Alysha,  La Plume de Florean,  Le Contrat

Le Contrat d’Alysha – Chapitre 09

Je n’avais pas encore remonté mon pantalon que Bléry déboulait dans la pièce aux miroirs, l’air triomphant.
– Alors, mon vieux, ça fait quoi de niquer sa cliente à son insu ? Z’avez vu la grosse sa-lo-pe, quand même !  Elle est bonne à marier, comme dirait ma mère – et je la baiserai ce jour-là, croyez-moi !
Je hochai la tête faiblement, prostré.
Bléry s’en aperçut, et se méprit sur les raisons de cette apathie.
– Allons, ne faites pas cette tronche, je ne lui dirai rien, vous pouvez me faire confiance ! Je préfère qu’elle se demande lequel des hommes qu’elle côtoie l’a enculée. Je trouve ça plus marrant, vous ne croyez pas ? Chaque fois qu’un gars de son entourage va la croiser, elle va se demander: « C’est lui ? C’est pas lui ? ». Elle va essayer d’interpréter chaque sourire, chaque geste, peut-être regarder la bosse de leur bite sur leur pantalon pour jauger si c’était cette queue ou pas qu’elle a eue dans le cul. Oh non, c’est génial, mon vieux, ne craignez rien, je ne dirai pas un mot !
Il rit. Je relevai la tête.
Une idée venait de poindre.
– Merci, Monsieur Bléry, j’ai effectivement passé un bon moment, et je vais regarder différemment le cul de Mlle Rocher, maintenant que je l’ai sodomisée.
L’homme d’affaires éclata  de rire.
– A la bonne heure ! Voilà une attitude que j’aime ! Vous ne voulez pas en remettre un petit coup à Lisa, en passant ? Je crois qu’elle a un faible pour vous, veinard ! Elle a dû finir de s’occuper des trois connards, maintenant !
Je décidai d’adopter le même registre que lui. Genre macho à outrance.
– Non, j’ai les couilles complètement vides. Mais je viendrai exploser son petit lapin avec plaisir cette semaine, si j’ai le temps de passer par ici .
– C’est quand vous voulez, mon vieux. Et pour votre cliente, je vous invite à la prochaine séance ?
Je souris.
– Oui, s’il-vous-plaît. Même si je ne la saute pas, j’aime bien mater.
Il rit encore.
– La branlette, y’a que ça de vrai ! On fait comme ça. Je dois maintenant m’excuser, il faut que je signe les juteux contrats avec mes clients tant qu’ils ont encore la tête ailleurs…
Il me serra la main et sortit.
Je remontai mon pantalon lentement, reboutonnai ma chemise, réajustai ma cravate, et je quittai la pièce.
Il était temps de faire en sorte qu’Alysha s’inquiète un peu.

***

Je rentrai tôt, cet après-midi là. Alysha était dans son atelier.  Elle en ouvrit la porte à la volée. Elle était en peignoir, entrouvert, et ne portait rien dessous.
Elle me serra dans ses bras, je glissai mes mains sur ses hanches nues. Son contact m’excitait et me dégoûtait à la fois.
– Je fais mes essais de maillots, je n’en ai pas pour longtemps.
Elle s’écarta légèrement.
– Tu peux me regarder, si tu veux…
Sourire incertain. Je ne répondis pas. Elle fronça légèrement les sourcils.
– ça va, toi ?
Je lâchai ses hanches et reculai.
– Je ne veux plus continuer ça.
Elle avait l’air franchement inquiète maintenant.
– Continuer quoi ?
Je ne jouai plus la comédie, ma colère et ma jalousie ressortaient, massives, pures, non feintes.
– CONTINUER QUOI !? Ma nana qui se fait troncher par des inconnus, voilà continuer quoi ! Tu te rends compte que c’est grave ??? Tu m’appelles en pleine réunion, « Chéri, je peux sucer trois mecs ? Chéri, mon patron veut qu’ils soient heureux, je gagnerai du fric comme ça, ça te plaît ? Je peux les laisser me sauter ? Mais je t’aime, tu sais ! ». Tu es une pauvre CONNE ou quoi ??? C’est quoi, ces méthodes de vente ??? Tu es une pute pour qu’on te fasse écarter les jambes devant le premier venu pour gagner un contrat ???
Elle se décomposait sous mes yeux.
