Alysha,  La Plume de Florean,  Le Contrat

Le Contrat d’Alysha – Chapitre 03

Nous ne nous vîmes quasiment pas durant ces deux jours. Alysha travaillait d’arrache-pied dans son atelier durant la matinée, tandis que je partais tôt et rentrais très tard du Tribunal, pour la rassurer sur le fait que, croulant sous le travail, je ne pouvais pas être là, à la maison, lorsque son rendez-vous se déroulerait. Elle pourrait donc se faire baiser sans risque que je n’arrive à l’improviste… je ne lui dis évidemment pas que je comptais assister aux ébats, et que j’en éjaculais presque dans mon pantalon dès que j’y pensais.
Le matin du grand jour, je me douchai rapidement, m’habillai en costume-cravate tiré à 4 épingles, et travaillai dans mon bureau en sirotant nerveusement tasse de café sur tasse de café. Puis, vers midi, je pris ma mallette et mes dossiers, et coeur battant, me décidai à aller faire croire à Alysha que je partais pour la journée.
Je la trouvai devant le grand miroir de l’entrée, dans lequel elle se scrutait méticuleusement. Elle se tourna vers moi, radieuse.
– Comment tu me trouves ?
Je manquai un pas. Elle était belle à en couper le souffle. Talons hauts, jupe noire plissée courte qui révélait ses longues jambes gainées de bas de résille noire très fine, un caraco moulant sans manches, blanc et légèrement transparent, qui accentuait la courbe de ses gros seins et en dessinait clairement les aréoles – et les tétons – sous une veste cintrée sévère mais trop serrée. Sa chevelure ondulait sur ses épaules, ses yeux brillaient de malice et de bonheur, une princesse, une mangeuse d’hommes aux pieds de laquelle on ne pouvait que se prosterner. Elle s’impatientait sous mon regard admiratif (et intérieurement atterré).
– Aloooors ?

Je m’approchai en tremblant légèrement, à peine gêné par la bosse qui se formait dans mon pantalon de costume, et m’éclaircis la voix. 
– Hem. Tu es superbe. Tu… tu ne vas pas y aller comme ça, non ?
Elle me tourna le dos et recommença à s’examiner dans le miroir.
– Pourquoi pas ? me dit-elle d’un air faussement absent. Je dois aller le chercher à la gare dans 15mn, je suis assez bien habillée pour ça, non ?
Elle sortit un tube de rouge à lèvres très rouge et se le passa sur la bouche.
– Je… tu… tu… que va-t-il penser en te voyant aussi… euh…
Elle me regarda dans le miroir, souriante:
– Sensuelle ? Dévergondée ? Extravertie ? Bimbo ?
– Je…
– Denis, je veux être claire.
Je déglutis, gêné, et m’en voulant d’être mal-à-l’aise. J’essayai vainement de me rappeler la rage éprouvée, mais elle ne s’allumait pas en moi. Allait-elle me révéler son infidélité ?  Et puis quoi ? Est-ce que je la quitterai ? 
– J’ai quelque chose à t’avouer…, commença-t-elle en se tournant à nouveau vers moi et en me prenant une main dans la sienne, … j’ai joui, cette semaine, comme je n’ai jamais joui avec toi.
– Je… comment ça ?
Elle serra ma main plus fort et la posa sur sa jambe gainée des bas résille.
– Ce n’est pas un reproche !  Tu m’as comblée en me demandant d’assumer ma féminité,  de m’affirmer femme, sexuelle, libertine.
– J’ai fait ça ?
Elle rit. J’admirai une fois de plus la façon dont elle se dédouanait de ses responsabilités, la façon qu’elle avait de jouer avec moi en tournant autour de la vérité sans me la dire. Ma bite me faisait mal dans mon slip, compressée par le pantalon trop serré. Elle remonta ma main vers le haut de ses cuisses et la fit glisser vers son entrejambe. Je ne respirai plus.
– J’ai bien compris que tu étais excité à l’idée que je me montre à d’autres hommes, que je les aguiche. Les yeux avec lesquels tu me dévores ces jours-ci ! Je me sens femme, objet de sexe, je me sens adorée, je sens que je t’excite. Tu m’as demandé d’allumer mon client ? Soit, je vais l’allumer… et quand tu reviendras, ce soir, tu me sodomiseras et je te raconterai comment il a bavé devant mes charmes.
