La Plume de Florean,  Miss Camping

Miss Camping – Chapitre 5

Arrivées au mobil home, sous le regard des voisins curieux, qui ne manquèrent pas de reluquer les rougeurs sur mes seins et sur mes fesses, Laetitia me fit entrer, l’air gourmand.

– Attends-moi là, je vais prévenir mon mari. Il sera content d’avoir ce petit cadeau à la maison, mais je veux le prévenir qu’il n’est pas question que sa queue ne sorte de son slip, sinon il aura affaire à moi…

Elle sortit, et je m’effondrai en sanglots, massant doucement les zones où j’avais été fouettée. Mes seins étaient gonflés, mon cul chauffait terriblement, je ne m’étais jamais sentie aussi mal et aussi humiliée de ma vie.

– Tu es Coralie, la miss camping ?

Je me retournai. Un adolescent se tenait là, l’air incertain. J’essuyai mes larmes. Et cachai mes seins et mon sexe.

– Oui, répondis-je en reniflant. Comment es-tu entré, je ne t’ai pas entendu ?

– J’habite ici. Je m’appelle Axel. Tu connais ma mère, Laetitia… enfin… je veux dire…elle m’a dit qu’elle te connaissait, l’autre jour, quand tu étais… tu sais…sur le podium… et que tu as promis ces choses…

– Ah…

– C’est vrai que tu acceptes que tout le monde te voit toute nue ?

Je soupirai.

– Oui.

– Je peux te regarder ?

Il était si timide, si gentil, que je décidai de respecter le règlement que je m’étais infligé. J’abaissais une main, découvrant lentement mes tétons. Ses yeux devinrent gourmands, et descendirent pour voir mon sexe. J’enlevais aussi la main qui le cachait. Il s’approcha presque à reculons, et déglutit.

– Et ce que tu as dit, là, quand l’animateur te pelotait partout… que tu voulais bien que tout le monde te touche comme lui… c’est vrai aussi ?

Je souris tristement.

– Oui.

– Je peux te toucher ?

Je fis signe que oui, c’était aussi la règle que j’avais accepté… même pour un gamin à peine sorti de l’adolescence… mais pas beaucoup moins âgé que moi, finalement.

Il me caressa délicatement les épaules, descendit vers mes seins, qu’il malaxa un moment, avec une infinie douceur, me mit la main sur le ventre, et, pouce par pouce, trouva le chemin de ma chatte. Il effleura les lèvres nues, sans toucher à mon clitoris, ni les pénétrer, tournant sa main maladroitement, sans savoir probablement ce qui se cachait entre mes jambes.

Une de ses mains disparut dans son caleçon, d’où il sortit sa fine queue, toute dure et dressée, qu’il branlait en me dévorant des yeux, timidement.

-Je… je peux te sauter ?

Je sursautai. Quelle naïveté, c’était trop mignon !

– On ne dit pas ça à une femme, Axel.

Mais, pensai-je, on ne se masturbe pas non plus devant une femme inconnue…

– Oh, pardon, je suis désolé. Te voir comme ça, si près, si belle, j’ai trop envie, quoi.

Ce n’était pas dans les règles que j’avais juré de respecter, mais une pensée soudaine et méchante me vint à l’esprit… Laëtitia m’avait humiliée, battue, et ne voulait pas que je touche à son mari… que dirait-elle si je m’occupais de son fils…l’idée de cette petite vengeance m’émoustilla plus que je ne saurais le dire… ! J’accompagnai sa main vers les profondeurs de mon sexe. Je mouillais abondamment.

– On ne dit pas « je peux te sauter », mais « j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Demande-le-moi gentiment…

– Je… j’ai envie de faire l’amour avec toi !

J’accentuai la pression sur ses doigts, qui entrèrent plus avant entre mes lèvres. J’écartai les cuisses.

– Mmm… tu as raison, ce n’est pas assez excitant… dis-moi que tu veux me baiser…

– Je… je voudrais te baiser !

Ses doigts se dressèrent dans mon vagin, appelant une vague de plaisir bienvenue.

