La Plume de DJoy,  Les aventures de DJoy [ Moments Vécus]

Les fantasmes de DJoy – A trois

Fantasmes échangés avec un couple d’amis

Nathalie et moi sommes à moitié endormies dans la chambre, je ne sais pas tout à fait quelle heure il est, ni depuis combien de temps nous nous connaissons. Peut-être quelques heures, deux jours, ou alors quelques mois…

Ludovic est parti pour passer aux toilettes ou prendre une douche rapide mais on entend vite qu’il s’est mis au PC.

On ouvre toutes les deux un œil quand on t’entend, avec un petit sourire. Qui sait, peut être que ce moment existera, que vous aurez tous les deux lu, ou entendu, ces mots, et que du coup nous y penserons tous les 3 quand il arrivera.

À partir de là, mon imagination part invariablement vers deux scénarios possibles. Tous les deux commencent de la même façon.

Après le sourire viennent quelques mots échangés. Une remarque sur le fait qu’il est au PC puis quelques échanges autour de nos ébats partagés. Je suis sûre que j’aurai 1001 compliments pour Nathalie – au moment où j’écris je ne connais que ses mains. Les compliments sont vite appuyés de caresses, son corps nu et relâché est une invitation. Je lui demande si je peux l’embrasser, et quand elle acquiesce, ma bouche trouve la sienne tout doucement, nos corps se rapprochant au fur et à mesure que le baiser s’intensifie jusqu’à ce que nous nous touchions autant que possible, poitrine contre poitrine, cuisses emmêlées, mains respectives parcourant le corps de l’autre.

Parce qu’il faut respirer, nos bouches éventuellement se séparent et après un sourire, descendent dans nos cous…

C’est là que mes envies divergent.

Premier Scénario

Nathalie profite de cette nouvelle position pour me chuchoter à l’oreille qu’elle sait que Ludovic serait très heureux si je le rejoignais dans le bureau.

A l’idée je frissonne, je l’ai tellement imaginée elle, donnant du plaisir à son homme dans cette pièce là.

On en discute un peu, je m’assure de l’avoir bien comprise, des limites et des envies.

Après avoir confirmé une dernière fois que ça ne la dérange pas et qu’elle nous rejoint vite, je l’embrasse à nouveau et lui glisse un « Merci » dans la bouche alors que mes mains caressent encore ses courbes. Je me fais légèrement violence pour échapper aux plaisirs saphiques, et me lève. J’attrape un kimono long et enfile juste les manches, pas vraiment besoin de cacher quoique ce soit entre nous. Je jette un dernier regard vers Nathalie. Elle est allongée, yeux mi-clos et un petit sourire. Elle me regarde. Le tableau est sublime. Je souris aussi et je sors de la chambre, vers le bureau.

J’entrouvre la porte et je regarde ce que Ludovic fait, je vois qu’il n’a le casque que sur une oreille, il sait probablement déjà que je suis là. Je m’approche de lui par derrière, passe mes bras autour de ses épaules et embrasse son cou.

Je lui demande en chuchotant ce qu’il fait.

Il tourne le fauteuil dans ma direction et marque un temps d’arrêt. Je ne sais pas si il est surpris de me voir moi à la place de Nathalie ou si c’est ma tenue qui l’interroge. Le voile léger ne couvre rien mais cadre ma nudité complète. Les pans du tissu fluide tombent le long de mes seins et de mes cuisses, soulignant le creux de mes hanches, à peine visible. Je vois ses yeux s’arrêter sur mes seins et il sourit. Je ne peux pas m’empêcher d’embrasser doucement ce sourire là, juste du bout des lèvres.

C’est la première fois que nous ne sommes que tous les deux sans Nathalie et je vois que Ludovic n’est pas à l’aise. Je le rassure, sa femme arrive bientôt.

Il se retourne vers son écran un instant, une notification ou un son dans son jeu a dû capter son attention. Je repasse à l’arrière de la chaise de bureau et passe mes mains sur ses épaules, son torse.

Je croise les mains sous son kimono pour être contre sa peau, mon menton sur son épaule. Je regarde ce qu’il fait à l’écran. Je vois que Nath a écrit sur notre Discord à trois. Elle écrit qu’elle est d’accord, qu’il peut se laisser aller, qu’elle arrive dans cinq minutes. Elle ajoute un « je t’aime » et je souris dans le cou de Ludovic.