Elle finit de remonter ma main vers sa chatte, et je sursautai en touchant le sexe nu sous la jupe. Elle me sourit encore, mutine, fière.
– Et ça, ça te plaît ?
– Tu… n’as pas de culotte !!!
Elle s’écarta d’un pas et souleva sa jupe.
– Pas de culotte, pas de soutif, sa queue va transpercer son costume dès qu’il va me voir, tu ne crois pas ? Je fais assez salope pour toi ?
Elle me torturait. Délibérément. J’étais la souris, elle était le chat. Elle ne me cachait rien de la façon dont elle s’était préparée, sans me dire toutefois que c’était Bléry qui lui avait demandé de se vêtir ainsi pour la signature du contrat.
– Mais… tu vas… me tromper ? dis-je d’une voix que je trouvai étonnamment sincère malgré le fait que je savais déjà parfaitement qu’elle avait déjà sauté le pas, sans scrupules, et qu’elle s’apprêtait à recommencer, encore et encore.
Elle me prit dans ses bras. Mes mains trouvèrent ses fesses et les malaxèrent sous la jupe noire. Je sentis ses seins s’écraser contre mes côtes. Elle me regarda droit dans les yeux et répondit, encore une fois sans mentir:
– Allons, Denis, tu me crois vraiment aussi salope que ça ? Je pensais te faire plaisir, mais si tu veux, je m’habille comme une petite fille très sage, souliers vernis, chaussettes et tout.
Encore une fois, elle me laissait le choix. Je pouvais tout arrêter, ou tenter de le faire, je pouvais lui avouer en hurlant que oui, c’était une grosse SALOPE et que je le savais. L’idée de la voir habillée en petite fille fit encore réagir mon sexe dans mon slip étroit.
Je me penchai en avant et l’embrassai.
– Non, dis-je, reste comme ça. Tu es très belle, j’ai de la chance de t’avoir comme compagne.
Elle me rendit mon baiser et chuchota:
–  A ce soir, amour… pour une nuit de folie… si tu savais comme cette journée m’excite…!

Je hochai la tête, ramassai ma mallette et sortis de la maison.

***

 
Je garai la voiture à quelques centaines de mètres de la maison, dans une rue adjacente, puis je revins à pied. Je vis la voiture d’Alysha s’éloigner vers la gare. J’entrai à la maison, allai dans le bureau où elle recevrait le client, et entrouvris les vasistas, en haut des grandes fenêtres. Je sortis ensuite et allai me dissimuler dans le jardin sous les mêmes fenêtres, dans un grand buisson de lauriers blancs et d’altéas en fleur qui les bordaient, le coeur battant la chamade.
Les minutes s’égrenèrent.
Lentes.
Je pris conscience des battements qui pulsaient dans mes oreilles, en rythme, de ma respiration inégale, de la sueur qui coulait dans mon dos. De ma queue, dans mon pantalon, qui restait en érection. Je dézippai la braguette du costume noir, écartai mon slip, et libérai mon sexe, tétanisé. Je passai une main dessus, douce, amicale, fraîche, caressante. Je soufflai lentement, retrouvant un peu de calme.
Les pneus de la voiture crissèrent dans l’allée. Je vis la Mercedès passer, et se garer. Alysha en sortit, radieuse, suivie par son client, l’air austère.
J’avais crains qu’ils n’aillent dans une autre pièce de la maison, mais une minute plus tard, la porte du bureau s’ouvrit.
– Par ici, installez-vous je vous en prie.
J’entendais tout par les vasistas que j’avais ouverts. Je vis Alysha se diriger vers son siège et s’asseoir jambes croisées. Elle ôta sa veste, exposant son caraco sans manches, transparent, qui moulait ses beaux seins gonflés.
– Eh bien, cher monsieur, le grand jour est arrivé, je suis toute excitée.
Bléry ne releva pas l’allusion. Il fouilla dans sa mallette, l’air sérieux, et sortir une liasse de papiers.
– Très bien, mademoiselle, vous avez lu les termes du contrat ?
Alysha sourit en se mordant la lèvre. Elle se redressa légèrement, croisant les bras sous ses seins, tirant nonchalamment sur le tissu du caraco, qui commença à glisser sur sa poitrine, accentuant le décolleté, dénudant peu à peu les nichons bombés. Je caressai ma bite très lentement. Cette vision était féérique, et le client ne semblait même pas y prêter attention.
– Oui, bien entendu, c’est une affaire raisonnable et profitable pour les deux parties. Et j’ai lu l’avenant attentivement… belle idée que vous avez eue.