– Mmm…c’est mieux… tu as déjà baisé ?

– Non, mais hier j’ai vu Véro, ma sœur, qui se faisait lécher les seins par son petit ami, et je dois dire que si tu veux bien….

– Mmm… garde bien ta main où elle est… elle ressemble à quoi ta sœur ?

– Elle n’est pas très grande, très jolie, mais ses seins sont moins gros que les tiens… Tu es très belle, tu sais… alors ? Tu veux bien… euh… baiser… avec moi ?

Je sautais le pas. Je dégageai ses doigts de mon sexe, lui pris le visage et l’embrassai longuement. Une de mes mains attrapa sa queue déjà vigoureuse et je le branlai, pas trop fort pour qu’il ne me vienne pas dans les mains. Je voulais ma revanche, et son dépucelage serait ma victoire, sur Laëtitia, et sur Jean.

Je lui lâchai la bite et m’allongeai sur le lit du mobil home, écartant les jambes bien à fond.

– Lèche-moi, et je te lècherai après.

Il s’agenouilla entre mes jambes, et commença par m’embrasser timidement les lèvres, puis me donna des grands coups de langues sur le clito, de manière très maladroite. L’excitation arrivait très puissante, j’avais envie de cette jeune queue, de ma revanche, et de l’oubli du corps. Je pris sa tête et l’enfonçait dans mes lèvres, dans mon cul, sauvagement.

Je le vis s’activer sur sa queue, mais je ne voulais pas qu’il s’éjacule dessus. Je me relevai, l’embrassai encore, puis, à genoux, pris sa bite dans ma bouche. Je le suçai précautionneusement, découvrant chaque pli de son gland, titillant son méat et la zone sensible juste dessous, tout en me fouillant la chatte avec les doigts. Il gémissait, me demandant d’aller plus vite, mais je continuai à faire durer le plaisir, espérant que Laëtitia entrerait et nous trouverait ainsi, en plein ébats.

Je lâchais sa queue et me mis dos au mur.

– Tu vas me baiser debout, tu vas voir, c’est très agréable.

Je le guidais en moi, surprise par sa fougue, et pris sa bouche dans la mienne. Tant pis pour l’exclusivité dont jouissait Jean jusqu’à ce que je le voie sur la plage avec ses deux trainées. Ses mains agrippèrent mon cul, mes seins douloureux, et il me donna des grands coups de reins, qui déclenchèrent des vagues de plaisir auxquelles je ne m’attendais pas dans mon bas ventre. Ma chatte était trempée, il jouit dans un râle, en pressant mes seins plus fort que je ne pouvais le supporter. Je criai et jouis en même temps, accueillant son sperme en longues saccades. Je prolongeai le baiser, appréciant sa bite en moi, qui dégonflait doucement. Des gouttes de sperme tombèrent sur le lino du mobil home, je souris en pensant à la tête que ferait Laëtitia en les voyant.

Axel me serra dans ses bras adolescents en me chuchotant un « merci » tendre à l’oreille.

Je me dégageai de son étreinte, plus apaisée que quand j’étais entrée, le plaquait contre le mur.

Je m’agenouillai, pris sa bite dans ma bouche et entrepris de lécher tout le sperme qui y était encore collé. Il me regardait, satisfait et curieux.

Quelqu’un frappa à la porte.

– Axel ! Qu’est-ce que tu fais ? Véro nous attend !

Un des ados que j’avais sucé quelques heures plus tôt passa la tête, alors que j’avais encore la bite d’Axel sur la langue.

– Oh… je comprends, dit-il dans un sourire.

Je restai à genoux devant l’ado, un peu gênée. Axel rougit en disant :

– Coralie, je te présente Mickaël, le copain de ma sœur.

La nouvelle me fit sourire… si je dépucelais en plus le petit ami de la fille de Laëtitia, ce serait la cerise sur le gâteau…

– Nous avons fait connaissance, dis-je d’un air coquin. Je marchai à quatre pattes, cul en l’air, vers Michaël, lui abaissai le caleçon et regardai sa bite, encore molle.