Ce dernier tourne la tête vers moi et me sourit. Je me mordille les lèvres en regardant ce sourire espiègle et ses yeux brillants. Il remonte le micro et fait pivoter la chaise, je me retrouve entre ses cuisses, les mains dans ses cheveux.

Il passe les mains sur ma taille, puis mes cuisses… je bascule un peu, perds l’équilibre, et me retrouve assise de travers sur sa cuisse, ses mains sur mon ventre, ses lèvres dans mon cou.

Je ris quand je réalise que le geste est pratiqué, que Nathalie doit probablement être dans cette position plusieurs fois par semaine, le désir turgescent grandissant se faisant sentir contre sa cuisse pendant que les mains de son mari réveillent son plaisir en parcourant sa peau.

Quand Ludo me demande ce qui me fait rire, je lui explique, et il sourit avant de m’embrasser.

Pendant le baiser, je tente de passer mes mains sous son kimono, mais la position ne le permet pas. Frustrée je me lève, et lui demande de se déshabiller. Il s’exécute en haussant les sourcils. Je regarde son corps se dévoiler. On pourrait croire que je le connais par coeur, à force de voir des photos, ou suite à nos moments partagés. Mais il y a quelque chose de différent à le regarder se dévêtir. Voir ses muscles bouger, sa poitrine se soulever sous la respiration haute.

Son sexe est dur contre son ventre quand il se rassoit.

J’enjambe le siège et ses cuisses pour m’asseoir face à lui. Une main de chaque côté de son visage, je me penche vers lui pour l’embrasser goulûment. Le baiser dure mais nos mains bougent peu. Les siennes ont trouvé une place au creux de mes hanches, les miennes parcourent ses cheveux et sa barbe.

L’excitation monte.

Nos bassins commencent à onduler.

Son sexe dur rencontre mon sexe doux.

Nos humidités se mélangent un peu.

Il commence à faire chaud et il devient moins évident de respirer dans notre baiser.

Je l’interromps en posant ma tête contre son front.

« Attends, il y a quelque chose que je veux faire.. »

Je descends des genoux de Ludovic, attrape le fauteuil pour le remettre face à l’ordi et je m’agenouille sous le bureau.

« Reprends ta partie » je lui dis, le regardant dans les yeux, mes mains déjà sur ses cuisses.

Ludovic remet le casque sur ses deux oreilles et prend la manette alors que je pose mes lèvres sur son ventre, ma joue frôlant le gland humide.

J’y vais doucement, pour le moment je ne touche pas sa queue. Mes mains frôlent ses jambes, son ventre, ce que je peux atteindre dans cette position contrainte. Mon nez plonge dans son bassin pour respirer son odeur, ma joue appuyant contre le mât gonflé.

Je vois son ventre se soulever, je recule mon visage pour relâcher de pression avant de passer la pointe de ma langue sous la tête rosée de son sexe.

Il grogne doucement.

J’englobe le gland, et relâche en aspirant.

Je lève les yeux vers le visage de Ludovic, il a déjà le regard vers moi… je hoche la tête pour trouver le meilleur angle avant de descendre doucement le long du mât. Je m’arrête lorsque mon nez effleure son ventre.

J’entends que Nathalie entre, je lève les yeux vers Ludo, sa queue toujours dans ma bouche, je vois qu’il ne sait pas qu’elle est là. Elle s’assoit dans le canapé, elle est nue, je pense à nos caresses dans le lit il y a quelques instants… J’ai chaud.

Je tente de me concentrer sur le plaisir que je suis censée procurer.

Je ferme les yeux et fait des allers retours avec ma bouche, en tentant de varier les sensations. J’aspire, salive, crache et appuie… avant de relâcher le sexe maintenant trempé.

Je regarde Nath qui nous observe. Elle a les jambes serrées mais les yeux brillants. J’ai envie de jouer avec elle maintenant.

~

J’enroule ma langue autour de la queue très dure, les yeux plongés dans ceux de Nathalie. Je retire ma bouche dans un bruit de succion, sa bouche s’entrouvre et je regarde le bout de sa langue passer sur ses lèvres, les rendant brillantes, appétissantes. 

J’ai envie d’elle… 

C’est ainsi que je me retrouve à quatre pattes, poussant le fauteuil du mari pour rejoindre l’épouse, de l’autre côté de la pièce.

