Petits flirts entre Amis – Chapitre 04
Les personnages féminins:
Christine Yen / épouse d’Alain / 1m53, 43 kg / origine sino-japonaise, 26 ans, petite et fine, cheveux longs noirs et raides, peau dorée, belles lèvres épaisses, seins massifs, bien proportionnés, étonnants sur son corps fluet. Ingénue et fidèle, mais sexuellement curieuse. Le jeu lui révèle une partie d’elle même qu’elle ne souhaite pas forcément connaître.
Olivia / épouse de Stephen / 1m56, 46 kg / origine arménienne, 27 ans, nez pointu, cheveux noirs, beaux seins bien galbés, des fesses comme des gouttes parfaites taille de guêpe – la plus cochonne et extravertie du groupe. Elle a eu l’idée du jeu.
Suraya / épouse de Souleymane / 1m60, 49 kg / origine marocaine, 27 ans, cheveux mi-longs bouclés, grosses lèvres gourmandes, seins refaits – et siliconés – peau mate, belles fesses rondes. Elle a vaincu sa timidité et joue à l’extravertie depuis sa chirurgie esthétique. Le jeu lui permet de continuer à faire semblant, et, espère-t-elle, de faire des envieuses avec sa poitrine toute neuve.
Sylvie / épouse de Laurent / 1m62, 47 kg / française, 26 ans, peau blanche, tendance rouquine, cheveux carré mi-long, seins ronds de taille moyenne, beau cul blanc galbé et rondelet. Douce, timide, elle est plutôt coincée mais s’offre au jeu avec la même curiosité que Christine Yen.
Les dés lancés par Olivia roulent et s’arrêtent. Ils sont à peine visibles à la lumière des bougies. 2 et 3. Elle fait tourner la bouteille en verre, à plat sur le sol, au centre du cercle que nous formons tous les huit, assis en tailleur. La bouteille tourne, et tourne, ralentit. Le goulot s’arrête dans ma direction. Mon coeur se serre. Je suis moins bourrée que je ne le devrais. J’ai bu, pourtant, mais l’ivresse se refuse à venir.
Elle a fait moins de 6, et pas de double, ce sera donc une carte « question simple ». Pas de détails à donner, juste la vérité, point. Olivia pioche dans le tas de droite – celui de gauche contient des cartes « action », en cas de score supérieur à 6, et celui du milieu, les « actions spéciales », pour un double 6. Elle lit la carte en souriant.
– Yen… Dernière sodomie ?
– Jamais !
J’ai parlé sans réfléchir, choquée, la réponse a fusé, je rougis, je me sens écarlate. Les autres éclatent de rire.
– Non, reprend Olivia, disons la dernière fois que tu as essayé ?
Alain a l’air mal-à-l’aise. Je répète, la voix serrée, hyper gênée.
– Jamais.
– Jamais ? s’exclame Suraya.
– Impossible, s’étonne Sylvie. Alain ne t’a jamais demandé ?
C’est Alain qui pique un fard, maintenant.
– Je n’ai jamais osé. Yen est prude, et pudique. Mais j’aimerais bien !
Olivia me regarde.
– Tu viendras me voir, je te donnerai deux-trois conseils pour que son engin passe tout seul – j’ai un gel génial.
Je suis sur la défensive. Je déteste cette conversation !
– Et toi, c’était quand ?
Elle jette un oeil de tigresse vers Stephen.
– La semaine dernière, le lendemain de notre petite soirée. Je ne jouis jamais mieux que quand Stephen me prend par derrière.
Stephen me dévisage en souriant. Je l’imagine soudain, tendu derrière moi, me pénétrant lentement, et la sensation de mon anus qui s’ouvre pour son sexe massif, dévoilant des plaisirs insoupçonnés.
J’inspire, la tête légère, l’alcool commence à réclamer son dû. Alain n’ose pas me regarder. Je suis furax. Olivia me tend les dés.
– A toi de lancer.