– Tu veux encore que je te fasse un petit plaisir ?

Michaël n’en revenait pas, sa trique enfla d’un coup.

– Vous voulez bien ?

– Non seulement je veux, mais si tu dis les mots magiques, tu auras le droit de me… comment as-tu dit Axel ?

Axel rougit. Son sexe fin se réveillait aussi.

– De vous sauter.

– C’est ça.

– Oh oui, gémit Mickaël, laissez-moi vous sauter !

Je pris sa bite entre mes dents en chuchotant :

– Accordé !

Je finis de lui faire glisser son caleçon, tout en l’avalant lentement, tout au fond de ma gorge. Axel revint me caresser les seins et le dos, tandis que, croupe en l’air, j’allais et venais sur la trique de son copain. Je le gardais au fond de ma gorge, puis le libérais, laissant de grands filets de salive sur sa queue, puis je l’avalais à nouveau, lentement, profondément, délicatement.

– Oh, suce, ma jolie, suce encore !

Je lui souris en léchant son gland, le branlai encore plus lentement, en serrant bien fort sa bite entre mes doigts, récupérant ça et là une goutte qui n’était pas de la salive. Ces deux jours auront vu ma technique de fellation s’améliorer grandement… pauvre Jean, s’il pouvait en profiter…

Je léchai encore sa bite un moment, puis l’attirai à  moi pour l’embrasser sur la bouche. Ma langue se fit épaisse sur ses lèvres, tandis que ma main pressait son sexe brûlant. Le petit Axel ne savait plus où se frotter, je pris le temps de lui caresser les couilles, sans relâcher le baiser qui m’émoustillait agréablement.

– Alors, tu veux toujours me baiser ? demandais-je d’un air mutin. La bite durcit encore dans ma main.

– Oh oui !

Je me retournai, à quatre pattes, lui présentant mes fesses rondes et ma vulve mouillée.

– Alors prends-moi… avec douceur !

Il s’agenouilla derrière moi, écarta légèrement mes jambes pour pouvoir bien appuyer ses genoux, et, agrippant son bâton de joie comme une épée, le glissa en gémissant dans ma grotte chaude. Axel s’agenouilla devant moi, me présentant sa bite, que j’avalai sans problème en soufflant par le nez. Elle était encore amère du sperme qui m’avait inondé, et salée de ma propre jouissance. Laëtitia ne tarderait plus maintenant, elle nous trouverait ainsi, et sa colère me serait douce…

Michaël allait et venait en moi, je me sentais mouiller comme une adolescente en fleur, ses cuisses butaient contre mon cul qui me chauffait là où j’avais été fouettée. Il posait parfois ses mains sur les marques rouges et les pressait douloureusement, je m’empalais plus profondément sur lui pour lui faire lâcher prise, en gémissant de la brûlure qu’il m’infligeait ainsi. Il m’agrippa plus fort encore, devant penser que les gémissements étaient de la jouissance, et je n’osais le détromper, je voulais que cette première fois le marque à jamais, et que la petite Véro dont il avait léché les seins lui paraisse insipide à côté de la déesse du sexe qui l’avait défloré.

Ses râles devinrent plus lourds, ses coups de hanches plus violents. Je ne voulais pas qu’il vienne trop vite, Laëtitia n’était pas là !

Je sortis le sexe fin d’Axel de ma bouche, le gardant entre mes doigts, et, buvant toute honte, décidait de monter en puissance dans l’offre de sexe que je leur prodiguais.

– Attends, ne viens pas trop vite, tu ne voudrais pas que ton copain soit le seul à m’avoir sodomisée… ?

Il ouvrit les yeux d’un coup, n’en croyant pas ses oreilles.

– Tu… tu veux que je t’encule ?

Je grimaçai à peine, masquant tout juste la répulsion que cette idée pouvait encore avoir sur moi. Je l’avais déjà fait, malgré moi, je pouvais bien le refaire, volontairement, cette fois.