Je m’arrête devant Nathalie, assise sur le canapé. Je m’agenouille, les fesses sur mes talons, les mains derrière mon dos. Je me redresse un peu pour lever mon visage vers elle et l’embrasser.

Nath, assise sur le canapé, se cambre. Pour se rapprocher de moi, elle écarte les jambes et s’avance au bout du canapé.

Je profite de l’occasion pour mettre les mains sur ses cuisses. Je les caresse pendant le baiser doux qui monte très vite.

La fellation m’a excitée au plus haut point, je sens l’air froid sur mon sexe bouillant et gras. La sensation me fait gémir dans la bouche de Nathalie, mes doigts se plantant dans la chair de l’intérieur de ses cuisses. Elle passe une main dans mon cou pour me maintenir près de sa bouche, alors que son autre main glisse, légère, entre mes seins.

Elle ouvre la bouche et glisse ses lèvres le long de ma mâchoire, je vois qu’elle regarde son mari, alors que ses ministrations continuent. Elle sourit sur ma peau, je frissonne quand j’entends le fauteuil bouger dans mon dos.

Les mains de Nath dans mon cou descendent sur mes épaules, entraînant avec elles le kimono, dernière pièce de tissu qui séparait notre trio de la nudité parfaite.

Le temps se fige un instant alors que nous nous regardons tous les trois, profitant du moment, matant ces corps qui nous excitent, les courbes sublimées par le désir.

Ludovic pose ses mains dans mon dos, et me replace face à Nathalie. Je presse mes mains à l’intérieur de ses cuisses pour les écarter alors que son mari m’appuie sur le bassin pour me faire me cambrer.

Au moment où je pose ma langue contre le pubis offert je sens le gland chaud franchir le col de mon sexe. Je grogne, lèvres tremblantes contre le clitoris de Nath.

Les mains de Ludo attrapent fort le creux de mes hanches, le contraste avec la lenteur de la pénétration me surprend. J’accentue la courbe de mon dos, pressant mon bassin vers le sien, m’empalant de quelques centimètres de plus sur le vît avec ce mouvement. 

Je me fige quand je sens les mains sur mes côtes se serrer plus encore. Il grogne et mon corps vibre. Les mains de Nath sont sur mes cheveux, tantôt caresses tantôt maîtresses, elle m’attrappe doucement pour caler ma tête contre sa cuisse. Ses doigts sur ma mâchoire m’empêchent de bouger, le regard fixé vers elle. Je vois qu’elle regarde son homme, lui fait un sourire et un signe de la tête. Les mains et les doigts se raffermissent sur mon corps, autant elle que lui, alors que le sexe de Ludovic me pénètre très très très lentement. Je pulse et me contracte plusieurs fois avant même que le bassin ne claque contre mes fesses pour la première fois. Je m’étrangle autour d’un gémissement… Je sens chaque changement de texture, de diamètre, chaque veine contre mes parois internes. 

Le bruit de la pénétration est humide, obscène. 

L’odeur de nos envies emplit la petite pièce, tous mes sens ainsi obnubilés, ancrant mon corps plus encore dans le moment partagé. 

Les doigts de Nath passent dans mes cheveux doucement avant de s’enrouler autour de mon cou. Elle attrape ma nuque, ses doigts fins en opposition aux grandes mains qui pressent mes hanches, ses doigts à la base de mes cheveux, caressent et orientent ma bouche vers sa peau. Je pose une main sur sa cuisse opposée et pose un baiser humide, bouche ouverte, sur la cuisse la plus proche. En relevant mes lèvres je prends le temps de mordiller un peu la chair, ses mains se tendent et agrippent mes cheveux. Je me déplace de quelques centimètres pour recommencer le geste contre son ventre. 

Lèvres légères, humides, baiser doux. 

Langue joueuse, qui tourne sur la peau douce,

Morsure brève, à peine perceptible.

J’écoute son souffle, je sens ses mains, j’attends qu’elle tire ou qu’elle presse, qu’elle guide mes actions en fonction de son désir. Si proche de sa fleur je sens son nectar, l’odeur emplit mon nez. 

Nathalie appuie sur ma tête, j’entrouvre les lèvres, le bout de mes dents attrape la peau fine du ventre et j’aspire. Son cri fait se contracter mon sexe autour de la queue de Ludovic. La sensation me fait gémir, lui, grogne sourdement. 