Je jette les cubes de bois machinalement. 4 et 4. Une carte « action » – fille ou garçon – pour la personne désignée par la bouteille, et, comme c’est un double, je dois aussi exécuter l’action.
La bouteille tourne, tourne, ralentit, et s’arrête sur… Alain.
Je déglutis. Il sourit. Je tremble en prenant la carte. Suis-je la seule à être dans cet état de nerfs ? Je lis.
– Embrasse une fille autre que ta femme.
– Wououh !
– Un bisou ! Un bisou !
Je demande:
– Et moi ? J’embrasse une fille ?
Olivia a réponse à tout.
– Non, le mec de la fille qu’Alain choisit.
Il me regarde, un air d’excuse sur le visage, se lève et va vers Sylvie. Il s’accroupit devant elle, l’enlace et l’embrasse avec conviction. Je me tourne vers Laurent, juste à côté de moi. Il sourit, me prend dans ses bras et sa bouche se colle à la mienne, nos langues se mêlent, je ferme les yeux, le baiser est merveilleux, sensuel, émoustillant.
Les autres rient et applaudissent, je les entends à peine. Laurent s’écarte, je l’embrasse encore, désirant prolonger l’étreinte, mais il me repousse gentiment.
Je me rends compte qu’Alain a regagné sa place, et qu’il m’observe, l’air curieux. Je rougis. Comment puis-je embrasser un autre homme devant lui ? Sylvie me fait un clin d’oeil en levant le pouce. Elle a aimé le baiser d’Alain ? Ou m’encourage-t-elle à bécoter son mari ?
Alain jette les dés. Double 2. Il fait tourner la bouteille qui s’arrête sur Souleymane. Carte question. Alain devra répondre aussi.
– Dernière masturbation seul ?
Souley réfléchit.
– Hier.
Suraya éclate de rire.
– Oh mon salaud, appelle-moi la prochaine fois, que j’en profite !
Olivia n’oublie pas le jeu.
– Et toi, Alain ?
Je suis intéressée, nous ne parlons jamais de ces choses, à la maison.
– Ce matin.
Olivia explose de rire.
– Wouuh, le cochon !
Je suis sur le cul. Je demande:
– Pourquoi ce matin ?
Il est gêné.
– Parce que… euh… pour éviter de… enfin… pour la soirée, quoi.
Les mecs hochent la tête, compréhensifs, les filles rient.
– Peur de l’éjac’ précoce, le petit coquin !
Suley lance les dés. 6 et 6.
Olivia applaudit.
– Cool ! Action spéciale, pour tous les joueurs. Je pioche la carte, attention, c’est du hot ! « Filles, montrez vos seins, mecs, montrez vos sexes ! Vous avez le droit de toucher avec les mains » Wouh, chaud chaud chaud !
Tout le monde se met debout. Personne n’a l’air aussi gêné que moi. J’ai une boule au ventre. Je ne veux pas montrer mes seins, et encore moins que mes copines voient le sexe d’Alain !
Olivia rejoint Stephen.
– Toi le premier, mon chéri.
Elle ouvre sa braguette et extrait le sexe soyeux, gonflé, en érection. Il a une bite très longue, massive, blonde, telle que je l’imaginais.
– Regardez comme il bande, le petit chou ! Et tu banderas encore plus après ça…
Elle baisse le haut de sa robe sans manche, et expose ses seins parfaits.
– A vous, les filles !
– Ça s’excite aussi par ici…
Suraya a déjà baissé le pantalon de Suley, dont la pine noire est tendue, couverte de veines gonflées. Suraya expose ses seins tous neufs, ils sont luisants, enflés, parfaits, des seins d’actrice X. Surnaturels dans la lumière des bougies. Stephen se caresse la bite en les regardant, comme si c’était normal.
Sylvie ouvre les boutons de sa robe, soulève son soutif en dentelle blanche. Ses seins blancs tachetés de roux sont mignons. Je ne veux pas être la dernière, je baisse à contrecoeur le haut de ma robe en stretch en attrapant mon soutif sans bretelles au passage. Mes nichons bondissent, soulagés de ne plus être serrés dans leur gangue.
