Les aventures de DJoy – Moment à 3 à Versailles

Inspiré d’un moment vécu, ma troisième rencontre avec ce couple chaud bouillant !

Debout dans le salon ..

Les habits qui tombent peu à peu ..

Merida au milieu ..

Moi au milieu ..

Le plaisir d’être coincés entre deux corps…

Le plaisir de passer une cuisses entre les siennes qui se contractent autour de moi..

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Ils sont tous les deux bavards, ils diront souvent à quel point le tableau est beau, ce qui a mon tour me fait prend de la distance sur la scène pour apprécier le moment présent et fixer des images dans ma tête.

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Face à face avec Merida, nos poitrines nues se mélangent, se caressent, un regard vers le bas et je suis hypnotisée par l’image, je matte impunément les globes qui ondulent, se déforment et disparaissent, laissant parfois apparaitre nos tétons érigés par l’excitation.

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Elle se frotte et ondule sur ma cuisse, cherchant le plaisir d’une friction appuyée la bouche qui lèche mon cou pendant que Conor a mes 2 seins dans les mains.

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Elle prend son homme jusqu’au bassin, entre le facefuck et l’asphyxie, elle est à genoux devant lui, je suis accroupie devant elle, mes cuisses contre les siennes, mes mains parcourent son corps, ses seins, ses hanches, ses cheveux… avant de descendre entre ses jambes. Je parcours ses lèvres, dehors, en haut, dedans… je crochète mes doigts dans le sexe chaud, l’annulaire et le majeur, la paume plaquée contre son clitoris, je serre le poing. Les gémissements emplissent la pièce, ceux de Conor qui presse la tête de Merida contre son bassin, ceux de Merida qui serre les cuisses autour de ma main, et mon souffle haut, court, rauque, qui fait valser les cheveux de Merida.

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Places inversées, je suis entre Conor et Merida et je m’applique pour lui faire plaisir. Il est très expressif, c’est plutôt excitant de lui arracher de petits râles lorsque ma langue appuie au bon endroit ou que la pression est juste. Il nous complimente toutes les 2, nous partage que ça l’impressionne à quel point deux fellations peuvent être complètement différentes mais tout de même incroyable. Merida est à côté de nous et nous regarde, les yeux écarquillés, ses mains parcourent les cuisses de son homme, et mon corps parfois. On s’échange le sexe dressé, je suis fascinée par sa technique. Elle plonge ses yeux dans les miens en arrachant des cris de plaisir à Conor.

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Allongée sur le lit j’ai une vue parfaite sur Merida qui s’occupe de moi, à genoux entre mes jambes. Elle alterne mains et bouche pendant que Conor a ses doigts qui la fouille. Ses gémissements vibrent contre mes cuisses et multiplient les sensations.

Elle attire Conor pour qu’il monte sur le lit et ils sont deux à s’occuper de moi. Mes bras et jambes sont bloqués par leur corps et des mains, je bascule le bassin pour leur donner un meilleur accès alors que les doigts de Conor cherchent les endroits les plus sensibles. Je gémis, crie, souffle, les sensations sont folles, j’ai l’impression que le temps s’est arrêté. Je me force à ouvrir les yeux pour regarder, pour imprimer nos corps emmêlés dans ma mémoire.

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Conor est allongé entre nous deux, nos têtes se mélangent autour de son envie, nos bouches s’alternent pendant que son plaisir monte.

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Merida enfourche la tête de Conor face au mur, cuisses bloquées par de grandes mains puissantes. Je m’efforce de faire gémir Conor avec ma bouche car chacun de ses gémissements fait crier Merida plus fort.

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Nos places s’inversent, je m’agrippe à la tête du lit alors que Conor attrape mon bassin pour le plaquer contre ses lèvres. Ma tête se renverse en arrière, j’ai le souffle haut et court.

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Conor couvre d’huile un god noir à deux têtes, le geste révèle le dessin des veines et des glands de l’objet, c’est obscène, surtout quand on y ajoute les yeux brillants de Merida.

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Elle est allongée sur le dos, elle me le tend et me demande de le mettre. Je suis aux anges, d’habitude elle prend le contrôle, il semble qu’elle veuille plus se laisser aller ce soir. Elle fait venir Conor près de sa tête et le prend en bouche pendant que je la prépare avec mes mains. Je suis fascinée par son sexe, ses différences avec le mien. Ses petites lèvres qui dépassent sont une invitation aux plaisirs, le capuchon de son clitoris est plus grand, plus facile à attraper, à aspirer, à mordiller. J’y pose ma bouche un instant, mes doigts toujours en elle avant de me relever et de doucement la pénétrer avec l’objet. C’est renversant, cette sensation de pénétrer l’autre. J’observe son corps qui s’habitue à l’objet, avalant doucement le sexe artificiel. J’écoute ses cris, sa respiration qui change, j’essaie d’adopter le bon rythme. Je cherche les mouvements qui la font trembler, je tourne et tords, j’avance et recule. Ses cuisses se ferment, contractées autour de mes bras, je vois sa tête renversée et ses mains serrées autour des avants bras de Conor.

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Toutes les deux allongées sur le dos, sexe contre sexe, les jambes emmêlées, chaque mouvement de l’une fait bouger le god qui nous lie et nous fait crier. Il n’y a aucun rythme, rien de dessiné, rien de défini, juste, quand l’une arrive à reprendre son souffle et bouge le bassin pour recommencer les sensations. C’est intense, puissant, trippant, j’ai rarement vécu quelque chose comme ça.

Soudainement Merida se redresse et retire son extrémité, tremblante dans mes bras. Je jette un coup d’œil vers Conor qui sourit, debout à côté du lit. Il nous dit que la vision était surréelle. On sourit toutes les deux en reprenant notre souffle.

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Merida me tend un autre god, celui de la dernière fois. Après l’avoir couvert d’huile, je mets l’extrémité la plus large dans mon sexe ouvert. Le sexe noir tient seul, érigé contre mon ventre, chacun de mes mouvements me fait sentir le silicone dur contre l’intérieur de mon bassin.

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Conor est assis à la tête du lit, Merida à quatre pattes entre ses jambes me présente son sexe. Je m’avance à genoux entre ses cuisses, et la pénètre doucement. Je vrille complètement. J’attrape ses hanches, son cul, tout ce à quoi je peux m’agripper pour sentir son corps contre mon bassin et je la baise. Mon regard croise celui de Conor qui comment à Merida, perdue entre ses cuisses que j’ai changé. Ça m’excite, me fait y aller plus fort encore, une part de moi regrette de ne pas être plus grande, plus forte, pour l’écraser un peu. Merida crie et jouis à nouveau, son bassin s’échappant de l’intrusion.

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Conor est allongé, cagoulé, entre nous deux. Merida enfourche sa bouche, l’écrase, et lui demande de nous faire plaisir. Elle attrape un préservatif qu’elle déroule doucement autour du sexe qui tremble un peu. Elle me demande de l’enfourcher tout en parlant à Conor. Elle lui dit de bien s’occuper de moi, de profiter du fait que je soit une autre femme. Je m’assois doucement sur lui et ondule le bassin. Il attrape mes hanches et me plaque contre lui. Il me dit que je suis bonne. Que ça monte vite. Merida l’encourage à jouir, lui demande ses cris de plaisir. Il attrape mes hanches et me prend fort par dessous. Nos cris emplissent la pièce jusqu’à sa jouissance.

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Nous restons tous les trois emmêlés un moment, partageant caresses, baisers et mots doux, profitant d’être trois et de nos plaisirs partagés.