Alice Merveille,  La Plume de Florean

Alice Merveille – Chapitre 3

Le traitement du docteur Wolf

J’ouvre la porte de la maison, court vêtue. Une minijupe serrée, un petit top sans soutien-gorge qui moule avantageusement mes seins. Un rien de maquillage – trait noir sur les yeux et gloss rose sur les lèvres – et des talons hauts qui accentuent la cambrure naturelle de mon dos et mettent en valeur mes fesses. Russel dort dans le salon, épuisé.

– Miss Wunder ? Prête pour votre visite hebdomadaire ?

Je souris et dis en chuchotant:

– Ah, docteur Wolf, entrez.

Il ôte sa veste et entre. C’est un bel homme aux yeux bleus, barbe de trois jours, cheveux ras. Bien fait. Je ferme la porte à double-tour et le mène dans le salon en me déhanchant exagérément.

– Mon mari est absent, personne ne nous dérangera. Je me déshabille ?

Il sourit.

J’aime son sourire.

– Ce ne sera pas nécessaire.

– Mais j’ai envie !

Son sourire s’élargit.

– Vous avez toujours envie, miss Wunder. Votre problème ne s’arrange pas, manifestement. Vous prenez votre traitement ?

Je rougis un peu, un sourire d’excuses sur les lèvres.

– Juste la culotte ? S’il-vous-plaît ?

Wolf hoche la tête.

– D’accord. Est-ce que vos avatars sont présents ?

Je lui tourne le dos, je serre les jambes, remonte ma jupette et ôte ma culotte en lui présentant ostensiblement mon cul rebondi. Je jette un oeil vers la porte. Rudy est là, une main dans le pantalon. Je lui souris.

– Vous excepté ?

Il sourit.

– Répondez juste à ma question.

– Russel dort sur le canapé. Rudy, mon jeune voyeur, nous espionne. Il aime me regarder en cachette.

Je me penche en avant, cul à l’air, en écartant légèrement les cuisses pour que le docteur puisse voir mes lèvres intimes par dessous.

– Je vous plais ?

Il me caresse les fesses des yeux. Je passe un doigt dans ma fente humide en frissonnant.

– Beaucoup. Mais je ne suis pas là pour aggraver votre état. Pourquoi Russel dort-il ? Ça ne lui ressemble pas.

Je me cambre davantage. Il va craquer, c’est sûr. Un de mes doigts disparaît dans l’antre chaud. Il le suit du regard.

– Vous le savez bien. Les hommes dorment après l’amour.

Le médecin sourit.

– Il n’est pas réel.

Je me redresse et me retourne, le doigt joueur.

– Ne dites pas ça devant lui, il le prend mal.

Je m’agenouille.

– Ouvrez votre braguette.

Il soupire.

– Miss Wunder, si je vous donne ce traitement, ce n’est pas pour que vous l’ignoriez… Cette molécule fonctionne très bien, à condition que vous la preniez.

Je déboucle sa ceinture. Il est en érection, je pose la main sur la bosse généreuse.

– Laissez-moi avaler votre grosse pilule. J’en boirai le sirop en plusieurs gorgées, et l’aspirerai jusqu’à la dernière goutte, promis.

Il se recule, mais pas avant que j’aie déboutonné le premier cran de son jean.

Il ne le reboutonne pas. Je souris.

– Tenté ?

Il secoue la tête.

– Vous êtes tentante. Et mariée. Et malade. Asseyez-vous.

La porte s’ouvre et Samantha entre, royale dans sa robe rouge de pin-up des années 50. Rudy rougit d’être découvert, queue à la main, corps musculeux couvert de sueur. Quand il se branle, il ne fait pas semblant. Je soulève ma jupe pour son seul bénéfice. J’adore l’exciter ainsi. Mathilda passe la tête par la porte. Rouquine, elle a un short en jean et un t-shirt rose bonbon qui dessine ses tous petits seins. Elle est nouvelle ici et aime expérimenter toutes les joies que l’on peut procurer à son jeune corps. Samantha la toise d’un regard soupçonneux, mais ne fait pas de commentaire. Elle se tourne vers moi, autoritaire, tandis que Mathilda rejoint Russel, qu’elle entreprend de réveiller par une fellation maladroite.

– Obéis-moi, Alice. Mets-toi à genoux. C’est un pervers, celui-là. Il te veut soumise.

Je hoche la tête et m’agenouille docilement. Le médecin fronce les sourcils. Samantha fait de l’effet aux hommes, même s’il ne peut la voir.

– Miss Wunder ?

La pin-up sourit, l’air sombre.

– Tu vois ? Il aime les soumises, celles qui se taisent, celles qui ne font pas de vagues et qui ne vont pas tout raconter à leur mari le soir venu. Montre-lui tes seins et mets les mains dans le dos, sans le regarder dans les yeux. Timide. Désorientée. Tu appréhendes.

J’adore Samantha.

Je tire sur mon petit haut et libère mes seins. Mes minuscules tétons dardent d’envie, les pointes noires dressées sur les pommes d’amour, sucrées, appétissantes.

Je place mes mains dans mon dos en fixant le sol, comme apeurée de la suite.

– C’est ça… avance vers lui, à genoux, il te désire, son pantalon va se déchirer si son sexe enfle encore… Il ne veut juste pas prendre le risque que tu dises tout à ton mari.

Je gonfle la poitrine et j’obéis à Samantha. Soumise. À genoux. Timide. Je ne le regarde pas droit dans les yeux pour ne pas rire.

– Miss Wunder… Reprenez-vous…

Samantha chuchote:

– Promets lui qu’Alex ne saura rien.

Je hoche imperceptiblement la tête.

– Ne vous inquiétez pas. Mon mari ignorera tout de ce que vous me ferez subir. S’il-vous-plaît…

Samantha applaudit, le son étouffé par ses mitaines noires.