– Jolis tétés.
Suleymane se branle en me matant, je sens mes joues chauffer. Suraya ne le prend pas bien, elle va vers Alain et lui baisse son pantalon.
– Montre-nous ta bistouquette, coco.
Alain bande comme un âne en nous regardant toutes tour à tour. J’avais beau m’y attendre, je suis choquée. Qu’est-ce-que nous faisons dans ce genre de soirée !? Suraya le caresse longuement. Je détourne le regard – Laurent bande mou, Olivia s’est agenouillée devant lui et se caresse les seins d’une manière suggestive.
– Allez, mon beau, montre-moi que ta queue peut être bien dure, mmmmh, c’est ça, mate mes gros nichons, mmmh…
Je souris, Sylvie glousse silencieusement. Laurent est plus mal-à-l’aise encore que moi. Olivia prend sa queue sans sa main et le masturbe sans honte. La bite enfle et grossit, devient raide sous la caresse. J’en oublie presque ma nudité partielle. Suraya a laissé Alain, elle bécote Suleymane en le masturbant. Alain les regarde, queue à l’horizontale. Stephen s’approche de moi.
– Je peux ?
Il empaume mes seins en les fixant de manière insistante. Sa queue effleure mon ventre, comme par accident. Je ne recule pas.
– Tu as les plus beaux seins du monde.
– Merci.
Ma voix est minuscule. Je m’éclaircis la gorge.
Suraya tourne la tête et nous regarde, en branlant toujours Suley. Jalouse de mes nichons naturels ?
Alain s’approche, il passe derrière moi, colle son sexe dressé sur mon cul sous ma jupe – il n’a pas voulu que je porte de culotte ce soir, pour, je cite, « être sûr qu’elle ne disparaisse pas » – et soulève mes seins par derrière pour mieux les montrer à Stephen. Sa queue bat sur ma peau quand il dit:
– C’est ce qui m’a tout de suite plu chez ma petite chinoise, ces roberts énorme sur son corps fluet. Je ne m’en lasse pas !
Je ne sais plus où me mettre. Stephen me pince les tétons pour les faire durcir. Le plaisir est immédiat, mes seins sont très sensibles aux caresses. Alain se frotte à moi de manière suggestive. Sa bite écarte les lobes de mes petites fesses. A-t-il encore à l’esprit ces idées de sodomie ? Stephen se penche et goûte mes petits mamelons dressés. Une main d’Alain passe devant ma robe, descend sur ma chatte nue, fraîchement épilée… la queue de Stephen touche ma main, je la saisis, la tâte, en teste la dureté… puis la relâche, m’en éloigne, je ne peux pas !
– Olivia ?
Ma voix est toute petite. Olivia en est presque à sucer Laurent, qui bande comme un taureau maintenant. Elle se reprend à temps. Sylvie soupire discrètement, je ne suis pas sûre qu’elle ait apprécié l’échange entre son mari et notre copine. Stephen et Alain sortent de leur transe, et s’écartent de l’étreinte, comme si de rien n’était.
– Mmmh ! Ouh ! Puisque vous êtes tous bien chauds maintenant, on peut passer au prochain jeu ! Messieurs, ne fermez pas vos braguettes et allongez-vous en cercle, têtes au milieu ! Musique ! Soufflez les bougies !
Les gars sont allongés, en croix. J’ai une longue bite entre les doigts, dans le noir. L’érection est… formidable, il n’y a pas d’autre mot. Dure. Puissante. Totale. Je pense que c’est Suleymane.
