Les explorations d’un couple ordinaire – Partie I
Depuis quelques semaines nous avons commencé une relation de soumission avec Claire. Jusqu’à présent, elle a franchi les étapes que j’avais concocté pour elle et fait ses devoirs hebdomadaires. Parfois, elle faisait exprès de désobéir pour goûter mes punitions physiques (elle a un faible pour les coups de cravache) ou morales.
Mais aujourd’hui, j’ai envie de tester ses limites en matière d’exhibition.
Ce matin je lui ai envoyé ce message : « rdv à 18h dans ce chemin (voir la photo Google maps jointe), tu gareras ta voiture dans cette entrée de pré. Tu devras m’attendre les mains sur le capot, ta jupe relevée sur ton cul, sans dessous, et tu mettras un foulard sur tes yeux. Une fois que j’aurais jouis, tu compteras jusqu’à 200 avant que tu enlèves ton foulard. »
Je sais qu’à cette heure ce chemin peut être emprunté par des promeneurs après leur boulot. Elle le sait aussi. Je n’ai pas de réponse immédiate, je sais qu’elle hésite. Mais à 14 heures je reçois sa réponse : « bien maître, je ferai comme bon vous semble ».
Voilà les dés sont jetés.
Je suis sur place avant l’heure prévue mais je me suis garé ailleurs pour pouvoir l’observer se préparer.
17h55 sa voiture arrive, s’engage dans cette petite entrée. Je la vois descendre de voiture, regarder autour d’elle si personne n’est là. 17h59 elle se met en position, remonte sa jupe au-dessus de ses hanches exposant son cul et son minou à la vue de tous. Puis, elle noue le foulard sur ses yeux et pose ses mains sur le capot.
Je décide de mettre quelques minutes avant de venir pour que son stress soit au max. Je veux aussi qu’elle doute de la personne, moi, un amant de mon choix, un passant qui saisi sa chance. Seule sa connaissance de mon corps pourrait la guider.
18h05, je m’approche discrètement, je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. Qu’est ce qu’elle est bandante. Mon sexe est déjà bien gonflé par le plaisir des yeux.
Je pose une main sur son dos, une autre sur ses fesses. Je n’ai qu’une envie; la prendre sauvagement directement sans préparation. Mais je me retiens, j’ai prévu autre chose. Alors, mes mains se font caressantes, s’aventurent sur sa fente pour la rendre humide… Puis trouve son bouton pour jouer avec. Je veux la faire jouir et crier de mes mains. Je me demande si elle osera, sachant qu’on peut l’entendre, qu’on est en extérieur…J’accélère le rythme jusqu’à ce que son corps se tende dans un cri. Puis, sans répit deux doigts de mon autre main vont direct dans son puits et s’y agitent frénétiquement. Elle crie son plaisir, ces deux stimulations combinées la plonge rapidement dans un deuxième orgasme.
Mes doigts sortent de sa chatte, je sors mon plug de ma poche et l’appuie sur son œillet. Cette fille m’épatera toujours, pas besoin de préparation le plug est comme aspiré. Jamais je n’ai rencontré quelqu’un aimant autant la sodomie.
La voilà donc préparée, j’ouvre mon pantalon et dégage ma queue pour m’enfoncer en elle et commencer de grands va et viens. L’heure n’est pas à la tendresse, je la veux. Juste la baiser; elle est l’accessoire de mon plaisir.
Une de ses mains va vers son clito, la punition ne se fait pas attendre et ma main claque sur ses fesses pour laisser la marque de mes doigts.
Nous ne sommes que sueur, chaleur et bestialité. J’arrache alors le plug pour le remplacer par ma queue, je prend ses fesses, je l’encule. L’effet ne se fait pas attendre, je vois ses bras plier, elle s’effondre sur le capot dans un cri de plaisir.
Le mien est là aussi mais la règle est claire, mon sperme est pour sa bouche ou sur sa peau mais jamais ailleurs, je ne suis pas son compagnon.
Alors je me retire, la prend par les épaules pour lui faire comprendre qu’elle doit s’agenouiller. Elle ouvre la bouche comme une soumise bien éduquée. Je me branle au-dessus d’elle jusqu’à sentir cette boule dans mes reins, mes genoux légèrement fléchis. Dans un grognement j’arrose son visage, le plaisir m’empêche de viser comme je le voudrais mais un ou deux jets partent dans sa bouche.
Je lui présente ensuite ma bite pour qu’elle la nettoie.
Ensuite, je la prive de la source de son plaisir, un soupir sort de sa bouche mais je remonte mon pantalon et m’éloigne.
Je l’observe ensuite compter puis, vite remonter en voiture pour prendre une lingette et faire un brin de toilette.
Je suis fière d’elle, elle a surmonté ses peurs et lui envoie donc un message pour la féliciter et lui rappeler la règle. Elle doit comme chaque fois me faire un compte rendu pour que j’ai son ressenti.
Elle sait que nous avons décidé cela pour que je sache comment elle a perçu ce moment, pour m’améliorer s’il le faut.