– Mais… mais… tu… tu avais l’air d’accord…
Je hurlai:
– D’ACCORD ??? D’ACCORD ??? Mais ma pauvre fille, tu me fais baiser une nana de 19 ans – une de mes ELEVES, bordel ! – qu’est-ce que tu crois que je vais répondre ? ‘ »Non, chérie, moi je baise à côté, mais pas toi » ? De quel DROIT !?
Des larmes lui montaient aux yeux.
Feintes ou non ? Je ne pouvais le dire. Comme si elle n’était pas fautive dans ce qui nous arrivait.
– Je… je suis désolée…
– C’était bon, au moins, tu les as laissé t’enculer, j’espère ? En sandwich, peut-être ?
– Je… n’ai pas…
– Et après, ton patron t’a baisée aussi ? Pour te remercier, peut-être ? Si ça se trouve, tu te le tapes depuis le premier jour, depuis que tu as signé chez lui ?
Elle secouait la tête, piteuse, les bras croisés sous sa poitrine protubérante, l’air misérable.
– Il y en a eu d’autres ? Tu me trompes depuis combien de temps ?
Elle releva la tête.
– Ne me dis pas… ne me dis pas que tu n’as pas compris ?
Je tremblais de rage. C’était le moment de vérité. Elle allait tout avouer. Est-ce que je le voulais vraiment ? Est-ce que je voulais que tout s’arrête ici, Alysha, le fric, le contrat, la baise à gogo ? L’idée qu’elle m’avoue la vérité me soulageait. Je poussai mon pion. Il fallait aller au bout.
– Compris quoi ?
Elle se recroquevilla sur elle-même,serrant ses bras un peu plus fort sous ses seins nus.
– Cathy et moi… Cathy et moi sommes amantes depuis plus d’un an.
Au temps pour la vérité. Elle détournait ma colère de Bléry vers Cathy.
Une nana.
Moins grave que de se faire cocufier par un mec.
Et une nana que j’avais baisée aussi.
C’était intelligent de sa part.
Ainsi, sans me mentir, elle tournait la conversation su un terrain moins délicat.
– De quoi ?
– Tu te rappelles, quand tu es parti à Lyon dix jours pour ce procès dépaysé ? Elle est venue pour son cours, tu n’étais pas là, c’était l’été, elle était dans sa petite robe blanche, mignonne et fragile, je ne sais pas ce qui nous a pris.
– Que veux-tu dire ?
– On s’est retrouvées au lit.
– Toi et Cathy ?
Elle hocha la tête, l’air faussement misérable.
– Et aujourd’hui ?
– Je… je suis désolée, je croyais te faire plaisir, tu m’avais dit que tu voudrais que je me laisse prendre par d’autres hommes, je ne voulais plus te mentir.J’ai eu tort.
Le double-sens de ses phrases, un régal, vraiment. Chaque affirmation était vraie, mais cachait un océan de mensonges.
Des larmes coulèrent soudain sur ses joues.
Je n’en revenais pas.
– Je suis désolée, pardonne-moi.
Elle se jeta dans mes bras, son peignoir tombant au sol, comme par magie. Elle pressa son visage dans mon cou, et ses gros seins sur ma poitrine.
Je refermai mes bras autour d’elle, murmurant des mots pour la consoler, des mots faux pour de fausses larmes.
Elle m’embrassa sur les lèvres et dit, d’un air totalement sincère:
– Tu sais, il n’y a que toi dans ma vie.
Je hochai la tête en silence.
– On devrait… officialiser tout ça.
Je me tendis sans le vouloir.
– Comment ça ?
– Je veux… je veux que tu aies confiance en moi. Je… je veux être ta femme. Ton épouse. Demande-moi en mariage.
Un grand vide se fit dans mon être.
Une vie qui s’effondrait.
Elle l’avait fait, elle avait obéi à Bléry.
Elle me poignardait dans le dos avec les mots sacrés de l’union.
Je me mis à genoux, et m’entendis à peine répondre:
– Veux-tu m’épouser ?
Elle rit.
– Oui. Oui oui oui oui.
Elle m’embrassa longuement et commença à me déshabiller. Sa main plongea dans mon slip et y trouva une érection tout-à-fait honorable.
Je la baisai sauvagement contre le mur, en me jurant de ne jamais la laisser me passer la bague au doigt.