« Les meilleures mains », c’est le jeu. Le but est de… de quoi au juste ? D’estimer quelle fille branle le mieux ? Ou est-ce juste l’occasion de s’exciter mutuellement, sans autre objectif que cet échangisme non-dit ? Je prends le sexe à deux mains, je le caresse, l’étire, lentement, fermement. Je le masturbe, sur toute sa longueur. La pine réagit, enfle, bat, puissamment. Une main du mec (Suley ?) se pose sur mes fesses, passe sur ma cuisse, cherche ma moussette, constate l’absence de culotte, et tourne sur ma vulve, humide bien malgré moi. Je le branle plus vite. Son majeur jaillit soudain, me pénètre, j’ouvre la bouche au-dessus de la bite énorme et commence à haleter. Je crache un filet de salive sur le gland, que je cajole entre mes doigts, ça glisse, la queue se tend, un index rejoint le majeur, j’écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès, il me pénètre plus loin, plus vite, dans un bruit de succion très évocateur. Je me penche, et lèche le dessous de son gland, ma langue se fait pointue, coquine, le goût est fort, salé.
Clap de fin. La musique s’est arrêtée.
(Non ! Pas déjà !)
Il extrait ses doigts de mon hymen, je trace ma croix sous sa queue, il me caresse le visage. Je passe à droite. Second mec. Seconde queue, dressée. Moins grosse. Mais l’érection est belle, solide. Je le branle rapidement, encore toute chavirée des caresses précédentes, je crache un épais filet de salive dans ma paume, et l’applique sur le gland, main fermée, serrée, tandis que l’autre caresse les couilles. Est-ce Alain ? La taille du sexe correspond. Sa main court sur ma cuisse, mes fesses, monte le long de mon dos, son bras m’enlace, il m’attire à lui, vers sa tête, je ne résiste pas, sa bouche est là, nous nous embrassons. C’est Laurent, je reconnais son parfum, son baiser, je me demande s’il pense que je suis Sylvie. Sa bite bat dans ma main, je le masturbe fermement, il se tend, m’embrasse le nez, le front, les yeux, le menton, le cou. Je me soulève et lui donne mes seins, qu’il lèche et mordille, je presse sa queue, la caresse, la branle, j’ai envie de le chevaucher, je l’enjambe, il continue de mordre mes nichons tandis que je me frotte contre sa queue gonflée (baise-moi), je le place à l’entrée de mon vagin, humecte son gland de mon jus intime, et je m’empale sur lui, les deux mains sur sa poitrine. Mon bas-ventre explose de sensations merveilleuses, urgentes, je vais et viens sur sa pine en geignant doucement.
Clap de fin.
(Non ! Baise-moi baise-moi !)
Je m’enfonce sur lui une dernière fois, lui trace ma croix sur la poitrine, l’embrasse en souriant (merci) et le libère, à contre-coeur.
Vers la droite, troisième mec. La queue est là, tendue dans sa main. Je pose un baiser sur ses lèvres. C’est Alain. Je tâte sa bite, pour vérifier, la taille et la grosseur correspondent. Je descend sur son nombril, et le suce un moment, il sent la cyprine, une fille l’a sauté ? (jalousie !) Son sexe se met à tressauter de plaisir dans ma bouche. Je remonte et l’enjambe, je le chevauche, le baise, (oui oui oui) toute à mon plaisir.
Ses doigts me saisissent la taille, montent vers mes seins, je ne veux pas qu’il m’identifie en les caressant, j’écarte ses bras, et pose ses mains sur mon cul. Il en parcourt la raie, et place son index sur mon anus, de manière insistante. Pense-t-il que je suis Olivia ?
Je lui masse la queue avec mon vagin, je le baise, je cherche mon plaisir, son index pénètre mon petit trou, ajoute à mon extase, je pousse en arrière pour que sa bite aille plus loin en moi, je tressaille (je vais venir…. oui… encore encore…) son index gagne du terrain, j’ai la tête qui tourne, je gémis…
Clap de fin.
(encore encore)
La jouissance m’échappe, le charme est brisé, je l’embrasse sur la bouche, trace ma croix sur sa joue, et cherche mon dernier partenaire.