Elle tira encore sur son caraco. Le mamelon de son sein droit menaçait de dépasser de son décolleté. Elle ne subissait pas, elle en avait réellement envie. Je me sentis blessé, trahi. Bléry hocha la tête, sortit un stylo de sa poche, et présenta les feuillets à ma compagne.
– Veuillez parapher tous les feuillets avec vos initiales, recto-verso, et signer le dernier en portant la mention « Lu et approuvé », et en ajoutant la date et vos noms et prénoms.
– Recto-verso ? Mmmmh.
Je secouai la tête. Quelle salope.
Elle fit ce qui était demandé. Bléry lui présenta alors deux feuilles supplémentaires.
– Même chose sur l’avenant.
La bouche d’Alysha s’ouvrit dans un demi-sourire. Elle se redressa un peu plus et tendit encore le tissu de son haut. Les mamelons des deux nichons étaient maintenant presque visibles. Le client n’y prêtait aucune attention. Je me demandai s’il allait passer à l’acte, finalement, ou s’il avait changé d’avis sur Alysha ? Je m’étonnai d’être déçu de ce développement trop sage.
Elle signa lentement les deux feuillets. Bléry les récupéra, divisa la pile en deux, garda l’une et lui donna l’autre.
– Parfait. Nous sommes maintenant associés. Voilà le chèque de cent mille euro.
Alysha tendit une main, qu’il attrapa dans la sienne et lécha goulument, sans lui remettre le chèque.
– Tut tut tut, petite salope. Je dois d’abord signer ton trou du cul avec mon gros stylo, et de décharger l’encre dans la raie pour que le contrat soit valide. Debout. Obéis.
Ma queue bondit dans ma main.
Alysha se leva, incertaine, maintenant. Le changement de ton avait dû la surprendre. Si elle avait espéré une idylle partagée, c’était raté. Je me masturbai sans hâte, impressionné par la beauté de ma compagne qui marchait vers Bléry, féminine au possible.J’avais honte, mais je voulais la voir se faire prendre par cet homme. Et j’en étais un peu malade de jalousie.
– Viens ici, ma putain. Tu as compris ce que tu viens de signer ?
– Oui, je crois.
Il tira brutalement le caraco vers le bas, exposant les deux nichons couleur sable, qu’il palpa entre ses grandes mains.
– Oui qui ?
– Oui Monsieur.
Il pressa les tétons avec force. Alysha releva la tête de plaisir.
– Très bien. Tout ce que je veux que tu fasses, tu le fais, sans discuter. C’est clair ?
– Aah oui monsieur.
– Pour ce qui me concerne, tu es ma pute personnelle. Répète.
– Votre pute personnelle, ouiiii.
Sa main descendit vers la jupe, et plongea entre ses jambes.
– Pas de culotte ? C’est bien, tu as appris ta leçon. Allonge-toi sur mes genoux, je vais te fesser.
Alysha tressaillit.
– Je… c’est…
– Allonge-toi, putain ! Obéis !
Décomposée, ma compagne se mit en travers des genoux de son client. Ses nichons dardaient juste devant moi, et la courbe de son cul, accentuée par sa position, me fit m’astiquer plus fort. Bléry caressa les lobes blancs rebondis et y appliqua une tape, suivie d’une caresse, puis une nouvelle tape, nouvelle caresse, et ainsi de suite, alternant fesse droite et fesse gauche.
– Il faut attendrir la viande, avant de la faire passer à la casserole, tu ne crois pas ?
Tape à droite. Caresse. Tape plus forte à gauche. Caresse.
– Mmmh… aïe… mmmh… aïe…ouiii.
– Oui qui ?
– Mmmh, Monsieur !
Tape plus forte droite. Caresse. Tape plus forte gauche. Caresse.
– Tu as accepté de signer ce contrat pourquoi, salope ? Le fric ou la queue, hein, petite putain ?
– Mmmh… aah… mmmh…aïe ! Encore ! Monsieur !
Bléry sourit. Tape à droite, de plus en plus forte. Tape à gauche. Tape à droite. Caresse.
– Mmmh… aïe… OUI ! Aîe ! OUI ! AAH ! ENCORE ! AÏE !
Elle couinait comme une truie, tandis que la fessée pleuvait dru, sous le regard avide du client pervers. Il caressa à nouveau les fesses, laissant Alysha, pantelante, reprendre ses esprits en travers de ses genoux. Son majeur s’insinua dans la raie de ma compagne.