***

Le lendemain, au bureau, je passai un coup de fil à Manuel, mon meilleur ami, et je lui expliquai tout, de A à Z. La trahison d’Alysha, son contrat, Cathy, Lisa, Bléry, les clients, les collaborateurs, le mariage… tout.
Il siffla, admiratif.
– Incroyable… Alysha est une bombe, mais je ne pensait pas qu’elle te tromperait un jour… tu es dans quel état ?
– Pas formidable. Pourrais-tu me rendre un service ?
Ma voix était sombre, je le savais.
– ça dépend du service…
– Rien de difficile: je voudrais que tu passes à la maison, et que tu fasses croire à Alysha que tu… que tu étais le type inconnu chez Bléry.
Il y avait plus qu’un sourire dans sa voix.
– Wow. Elle ne voudra plus jamais me parler ! Pourquoi tu ne lui dis pas tout bêtement que c’était toi ?
– Je veux qu’elle ait peur que tu me dises tout. Je veux que tu la menaces. Qu’elle cesse ses conneries d’elle-même.
– Mmmm. Un peu compliqué, non ?
Je secouai la tête.
– Non. Si je lui avoue tout, je suis celui sur qui porte la faute. Si tu lui fais peur et que, dans son esprit, je ne sais rien, je m’en sors en position de force.
Manu riait.
– Vous êtes des tordus tous les deux.
– C’est OK, alors ?
– Evidemment, comment refuser ? Elle n’avait pas à te faire ça.
– Merci.
– Bon… Je viens ce soir ?
– Ce soir, ok, je prétexterai un rendez-vous ou quelque chose, je vous laisserai une heure, le temps pour toi d’amorcer la conversation naturellement.
– Et si elle ne mord pas à l’hameçon ?
Je haussai les épaules.
– Je ne suis pas marié. Je peux toujours la quitter.
– Wow. J’espère que l’on n’en arrivera pas là.
– A ce soir, Manu.
Je raccrochai, soulagé, léger, et, incroyablement, le sexe en érection dans le pantalon.
Ma secrétaire m’annonça qu’une cliente demandait à me voir sans rendez-vous. J’acceptai de la recevoir, et deux minutes plus tard une jeune fille entrait dans mon cabinet.
Certainement pas une cliente.
Petite, cheveux longs très noirs, un petit visage pointu aux lèvres épaisses et rouges, yeux verts en amande, légèrement plissés, habillée tout en noir, jupe plissée, pull léger, chaussures plates. Une petite lycéenne asiate ravissante, une petite chose fragile, 35 kilos tout mouillé. Je me demandai ce qu’elle venait faire ici.
– Monsieur Fresnel ?
La voix était pointue, ravissante, presque trop douce.
– Lui-même. Que puis-je pour vous, mademoiselle ? Asseyez-vous, je vous en prie.
Elle resta près de la porte.
– Je voudrais connaître les coordonnées du mari d’une de vos clientes. Alysha Rocher.
Un soupçon s’insinua en moi. Je décidai d’être honnête.
– Je suis le compagnon de Mademoiselle Rocher. Nous ne sommes pas mariés.
La petite pâlit. Elle se tourna vers la porte et en poussa le verrou.
Puis elle marcha à pas lent vers mon bureau.
– Je m’appelle Stéphanie Bléry. Votre femme est le jouet de mon père. Il la… baise… sur contrat.
J’étais décontenancé. Comment réagir ? Lui dire que je savais ? Jouer l’ignorance ?
Elle déboutonnait son pull sans hâte. Ses doigts étaient fins et longs, graciles. Ongles rongés.
Je répondis sans me mouiller.
– Je… vous remercie de ces informations… choquantes… si elles sont vraies.
– Elle le sont, Monsieur Fresnel.
– Avez-vous des preuves ? Est-ce que votre père sait que vous êtes ici ?
La petite contourna le bureau, et s’assit dessus juste devant moi, jambes écartées. Sous son pull, il n’y avait qu’un petit soutien-gorge noir, qui cachait de tous petits seins. Elle remonta sa jupe sur ses cuisses blanches. Culotte noire.
– Non. Il ne le sait pas.
– Qu’est-ce que vous faites, jeune fille…?
 Elle m’attrapa les mains et les posa lentement sur ses genoux. Sa peau était fraîche. Mon érection redoubla.
