur ma tête.

– Oh ! Mmm !

 Je souris et la lèche sans discontinuer du périnée au clito, elle agrippe ma queue en la serrant presque douloureusement. Ses jambes sont écartées à l’extrême pendant qu’elle jouit une seconde fois entre mes doigts, sous ma langue. Elle tremble de tout son corps, resserre des jambes autour de ma tête, m’emprisonne dans ses bras, entre ses cuisses, mes oreilles sont complètement tordues, j’ai presque mal !. Elle se détend soudain, terrassée par l’orgasme. Je souris entre ses jambes et me redresse, je me retourne pour l’embrasser, elle me sourit en grand, un peu groggy mais heureuse. Je me blottis dans ses bras, elle attrape ma queue toujours tendue et la caresse amoureusement. Elle sait que je resterai dur et prêt aux derniers outrages tant que je ne l’aurais pas inondée de mon sperme. Je me libère de l’étreinte, la retourne et la met sur le ventre. Elle soulève le cul et se met à quatre pattes, bien cambrée. Elle me regarde en  écartant d’une main ses petites fesses bien rebondies.

– Viens derrière.

Je place mes genoux dans les siens. Elle tourne son majeur luisant de sa jouissance toute fraîche autour de la pastille qui s’ouvre doucement sous la pression… Le Graal… Elle ne me l’offre jamais aussi ouvertement – il faudra que je pense à la faire languir plus souvent, ça a des effets plutôt agréables… – J’attrape ses fesses d’une main et présente ma queue devant sa chatte ouverte de l’autre. Elle retire sa main et se met sur les avant-bras, accentuant sa cambrure et mon envie de ses fesses.
J’humecte ma verge dans ses douces humeurs avant de me présenter devant le petit trou, au garde à vous. Je presse doucement sur la pastille. Elle s’ouvre lentement, très serrée – j’aime – ma belle a un mouvement de recul, je trempe à nouveau ma queue dans le vagin ramolli, puis je reviens devant le petit trou précieux, en passant une main entre ses jambes et la caresse doucement. Je la sens pousser sur ses fesses, j’admire le gland entrer tout seul dans l’espace étroit, le meilleur moment, celui de l’émerveillement d’avoir une compagne qui aime la sodomie pour de vrai . Ma pine bat deux fois, je me tend pour ne pas venir – c’est trop bon, trop excitant, ça me le fait chaque fois – je mets mes mains sur ses fesses pour reprendre contrôle de la pénétration- je ne veux pas venir sans la faire jouir – si je peux, encore – elle soupire fort et vite, se détend autour de ma queue, m’aspire en elle, elle aime aller jusqu’à la garde, je m’empresse d’essayer de la combler, au sens propre et au sens figuré. Son bassin ondule déjà du plaisir qu’elle m’offre et qu’elle prend.
Je vais et viens dans le fourreau étriqué avec un bonheur absolu, c’est un moule parfait de ma bite, je me sens pressé de toute part, les sensations sont décuplées par les gémissements profonds et les râles rauques de ma belle… Mes couilles tapent sur le vagin, je suis au fond, j’ai les yeux ouverts, je regarde ma queue dans l’anneau serré. Je reste ainsi un instant, je veux garder cette sensation de la remplir complètement, je veux qu’elle se détende complètement autour de mon sexe épais..
C’est elle qui reprend le mouvement, elle avance, recule, elle me montre qu’elle veut bien continuer, qu’elle veut plus. Avec un sourire j’attrape ses hanches et la lutine amoureusement, coquinement. Elle se cambre plus encore, pour me permettre d’aller plus loin au fond d’elle.

– Mmm…oh !

.Elle crie.
Au début, je me demandais si elle le faisait pour moi, ou parce que je lui faisais mal. Mais non. Elle aime juste quand je la prends derrière.
Elle accélère. Moi aussi. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps, sa bouche a fait des merveilles, et maintenant son cul ? J’attends de la sentir au bord de la jouissance – ce qui ne tarde pas à arriver – pour accélérer le mouvement. Je la sais proche de l’orgasme, je m’occupe du mien maintenant, attrapant ses fesses à pleines mains, je tire son bassin à moi, je la prends de façon presque bestiale, c’est peut-être les seuls moments où je la baise quand nous faisons l’amour, ce moment où je perds le contrôle, où je me sens partir, je l’entends crier plus fort derrière un voile de plaisir. Je sens ma respiration devenir rauque, elle s’affale sur le lit, je la suis, je la pilonne contre le matelas, les yeux sur ma queue qui s’enfonce plus loin au fond d’elle, je capitule, le plaisir monte de mes reins, de mon ventre, de mes couilles, toute la tension accumulée ces derniers jours me quitte d’un coup. Le sperme jaillit. Je me vide dans les petites fesses pâles, serrées autour de ma queue qui bat et bat encore. Une fois. Deux fois. Trois. Dix.
Je ris, à bout de forces et m’appuie sur ma belle. Je m’écroule presque, appuyé sur mes avant-bras pour ne pas trop l’écraser, juste heureux de la sentir sous moi, contre moi. Ma queue bat encore sporadiquement, je me vide de mes dernières gouttes dans la raie étroite. Elle soupire d’aise sous moi, chacun de mes battements lui arrache un sourire, une caresse, un baiser. Je souris dans ses cheveux, comblé, repu, pour un temps au moins.

– Merci.

J’ai chuchoté. Elle sourit silencieusement.

– Je t’aime.

Je hoche la tête et l’embrasse. J’attrape une serviette pour qu’elle ne tâche pas les draps et me retire d’elle doucement, pour m’allonger à ses côtés. Elle ne bouge pas, ouvre à peine les yeux, mais me sourit, comme elle me sourit toujours quand elle m’a comblé, quand je l’ai remplie, quand nous avons partagé un moment volé, de ce sourire plein et doux qui veut dire juste je t’aime et bien d’autres choses encore…

– Et tes corrections ?

Je ricane.

– Quelles corrections ?

Elle ferme les yeux en riant doucement alors que je l’embrasse sur le front. Elle ne se lève pas. Elle va rester pour dormir, elle sait qu’elle a toute la nuit encore, et peut être même le matin, pour être avec moi, pour partager un moment encore…

Je vais pour éteindre la lampe de chevet quand j’aperçois le tas de copies au pied du lit… il va vraiment falloir que je finisse de les corriger… Je presse le bouton et me retrouve dans le noir.

Elle bouge, grimpe sur moi et m’embrasse.

– J’ai encore envie.

Demain.
Peut-être.

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