– Bien sûr, tu es si doux… Viens, je vais te guider…

– Je… pourrai aussi ? demanda Axel timidement.

Me faire troncher par deux mecs ne me tentait pas particulièrement, mais je ne voyais pas comment lui refuser…

– Chacun son tour, dis-je en attrapant la bite de Michaël dans ma main, par dessous, et en le menant vers mon petit trou.

Je le fis tourner un moment, écartant peu à peu mon petit anus tendre. Il n’y tint plus et s’enfonça comme dans du beurre, je criai encore, plus de surprise que de douleur. L’onde de plaisir qui me traversa était quelque chose que je n’avais encore jamais expérimenté, et je l’attirai en moi avec un enthousiasme non déguisé.

– OH OUIIIII !

Je repris la trique fine d’Axel et l’engloutis littéralement, le suçant, l’aspirant, l’inondant de salive, la caressant, la mordillant, la noyant de coups de langue, de dents et de lèvres, lui pressant la tige avec la main férocement. Michaël riait en me limant violemment, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde, murmurant des « merci merci merci » et des « prends ça salope » parfaitement incohérents. Avec ma main libre, je branlais mon clitoris jusqu’à me l’arracher, avalant de grandes lampées d’air entre deux coups de langue.

– Coralie !

Nous nous arrêtâmes tout d’un coup, Axel gémissant, prêt à venir dans ma bouche, son sexe battant au rythme de son cœur sur mon palais.

– Coralie, c’est Jean, je sais que tu es là !

Je fis signe aux deux garçons de ne pas bouger, je me clouai sur la bite de Michaël, bien profondément, et gardait celle d’Axel dans ma main.

– Entre, Jean, entre !

Mon mari poussa la porte, et resta là, hébété du spectacle que je lui offrais.

– Viens, ferme la porte. Le règlement de miss camping stipule que tu peux me toucher tant que tu veux, mais rien ne m’oblige à ce que tu me sautes. Regarde comme ils me baisent bien…

Je repris le sexe d’Axel dans ma bouche, et le suçai, comme si de rien n’était. J’incitai Michaël à continuer à me fourrager, ce qu’il fit sans trop faire attention à Jean, qui restait là, blanc comme un linge. Je lâchaisde temps en temps la tige d’Axel pour susurrer de la voix la plus suave possible :

– Oh oui, encule-moi plus profond, encule-moi, oh oui, oh oui, oh ouiiii…

Et je reprenais ma fellation. Axel explosa dans ma bouche, je le branlai sur ma langue, de manière à ce que Jean voie bien le sperme dégouliner sur mes lèvres. Un jet finit dans une de mes narines, je le laissai couler là, en suçant toujours. Michaël m’attrapa par le cul, à grands coups de reins. Il cria de plaisir quand il éjacula dans mes intestins, je criai aussi, jouissant à la fois de plaisir et de douleur, gardant autant que possible la bite d’Axel entre mes lèvres collantes.

Je regardai Jean en souriant. Apathique, il ne savait pas quoi dire, pas quoi faire, il restait là, les bras ballants, le choc drainant toute énergie hors de lui.

– Mais qu’est-ce que vous faites ici !?

Une blondinette taille mannequin, en maillot vert presque transparent venait d’entrer.

– Vé… Véro… bredouilla Michaël.

– Ce n’est rien, Véronique, dis-je, j’ai juste proposé à ton petit ami et à ton frère de perdre leurs pucelages avec moi, devant mon mari. Je dois dire qu’Axel ne m’a pas menti, tu es vraiment très belle… montre-nous tes seins ?

Véronique n’eut pas la réaction escomptée. Elle donna une grande claque à son frère.

– Toi, tu sors, et tu vas voir maman ! Si tu ne lui racontes pas ce qui vient de se passer toi-même, c’est moi qui le ferai, et ce ne sera pas beau à voir !

Axel sortit en courant, remettant maladroitement son caleçon taché de sperme.

Véronique ferma la porte, poussa le verrou. Elle se dirigea vers Michaël, penaud, qu’elle gifla à son tour.

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