– Tu mouilles bien… écarte un peu les jambes, oui, comme ça…
– Ouh… aah… ouuuh… hiiiin… ouh, Monsieur !
– La cochonne… et là, ça te fait de l’effet, quand je te l’enfonce dans le cul, celui-là ?
Je vis les doigts remonter, et le majeur  disparaître entre les lobes rebondis. Je me branlai plus vite, sans prêter attention aux insectes qui bourdonnaient sous le buisson, curieux sans doute de savoir ce que cet humain pouvait bien faire avec son dard bien en vue.
– Ouuuuuh ouaaah ouiiii ! Monsieur, Monsieur !
– Il est temps que tu t’occupes un peu de ma queue, maintenant que tu es bien chaude. A genoux, mains au dos !
Bléry se releva d’un coup, projetant Alysha sur la moquette sans douceur. Elle tomba rudement sur les fesses, et se mit à genoux, soumise, les seins pointés vers son amant, la bouche entrouverte, les mains dans le dos.
– Ouvre ma braguette. Sans utiliser tes mains.
Alysha se lécha les lèvres, approcha sa bouche du pantalon de l’homme, et en mordilla l’entrejambe jusqu’à attraper la fermeture éclair avec ses dents, qu’elle fit glisser en cambrant délicatement sa croupe gracile. Je vis sa tête fouiller le pantalon à la recherche du sexe qui s’y cachait, je l’imaginai tirer le slip avec les incisives, lover sa langue autour de la bite, la caler entre ses lèvres et…
Elle recula légèrement, le gland énorme entre les lèvres, suçant déjà en aspirant férocement, ses mâchoires s’écartaient, elle ondulait la tête pour avaler le sexe coupable, elle le léchait sans le quitter des yeux, appliquée, divine.
– Tu suces mieux que la semaine dernière, petite pute, qu’est-ce que tu as fait cette semaine, tu t’es entraînée ?
Alysha sourit en hochant la tête, avalant le gros sexe jusqu’à la garde, lui léchant les couilles.
– Oh, ça, c’est booon… et tu t’es entraînée comment, dis-moi…?
Elle relâcha la bite en la mordillant.
– J’ai… sucé mon compagnon…ouh… plusieurs fois par jour, Monsieur. Et j’ai joué avec un concombre…
Elle rit. Je ne croyais pas ce que je venais d’entendre. Un concombre ? Elle reprit le gars en bouche, et l’avala à nouveau complètement, je vis sa gorge s’écarter pour laisser passer la bite bien plus impressionnante que celle que je secouais misérablement entre mes doigts. Bléry fit écho à ma question.
– Un concombre ?
Il avait l’air ravi.
– Et qu’est-ce que tu as fait, avec ce concombre, pouffiasse ?
Alysha remonta sur la pine, heureuse de son effet. Elle serra les jambes et se redressa, frottant ses seins contre la bite dressée à l’horizontale devant elle, toujours mains au dos.
– J’ai choisi un concombre plus grand que votre queue, Monsieur. Mon compagnon n’est pas de taille. Je l’ai sucé, et sucé, pour m’entraîner à vous satisfaire au mieux.
Je n’en revenais pas. La salope, la salope, la salope ! Elle avait sucé un concombre ! L’avait-elle mis entre ses seins ? Je m’imaginais un instant ses grosses loches englobant le légume ferme et faillis me venir dessus.
–  Et ton copain a une petite bite ?
– Oui, Monsieur. Je l’ai sucé chaque jour pour savoir comment dispenser au mieux du plaisir à Monsieur.
Il lui donna une petite tape sur la joue et l’embrassa.
– Gentille petite pute. Tu as parfaitement compris ton rôle. Tourne-toi, garde les mains au dos.
Alysha se retourna, à genoux, droite, les mains dans le dos. Elle me faisait face, mais ne pouvait pas me voir. Ses seins étaient magnifiques, ils m’appelaient, me demandaient de leur éjaculer dessus, même humilié devant cet homme qui ne me connaissait même pas, et qui devait penser que mon sexe était vraiment, vraiment minuscule. Bléry la poussa durement.
– A terre. Monte le cul !
Alysha disparut contre le sol, je ne voyais plus que la montagne blanche formé par son cul, de côté, et Bléry, qui ôtait sa ceinture d’un coup et lui en donna un coup sur le galbe, un coup cinglant, mais léger.