– Très bien, il va mordre.

Il lutte encore.

– Miss Wunder…

– J’ai fermé à clé.

– Oui, mais…

– Je suis ouverte à tout…

– Miss…

– …partout…

– …de grâce…

– …vous n’avez qu’à vous servir. Attachez-moi. Bandez-moi les yeux. Faites de moi ce que vous voulez…

Je me tourne et soulève ma jupe, les mains toujours dans le dos, épaules au sol tête tordue, regard implorant. Je m’allonge sur le sol frais, le cul en l’air, les cuisses écartées légèrement. Il respire difficilement, les yeux sur ma chatte trempée d’envie grasse et luisante, sur mon petit trou offert sans tabou ennuyeux.

Il s’humecte les lèvres et fait deux pas vers moi, me dominant de toute sa taille, un colosse antique au-dessus de mes petites fesses dodues.

– S’il-vous-plaît… possédez-moi, soyez mon homme, mon maître…

Ma voix est plaintive et suave. Samantha approuve silencieusement, je lui fais un clin d’oeil discret.

– Très bien, puisque c’est ce que vous désirez…

Je cambre le dos, il admire ma croupe parfaite.

– Mmm… venez…

Wolf déboutonne le reste de son jean et le baisse en même temps que son slip noir.

Je contracte la chatte d’impatience en voyant la verge énorme bondir à l’horizontale et rester ainsi bandée, prête à m’empaler. Mon gémissement n’est pas feint, cette fois.

– Ouh… mmm… vite…

Il s’agenouille derrière moi, me caresse le dos et replace ma jupe sur le haut de mes fesses, l’air hypnotisé.

Il guide sa queue dans ma raie bien dessinée et joue un instant sur la rondelle souple que les hommes aiment tant pénétrer, parfois violemment – j’aime, ces fois-là.

– Oh… venez, venez… juste-là, oui…

Il sourit enfin en poussant délicatement sur ses reins. Il me prend à sec… Ça me déchire, mais je me retiens de crier, Russel qui se fait toujours sucer par une Mathilda qui s’est enhardie, n’aime pas ça.

— Direct dans le cul ? Pour qui il se prend, ce type ?

Je me cambre. La queue est énorme. Jamais je n’en ai eu une aussi grosse par derrière. Le médecin m’écarte les lobes et me ramone résolument, jusqu’à la garde.

— Oh… oooh… plus loin… plus loin…!

Il ne dit rien, je n’entend que sa respiration rauque et les claquements de son aine contre mes fesses écartelées.

Je relève la tête.

Mathilda, la petite nouvelle, m’imite, son petit cul roux cambré devant Russel, le short baissé à mi-cuisse. Russel s’agenouille pour la prendre en me regardant d’un air de défi.

— Elle va le sentir passer.

Mathilda s’arc-boute. Sa voix est flûtée mais ses paroles ne le sont pas.

— Prends-moi d’un coup, c’est ma première fois !

Russel sourit sauvagement. Les vierges l’excitent. Il place son sexe entre les fesses étroites, il l’humecte de salive et pousse d’un coup.

La petite rousse à moitié nue grimace douloureusement.

—  Ouille…!

Elle se reprend et sourit, des larmes dans les yeux.

— Plus fort ! Ah ! OUI !

Russel s’exécute sans me quitter des yeux pendant que Wolf me sodomise allègrement.

Je joins mes cris à ceux de la petite.

— OUI ! OUI !

—  OH ! AH !

Le docteur m’agrippe les hanches et me prend comme un légionnaire prend une chèvre – je sais, j’en ai un parmi mes avatars.

Il râle et me lime, la sueur me coule le long du dos, j’ai le cul en feu, la chatte qui dégouline, la bave aux lèvres.

— Miss Wunder… Oh… Miss Wunder…

Russel porte Mathilda jusqu’à moi, la bite toujours profondément enfoncée dans sa pastille étroite. On échange un baiser fougueux en gémissant langue contre langue, ses lèvres sont pleines et épaisses, divines contre les miennes.

La queue enfle soudain dans mon anus écartelé et Wolf se vide en violentes saccades.

— Miss Wundeeeeer…!

Chaque jet de sperme est une agonie délicieuse, je m’ouvre davantage à chaque spasme pour accueillir la semence brûlante.

Mathilda se tend sous le coup de la jouissance, ses petits seins débordent du T-shirt remonté, Russel la laisse venir longuement avant de se vider à son tour en plaquant la rouquine contre le sol.

— Oh ! OH ! OH !

Je m’affale contre elle, le nez dans ses cheveux mi-longs. Wolf s’allonge sur moi, le chibre toujours bien planté dans la rondelle molle et rougie, agité de secousses faibles qui me vrillent plaisamment le ventre.

— Miss Wunder…

— Oui docteur ?

— Je crois que vous vous débrouillez très mal sans traitement…

Je ris, épuisée.

Russel se retire lentement de Mathilda. Samantha ôte sa culotte et entreprend de nettoyer son sexe encore enflé. C’est inhabituel de sa part… Serait-elle jalouse ?

— Docteur ?

Il se soulève difficilement et retire lentement son sexe de mon cul souillé de semence grasse.

— Mmm ?

Je me tourne, jambes écartées, chatte à l’air, bien visible.

— Pourrions-nous avancer notre rendez-vous de la semaine prochaine ?

Il sourit et s’agenouille pour me sucer à pleine bouche.

Je n’en ai jamais assez. Je ferme les yeux en espérant qu’il bande à nouveau pour me prendre avant qu’Alex ne rentre.

Il n’a pas répondu pour le rendez-vous, mais déjà il place sa queue sur ma fente trempée.

Je prends ça pour un oui.

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