Entre Amis,  La Plume de Florean,  Petits Flirts entre Amis II

Autour de Petits Flirts entre Amis – Chapitre 01

Ce récit est dans l’univers de Petits Flirts, il vous fera découvrir les autres personnages de l’intérieur, vous vivrez les sensations de Yen, bien sûr, mais aussi d’Olivia, de Suraya et de Sylvie – ainsi que de quelques-uns des maris… à suivre ! 🙂

Prologue


– C’est la plus coquine. Même Olivia n’est pas aussi délurée que ta femme.
Je souris. Laurent dit toujours ce qu’il pense lorsque nous sommes entre mecs. Yen est dans la chambre, elle se prépare pour notre petite soirée pendant qu’on boit un verre dans le salon. Je tremble un peu. L’alcool aide à diminuer la tension. Je suis déjà en érection.
– Merci.
Souleymane embraye.
– Coquine ? Tu veux dire cochonne, mon gars ! Quand elle te prend le zguègue, elle ne te le lâche plus ! Je peux vous dire que Suraya est plus jalouse d’elle que des autres nanas. Vrai, quand je la saute, j’oublie Susu !
Je suis toujours un peu gêné de la bestialité de Souley, mais elle accroît mon excitation.
– Ah ?
Stephen ne dit rien, il hoche juste la tête. Je sais qu’il y a plus que du sexe entre lui et Christine-Yen, mais c’est le risque que nous avons accepté depuis le départ et je dois bien avouer qu’il y a un peu plus que du sexe entre Olivia et moi aussi. De mon côté, au moins.
– Tu paries qu’elle arrive à poil ?
Je secoue la tête. Souleymane connaît-il donc si mal Yen ?
– Non, elle sera habillée. Et nerveuse.
Laurent rit.
– Comment tu l’as convaincue d’être la première des quatre à…
Il s’arrête, incapable de dire l’évidence. Souley m’épargne de terminer pour Laurent.
– A se taper 4 mecs toute seule.
Je souris.
– Je n’ai pas eu à la convaincre. Quand on a parlé de ça la dernière fois, elle a juste demandé quand serait son tour. Je lui ai dit qu’elle pouvait passer la première si elle le souhaitait, elle a accepté immédiatement.
Stephen hoche à nouveau la tête.
– C’est toujours Christine qui fait le premier pas lors de nos soirées. C’est elle qui donne le rythme.
J’acquiesce. J’ai la trique maintenant. Les autres aussi.
– Yen est timide. C’est comme si elle voulait se prouver à elle-même qu’elle n’a rien à envier aux autres filles du groupe.
Stephen me met la main sur l’épaule.
– Olivia lui court après. Si tu savais comment elle a changé depuis les premières soirées… Quand je vois Christine, elle ne me lâche plus pendant des jours comme pour effacer le plaisir que je peux prendre avec ta femme.
Je ne dis rien. J’ai eu un aperçu des qualités sexuelles de la belle Olivia. Mon érection s’accentue à l’idée qu’elle puisse s’attacher un jour à moi de cette façon. Lors de nos moments volés, elle est sauvage et sans tabou. Stephen a raison, Olivia essaye de faire oublier Yen à celui qu’elle comble de ses charmes élastiques.
Souleymane rit.
– C’est bon pour nous que les nanas soient jalouses les unes des autres. Non ?
Laurent ôte son T-shirt.
– On reste habillé ou on se fout tous à oualpé ?
Souley commence à se désaper.
– A poil, les mecs. Il faut qu’on l’accueille dignement.
Je souris et imite les autres. On bande tous.
La porte de la chambre s’ouvre.
– La voilà.
Yen est magnifique. Elle nous regarde timidement, mais il y a de l’arrogance dans la manière dont elle se tient, un air de défi, elle nous évalue déjà du regard, ses yeux fixent nos sexes déjà tendus
Nous allons passer une bonne soirée.