La bite est grande, humide, collante. Stephen ? Sans doute. Je ne perds pas de temps, je l’enfourche, (baise-moi !) il me pénètre, loin, loin en moi, je gémis, il me prend les seins et en pince les tétons, (oui !) je sais qu’il m’a reconnue, je le baise de tout mon être, je sens sa queue me déchirer les entrailles, je reprends là où mon mari s’est arrêté, je la sens venir, l’extase, le soleil de la jouissance m’illumine, je contracte ma moussette sur la bite blonde, serre son corps contre le mien, l’embrasse sur la bouche en remuant le bassin et en couinant comme une chienne, l’orgasme dure, enfle et désenfle au gré de ses coups de reins, Olivia a de la chance, son homme est un dieu de l’amour, son sexe est long et doux, son corps musculeux, et sa bouche merveilleuse. Il continue de me baiser par-delà mon orgasme, il chuchote à mon oreille « croix croix croix croix oh croix croix oh croix », c’est mon ovale adoré, je prolonge mon plaisir, et le sien, et plonge dans sa litanie en gémissant des « encore encore encore encore » à son oreille.
Clap de fin. La musique s’arrête.
Je me rends compte qu’elle couvrait les geignements et râles de mes amis, qui s’étreignent dans le noir. Des rires épuisés se font entendre, des soupirs, des ‘oui’, des ‘merci’, des baisers.
Je reste collée à mon ovale, mon Stephen, et lui chuchote un merci à l’oreille, avant de lui tracer ma croix sur les lèvres avec ma langue.
Je me relève les jambes flageolantes, je replace ma robe sur mes fesses et sur mes seins, je me recoiffe vaguement.
– Lumière ! Attention les yeux !
Les bougies s’allument. Olivia est presque entièrement nue. Sa robe est roulée jusqu’à sa taille, en haut et en bas. Son sexe est épilé, la fente est bien visible, et les petites lèvres forment des petits morceaux de chair qui en dépassent légèrement. Elle est rayonnante.
– Wouh ! Je sais pas vous, mais ça m’a vachement plu !
Suraya et Sylvie, seins nus, acquiescent. Elles ont un sourire épuisé aux lèvres. Je crois que moi aussi. Suraya a sa culotte à la main.
– Bon, les gars, dites-nous quelle fille vous avez préférée, et elle vous accordera a chacun une minute dans la cuisine, seul à seul – dans le noir – et c’est elle qui décide de ce qui s’y passe. Vous êtes ok, les filles ?
Seule avec chaque garçon pendant une minute ? (Seule avec Stephen !) Pourquoi pas ?
Je hoche la tête. Les autres aussi. Les garçons se concertent en chuchotant.
Puis Stephen annonce:
– La gagnante est… la croix.
Mon coeur manque un battement.
Olivia annonce déjà:
– Chanceuse, la cochonne ! On éteint, la croix entre dans la cuisine, et, pendant qu’elle fricote, tous les autres jouent au « baiser 10 secondes »
Les bougies sont soufflées.
J’entre dans la cuisine. Je me demande ce que je vais bien pouvoir faire durant ces quatre minutes.
Mon premier partenaire me suit.
Je le prends par la main, et vais jusqu’à la table, à tâtons. Je me retourne. Il m’enlace, m’embrasse, tendrement. C’est Laurent, encore. Je me perds dans le baiser, sa langue est douce, souple, ce mec est bon à croquer. Il se place entre mes jambes, sans briser le baiser, et trempe son sexe dans ma moussette. J’avance le bassin, il me prend, je gémis sur ses lèvres, il sourit, et me baise, sans hâte, jusqu’à la garde. Il caresse ma poitrine à travers ma robe, me prend plus fort, je l’aide en donnant des coups de bassin lascifs, je gémis plus fort.