Les mouvements de bassin contre mon cul sont lents mais puissants, chaque coup fait s’entrechoquer nos trois corps. Chaque retrait me fait gémir sous le manque de l’intrusion. 

Heureusement que Nathalie me guide, je n’ai plus vraiment les idées claires. 

Ma langue trouve le bouton de plaisir alors que le rythme de Ludovic s’accélère. 

Je joue de mes dents un peu, de ma langue beaucoup.

Nos cuisses à tous les trois commencent à trembler, alors que nos corps se synchronisent, et que nos râles de plaisir se font de plus en plus pressants. 

Soudainement Ludovic se retire. Il m’attrape par les hanches et me fait enjamber les cuisses de Nath. Nos seins se frôlent, je pose ma tête dans son cou que je commence à embrasser. Je sens le sexe de Ludo glisser contre le ventre de Nath, il se recule et descend un peu afin de la prendre. Elle se cambre, son ventre et ses seins se pressant contre les miens.

Une main de Ludovic passe dans le cou de Nath, je vois ses yeux s’écarquiller et se plonger dans ceux de son mari. Elle prend une grande inspiration avant que Ludovic n’applique une légère pression sur sa trachée. Je n’ose plus bouger, plus respirer. Je regarde, fascinée, le visage changer, le regard vriller, je sens son corps changer de résistance… Ludovic lâche la pression. Je sens l’inspiration de Nath plus que je ne la vois, ses seins durs contre moi et son souffle erratique sur ma joue. Il se penche par-dessus mon épaule pour l’embrasser. 

Je moule le plus possible mon corps à celui de Nathalie, essayant de disparaître pour faciliter les mouvements de Ludo malgré le fait que je sois entre eux deux. Les coups de bassins de Ludovic sont stoppés par mon cul. Ses mains sont toujours agrippées à mes hanches. Je me redresse doucement en plantant mes genoux dans le canapé, les mains sur mon corps se relâchent, devenant caresses, et je m’agenouille à côté de Nath sur le canapé. Ludo profite de mon absence pour attraper Nathalie et l’attirer au bord du canapé, son sexe ouvert juste au bord. Il s’aligne et la pénètre d’un coup, tout en l’embrassant.

Je me fais toute petite, respiration contrôlée, mais j’ouvre grand les yeux. J’aimerai presque qu’ils oublient que je suis là. Les mains de Ludovic parcourent le corps de Nath, jusqu’à s’arrêter dans son cou, tournant son visage vers le sien pour mieux profiter de sa bouche. Les mains de Nath agrippent le canapé. 

Les coups sont de plus en plus violents et mon corps réagit. Je me cambre, les seins durs et les tétons dressés, mes cuisses s’ouvrent. Je pose lentement une main à l’entrée de mon sexe. En y sentant le désir accumulé je ne peux pas m’empêcher de gémir, la situation est juste incroyable. Je vous vois sourire dans votre baiser, vous m’avez entendu… Vous vous tournez vers moi en même temps, et je sens que je rougis sous vos yeux.

Une des mains de Ludovic passe sur le devant du cou de Nath, pendant que l’autre attrape sa main pour la poser sur son poignet. Vous vous regardez. Nath hoche doucement la tête.

Ludovic se plante au fond du sexe de Nath, puis je vois les muscles de sa mains se contracter. Nathalie a les lèvres légèrement entrouvertes, elle ne respire plus, et moi non plus. Je suis hypnotisée. 

Quand Ludovic relâche la pression, je vois le ventre de Nathalie onduler, et sa poitrine enfler sous l’entrée d’air soudaine. Je sens aussi mon excitation couler à nouveau contre mes cuisses.

Vous recommencez l’action deux, trois, quatre fois. J’ai l’impression d’être de plus en plus proche de vous, le nez pratiquement contre la joue de Nath. La cinquième fois, elle agrippe  mon avant bras dans sa main, et quand Ludovic relâche la pression, ses coups de reins deviennent à la fois puissants et erratiques. Les gémissements de Nathalie emplissent la pièce alors que je sens que vous cherchez vos orgasmes. Mes yeux parcourent vos corps tendus, c’est superbe. Dans un râle Ludovic tremble et jouit, emplissant le sexe de Nathalie de sa sève.

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