Chapitre 1 : Yen


Ma pauvre Yen, dans quoi t’es-tu encore fourrée ?
Je vais passer la soirée seule avec Alain, Souleymane, Laurent et Stephen. C’est la première fois qu’ils sont tous les quatre avec moi sans qu’Olivia, Sylvie ou Suraya ne soient présentes. Oh, je sais bien, j’ai le choix de celui qui me prendra devant tous, et celui, plus difficile, de décider si les autres ne feront que regarder ou pourront participer plus activement.
Ils m’ont laissée me préparer, seule, dans la chambre. J’ai passé une culotte de coton, une minijupe noire très serrée et un top stretch blanc immaculé, sans soutif dessous. Les pointes de mes seins amples dardent joliment sous le tissu élastique. Je souffle lentement en posant une main tremblante sur la poignée.
J’entre dans le salon. Je me sens plus nue maintenant que je ne l’ai jamais été pendant nos précédentes soirées.
– Wow, chérie, tu es magnifique !
– Superbe !
– Trop belle, Yen !
Souley siffle bruyamment, les doigts recourbés sur ses lèvres – je ne sais pas comment il fait, je n’ai jamais réussi.
Alain me tend la main et m’embrasse sur la bouche.
– Fais ton choix, ma chérie.
 Il m’a demandé de ne pas le choisir, il aime me voir me donner à d’autres. Je le gratifie d’un sourire timide.
– Merci.
Stephen me dévore des yeux. Je n’entends plus les compliments. Je caresse la joue de Laurent, ses lèvres. Il ouvre la bouche et me lèche un doigt. Je lui adresse un sourire d’excuse. Pas ce soir. J’embrasse Souleymane sur la bouche et hoche la tête négativement. La prochaine fois, peut-être. Je prends Stephen par la main et le mène sur la chauffeuse que nous avons installée au milieu de la pièce.
Je m’assieds, le ventre brûlant de désir. Il s’agenouille, m’enlace, m’embrasse, il ferme les yeux, moi aussi, ses mains empoignent mes seins sensibles, je ne l’ai pas senti me débarrasser du top blanc, je suis trop impatiente de m’offrir à lui.
Un baiser sur mon cou.
J’ouvre les yeux. Alain est de l’autre côté de la chauffeuse, il pose ses lèvres sur mes épaules pendant que Stephen relève la minijupe jusque sur mes hanches et écarte la culotte pour révéler ma moussette épilée – je la rase tous les jours maintenant, afin qu’elle soit toujours fraîche pour Alain… ou un autre. Stephen pose la main sur mon ventre, je comprends que je dois m’allonger, il écarte mes cuisse et plonge sa langue dans le sillon entrouvert, s’affaire sur le bourgeon délicat, goûte les humeurs abondantes de mon envie de lui. Ses mains montent le long de mes hanches et empaument ma poitrine, il s’emploie à en faire durcir les pointes, ma tête tourne de ses attentions, c’est à peine si je remarque les baisers empressés d’Alain qui ajoutent à mon tourment d’une manière délicieuse.
La langue de Stephen se fait fouisseuse, sa bouche amoureuse, je gémis, toute honte disparue, et ne proteste pas lorsqu’un sexe touche ma joue, effleure mes lèvres, j’entrouvre les yeux et happe Souleymane, en riant intérieurement : ils ne respectent pas les règles du jeu, je devais choisir mon homme, les autres devaient sagement regarder… mais entre les lèvres de Stephen, mon excitation culmine, je peux les prendre tous un-à-un s’ils le désirent.
– Ah… oui…
Je cherche la queue d’Alain de ma main droite, il comprend et me la tend, je presse mes doigts autour, l’enserre, la masturbe au rythme des soins méticuleux des coups de langue dans ma moussette écartelée, Souleymane se fait plus audacieux, son gland pénètre ma bouche à m’en faire craquer les mâchoires. Laurent ne tarde pas à poser son vit dans ma main gauche, je me fais caressante, accueillante. Ils brisent notre arrangement. Ils ne seront pas les seuls.