– Aïe ! Ouh… c’est chaud…
– Ta gueule.
Deuxième coup, toujours léger.
– Mmmh !
Je respirai de plus en plus difficilement, ma queue battait dans ma main. Je voulais la sauter !!!
Bléry abaissa son pantalon et se mit à genoux derrière Alysha. Il frotta sa bite contre la chatte humide, sans la pénétrer.
– Prenez-moi, Monsieur, ça fait une semaine que… ouh… j’attends…
– Ton concombre, tu te l’es rentré dans la chatte ?
Il poussa sa bite contre les lèvres glabres, et s’introduisit dans la vulve bien ouverte. Ma compagne paraissait si fragile, les mains dans le dos, écrasée sur la moquette, à la merci de ce sexe inconnu…
– Ouh… Mmmmh… non, Monsieur…
– Dommage. Trouve une idée qui m’excite, et joue avec ton concombre cette semaine. Envoie-moi la preuve photographique par mail.
Il enfonça sa queue un peu plus loin.
– Ouh… Monsieur…
– C’est un ordre. Je veux ces photos.
Il la pénétra complètement, et entama un lent va-et-vient.
– Ah… oui… ouh… la grosse… pine… ouuuh, mmmh, ouh… Baisez-moi, faites-moi jouir, Monsieur…
Bléry parut satisfait. Il accéléra le rythme, attrapa Alysha par les hanches et la gamahucha par à-coups rapides, déclenchant presque immédiatement des spasmes irrépressibles chez elle.
– Ah ! Ah ! Oui ! Ah ! Mmmh ! Ah ! Monsieur !
Elle jouissait, je le voyais bien, elle n’avait réellement attendu que ça pendant toute cette semaine… elle était si belle, coincée sur le sol, fragile, offrant son cul à son amant, je me masturbai plus vite, ému et triste de la voir vivre son bonheur sans moi, mais heureux, perversement heureux, qu’elle ressente une telle jouissance.
Bléry ne s’occupait pas du rythme de sa proie. Il la baisait pour lui-même, pas pour partager, il ne ralentit pas ses va-et-vient quand il parut clair qu’Alysha, repue, avait besoin d’une pause pour se reprendre. Il continua, au même pas de charge, à lui défoncer la chatte sans relâche.
– Mmmh… mmmmh….mmmh…
Alysha repartit, elle se souleva, se cala sur la bite, tourna la tête cherchant les baisers de son amant, les seins dressés et gonflés, les mains toujours dans son dos. Bléry l’embrassa en soufflant, puis la repoussa à nouveau au sol.
– La signature du contrat, c’est maintenant, espèce de putain. Tu sais comment me satisfaire ?
Il retira son sexe de la chatte que j’imaginai en feu. Je vis qu’Alysha ouvrait son cul en écartant bien ses lobes avec ses petites mains délicates.
– Ouh… Monsieur. Oui… enculez-moi, je veux sentir votre bite  masser mon petit trou…
– Bel anus rose… souple… voyons…
Il cracha un filet de salive sur la pastille et y enfonça son index et son majeur, en tournant rapidement, écartant l’anneau comme pour essayer de l’agrandir.
– Tu vas la sentir passer, salope.
Il se redressa légèrement, son sexe dans la main droite, une main sur la hanche gauche d’Alysha, qui cessa de bouger, en écartant toujours le cul. Bléry appuya son gland, gros comme un petit poing, contre la rondelle rose, qui s’ouvrit lentement.
– Ooooooooh… aaaah…..prenez-moi…. venez….
Alysha poussa un peu sur son cul, pour aider la pénétration. L’anus s’épanouit soudain, enveloppant le gland rougi, qui disparut dans les chairs moites. Je tirai sur ma bite, n’y tenant plus, ne désirant rien tant que de venir ici, devant ce spectacle magnifique et insoutenable. Je l’enserrai entre mes mains comme s’il s’agissait d’un trou du cul étroit, et l’irritai de caresses sèches. Je sentis la jouissance monter, je revins à la sodomie, la tête légère, presque en état d’ivresse.
– Oooh, AH ! OUI !
Alysha s’empalait lentement sur la trique, en ondulant le cul. Bléry ne bougeait pas, il la laissait se planter sur lui comme sur un pal, humectant parfois de salive sa grande pine horizontale.
– Ahhhh… qu’elle est grosse… aaah… ouh… je la sens passer… ouh… vous me remplissez, Monsieur….