On cogne à la porte. Le mec suivant entre. Laurent se love tout au fond de moi, me chuchote un merci à l’oreille, et se retire. Il n’est pas encore sorti que mon second partenaire m’enlace, m’embrasse, son corps est puissant, je lui caresse le dos, il est grand et musclé, sa peau est douce. Mes mains se posent sur sa bite, grosse, pleine de veines saillantes. Suleymane. Je joue de son sexe sur mon clitoris, sur ma vulve, son gland énorme me transperce, je le serre contre moi et le laisse me pénétrer de toute la longueur de sa queue.
Il reste là, lové contre moi, sa bite bat dans ma moussette, il a cessé de respirer, il se tend… puis se détend, doucement.
– C’est pas passé loin.
Le murmure grave ôte le dernier doute, c’est bien Suley. Je suis flattée qu’il ait failli jouir juste en me pénétrant, je dois l’exciter à mort. Je relâche mon étreinte et ondule le bassin.
– Baise-moi.
J’ai parlé bas, j’espère qu’il n’a pas reconnu ma voix.
– Tu es une belle salope, la croix.
Il fait glisser sa longue verge dans mes tréfonds, lentement, je lui griffe les fesses pour qu’il vienne plus loin, plus loin encore.
On cogne à la porte. Un nouveau partenaire pour moi.
Suleymane se retire dans un bruit de succion. Mon vagin chauffe.
– Une belle salope.
Il a murmuré à mon oreille. Je souris.
Il sort.
Le troisième larron m’attrape par les épaules, et me retourne. Il me serre contre lui, baisse le haut de ma robe, caresse mes seins de ses grandes mains douces.
Il s’écarte, pose la main sur mon dos pour que je me baisse, et que je lui présente mon cul. Je me presse contre la table, sur les coudes, debout, fesses nues en arrière, prête à être prise en levrette comme une petite chienne.
Il s’accroupit, et me fait lever un pied, au travers duquel il glisse quelque chose. Il renouvelle l’opération avec l’autre pied.
Ma culotte de la dernière fois !
C’est Stephen.
Il remonte ma culotte jusqu’à mes genoux, se relève, et plonge sa langue dans mon anus, qu’il titille, humecte, écarte, pénètre. Je glisse une main sous moi et me masturbe. Il vient coller sa bite contre mon petit trou. Ecarte les lobes de mes petites fesses avec ses mains. Son sexe enfle contre ma pastille vierge. Il ne pousse pas, mais les plis de mon anus s’étirent pour lui laisser le passage. Je sais ce qui va arriver. Je l’accepte. M’abandonne.
(prends-moi)
On cogne à la porte. Stephen oscille, au bord de mon abandon. Se retire. S’en va. Sans un mot.
J’ai la tête qui tourne. Je me redresse. On m’enlace. M’embrasse. Je saisis la bite entre mes doigts et la branle, sans y penser,
– Ta culotte est revenue ?
Alain. Il sait que c’est moi ?
– Alain…
Il rit.
– C’est drôle, ça !
Je le branle toujours. Il m’embrasse.
– Non, c’est pas drôle. Ecoute, cette soirée…
– Christine, je te l’ai dit, c’est un jeu, ça n’a pas d’importance. Il ne se passe rien, ça n’existe pas.
Je suis furieuse, soudain.
– Ils m’ont tous… tous…leurs queues… dans ma…j’ai même joui, tu te rends comptes ?
Il m’embrasse.
– Tu m’excites, ma princesse chinoise, viens, viens !
Il me presse les seins, je sens sa queue sur ma chatte. Comment peut-il rester zen !? Est-ce qu’il m’aime vraiment ? N’est-il pas jaloux ?
Il me baise, de tout son être, la culotte est tombée à mes pieds, je m’offre à son désir, à son ardeur, sa bite me lime jusqu’à la garde, il me presse les nichons, je voudrais que ça dure…
On cogne à la porte.
Il m’embrasse encore en remuant en moi comme un dératé.
– Tu viens ?
Je le suis. Si ça lui convient comme ça… Je vais prendre mon pied, ce soir.
Le « jeu » n’est pas terminé.