Je masturbe mécaniquement les deux hommes de chaque côté, j’ouvre ma gorge au long mamba noir de Souleymane et me concentre uniquement sur ce que me fait Stephen, la manière dont sa langue m’explore, la manière dont ses doigts me visitent, mes geignements sont étouffés mais clairement audibles par les quatre coquins, je ne sais pas qui m’étire les seins, qui me malaxe les fesses, qui me passe les mains dans les cheveux, je ne suis qu’un réceptacle de ces plaisirs multiples et je crève du désir animal de sentir enfin mon blond éphèbe en moi.
Je suis exaucée. Stephen se relève, écarte davantage mes cuisses, trempe sa longue virilité dans la fente gorgée d’humidité grasse et pousse sur ses reins par à-coups – il m’empale sur le poteau délicieux, me cloue sur la chauffeuse, prend ses aises jusqu’à la garde, son pubis écrase mon petit bouton, je l’attire à moi, Souleymane me libère la bouche il sait ce que je veux, j’embrasse Stephen en serrant les bites entre mes doigts, fougueuse, amoureuse. Il sourit tout contre moi, je le mords, je le baise, il me lape, il me pilonne de son ardeur démesurée, je ris, je gémis, je m’ouvre sous les assauts répétés, ne trouvant mon souffle que par instants, je me laisse emporter par la lame aigüe qui me vrille soudain les reins. Je m’accroche aux sexes changeants de mes amants d’un soir, rejette la tête en arrière et accueille celui qui se présente à ma bouche alanguie, je suis sur un nuage, prête à tous les outrages, non, espérant tous les outrages !
Stephen sort lentement de ma moussette brûlante, il me retourne sur la chauffeuse, les genoux au sol, je m’attends à ce qu’il me prenne par derrière, je me cambre pour lui signifier que je l’accepte, que je le réclame, mais il trempe sa queue tendue le long de mes grandes lèvres et les pénètre sans attendre, je comprends qu’il cherche mes orgasmes avant les siens, j’ai la tête qui tourne de tant d’amour consenti, je cherche Alain de la langue et le gobe sauvagement, je mets un moment avant de me rendre compte que les cris sourds qui emplissent la pièce sont les miens seuls.
Stephen m’écrase de tout son poids contre la chauffeuse, je suce successivement mon mari et mes deux amants, avalant les queues tendues tour à tour, et ne les libérant que lorsqu’ils me repoussent, au bord du foutre, Stephen se tend en moi et m’inonde de ses spasmes libérateurs, je me fais furie dans la jouissance, tout en suçant mon mari je l’accompagne, m’arc-boute, me colle à mon géant blond, il se vide au fond de moi, je le veux jusqu’à la dernière contraction de sa queue, jusqu’à la dernière goutte de son plaisir expulsé… Alain n’y tient plus, il m’emplit la bouche de ses mictions, je souris et le branle, garde sous ma langue la semence débordante, il me tient la tête, Stephen me tient les hanches, mes hommes me possèdent, me comblent, m’honorent, je lèche devant et ondule derrière, jusqu’à ce qu’ils se relâchent, enfin…
J’avale ostensiblement les humeurs amères de mon mari, sans le quitter des yeux, heureuse, si heureuse.
– Merci.
J’ai chuchoté sans le savoir.
– Merci à toi.
Je hoche la tête.
– Souley, Laurent, venez.
Je tends ma bouche et les lèche sans hâte. Je suis épuisée.
Stephen s’est décontracté, mais il est resté en moi, je sens sa présence chaude contre mes fesses et chéris ce doux contact.
Les deux garçons se masturbent au passage de ma langue, ils viennent en même temps, le sperme de Laurent jaillit en gros bouillon sur mes lèvres, celui de Souley fuse sur mon front, mes yeux, mon front, je les avale chacun un peu mais leur plaisir dégouline partout sur mon visage, je ris en nettoyant longuement les deux sexes – fière de pouvoir satisfaire ainsi quatre hommes sans mourir de honte… Fière de savoir que je les ai pour moi toute la nuit, et qu’après le restau… s’ils le veulent… si je le veux… qui sait ?
Olivia sera la prochaine à leur servir d’égérie d’un soir, d’une nuit. Pendant que nos maris seront occupés avec elles, je proposerai à Suraya et Sylvie une petite soirée entre filles… j’en rêve depuis un moment déjà…

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