Elle donna encore un coup de cul en arrière, ses lobes s’écartèrent, blancs sur la bite rose qui la pénétrait maintenant aux trois-quarts.
– Viens, salope !
Bléry donna deux coups de reins, et enfonça sa pine dans l’anus fragile jusqu’à ce que ses couilles tapent contre la chatte rasée d’Alysha.
– Allez, ma belle, maintenant que le stylo est planté, il va falloir que tu en fasses sortir l’encre. Remue le cul, que je te ramone un peu !
Alysha resta sans voix, elle ne respirait plus, gémissant silencieusement, ondulant le corps d’avant en arrière, s’empalant d’elle-même sur la bite énorme, en transe, dans un autre monde.
– Hin… hin…hin…hin…
Le sexe allait et venait en elle, ne sortant jamais totalement, Bléry fixant le cul rebondi qui s’écartait au passage de son membre massif, caressant la texture ferme des lobes blancs striés des marques rouges de la fessée administrée, y donnant une tape appuyé de temps à autres, ce qui déclenchait les soupirs redoublés de ma compagne.
– Ah… hin…hin… ouiouioui… Oh, Monsieur, enculez-moi… hin…hin…
Blery se pencha sur Alysha, lui embrassa le dos, la releva en la triquant toujours avec ardeur, et lui saisit les seins, qu’il pressa avec force.
– Ah, SALOPE ! Je jouis dans ton putain de cul de pute ! Aaaaaah !
Il la serra contre lui en donnant de grands coups de reins,  je vis en esprit les saccades de sperme qu’il déchargeait dans les boyaux de ma compagne et je jouis en même temps, dans ma main, en jets que j’imaginai moi aussi aspergeant la voie étroite d’Alysha. La jouissance fut courte, cependant, bien moins longue que les spasmes qui agitaient encore Bléry quand il plaqua ma fiancée au sol en lui forçant toujours la rondelle.
– Oh… oh… Monsieur, Monsieur, Oh, Monsieuuuur.
Alysha se remuait sur le sol, se tordait le cul, expérimentant un orgasme sincère, prolongé.
– Ouh… Monsieur Monsieur Monsieur…
Elle se frottait les seins contre la moquette, et accompagnait les coups de boutoir qui limaient toujours son anus.
– Ouiiiiiiii, Monsieur !
Enfin, Bléry s’effondra sur elle, la pine toujours plantée entre les lobes.
– Contrat… signé.
Je m’essuyai la main sur le pantalon. Bléry se releva rapidement, laissant Alysha, épuisée, affalée sur le ventre au milieu de la pièce.
– Ton chèque est sur le bureau, tu l’as bien mérité.
Il ramassa son slip et son pantalon sans même lui jeter un regard, et se rhabilla rapidement.
– Allez, debout, salope. J’ai un autre rendez-vous cet après-midi, et tu vas me retarder. Grouille-toi un peu.
Alysha se releva difficilement, en se tâtant le cul, titubant sur ses talons hauts qu’elle n’avait pas quittés.
– Vous…vous ne restez pas ?
– Je suis ici pour te baiser, pas pour perdre mon temps. Si tu veux des câlins, adresse-toi à Petite Bite, je suis pas ta mère.
– Oui, Monsieur. Pardon, Monsieur.
Elle réajusta sa jupe et commença à remonter son caraco sur ses seins, mais le type l’arrêta.
– Non. Tu restes comme ça. Enlève ce truc et passe juste ta veste sur tes épaules, je vais mater tes nibards pendant que tu conduis. Et si un flic nous arrête, tu lui suceras la queue.
Alysha hésita un instant, puis ôta le caraco. Elle mit la veste noire cintrée, qui n’avait un bouton à hauteur du sternum, qu’elle attacha en comprimant ses seins couleur de sable. La veste ne cachait rien de sa poitrine opulente. Avec sa mini-jupe et ses talons hauts, elle ressemblait à une pute.
– On se revoit la semaine prochaine, à mon bureau. Je t’envoie les détails par mail – et n’oublie pas: je veux une photo de toi jouant avec ton concombre, et que ça m’excite.
– Oui Monsieur.
Elle quitta la pièce, suivie par Bléry. Je les regardai entrer dans la voiture, et crus entrevoir Alysha qui déboutonnait sa veste avant de fermer la porte.
Je restai seul et désemparé, la queue poisseuse toujours entre mes doigts.

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