– Mon père baise votre femme une fois par semaine (elle remonta sa jupe un peu plus haut, je ne pus m’empêcher de mater la petite culotte) et  vous allez donc avoir le droit de me baiser une fois par semaine.
Je déglutis.
– Je vous demande pardon ?
Elle ne sourit pas.
– Considérez ça comme une compensation.
Je secouai la tête, mal à l’aise.
– Mademoiselle, je ne peux pas faire ça. Quoi que fasse votre père, ça ne vous donne pas obligation de vous offrir à moi de cette manière. Ce sont des histoires d’adultes. Je ne sais même pas si vous êtes majeure !
Une moue de dégoût traversa son visage un instant, mais elle disparut presque aussitôt. Elle remonta mes mains à l’intérieur de ses cuisses.
– Pour l’âge, ne vous inquiétez pas, je suis majeure et vaccinée. Ce n’était pas comme ça que je voyais ma première fois, mais je m’en contenterai.
Je bandais de plus en plus fort, malgré l’effroi qui me saisit le coeur.
Est-ce que je venais de bien entendre cette phrase ?
– Vous êtes… tu es… vierge ? Pourquoi faire ça, alors ?
Mes pouces touchaient sa culotte,légèrement humide.
– Vous voulez vraiment savoir ?
Elle posa une bise sur ma joue.
– Mon père baise tout ce qui bouge depuis des années allégrement, parfois sous ses yeux. Il invite même ses poulettes à la maison quand je suis là.
– Oh.
Elle déboutonna mon pantalon, et plongea sa main dans mon slip. Ses doigts fins et frais me firent frissonner de plaisir.
– Je veux me venger. Il va se taper votre femme toute l’année avant de la jeter comme une malpropre. Vous allez vous taper sa fille, toutes les semaines, et je lui avouerai tout – et en détail -ensuite. Peut-être que ça lui ôtera l’envie de tremper sa queue partout une bonne fois pour toutes ?
J’en doutais. Mais l’idée de la vengeance de la petite me plaisait.
– Je comprends.
– Je vous plais ?
Je hochai la tête, en prenant conscience du petit visage pointu et parfait, de ses cheveux longs et fins… de sa bouche suave… Je lui caressai les jambes. Elles étaient fines et douces, blanches comme du lait. Je remontai le long de ses cuisses, jusque sur ses hanches, et l’incitai à descendre du bureau sur lequel elle était toujours assise. Sa culotte glissa à ses pieds presque toute seule.
– Tourne-toi et penche-toi.
Elle hésita.
– Je ne dois pas vous sucer, ou quelque chose comme ça, avant ?
Je souris.
– Tu as déjà fait ça ?
Un éclair de colère passa dans ses yeux noirs. Elle saisit mon sexe fermement et le branla des couilles au gland.
– Je ne suis plus une gamine, Mr Fresnel.
Elle se mit à genoux, et enfourna le bâton de chair dans sa bouche trop maquillée, en testant la saveur, au sens propre, en découvrant la texture et la fermeté d’une queue d’homme – peut-être sa première.
Elle n’avait pas d’expérience, je le vis tout de suite, elle s’affairait sur le gland, le gobant maladroitement, puis le recrachant en léchant tout autour, sans faire attention à ses dents qui en griffaient la peau sensible. J’attrapai sa tête et la forçait à m’avaler plus avant. Elle résista en plaçant ses deux mains sur mes cuisses – sa bouche était trop petite pour mon sexe. Je la relâchai en souriant, elle hoqueta, en me libérant, un filet de bave coula de ses lèvres, incontrôlé. Elle me regarda d’un air dédaigneux et m’emboucha à nouveau, concentrant toute son attention sur le haut de ma bite. Elle me masturbait très rapidement, sans tenir compte de mes réactions.
Je soupirai d’aise sous les doigts maladroits.
– Bon, OK, tu es sérieuse. Mais il faut que tu me suces mieux que ça. Imagine… imagine que tu dégustes une grosse glace qui dégouline de partout. Et tu ne veux pas en manquer une goutte. Et c’est sur mon gland qu’il y a ton parfum préféré, celui pour lequel tu craques…
Elle fit exactement ça, en tenant ma bite comme un esquimau, surveillant enfin mes réactions de ses yeux verts en amande. Je frissonnai de plaisir et tressaillis plusieurs fois au passage de sa langue. La caresse était plus précise maintenant, moins hâtive, plus adroite. Elle sembla s’en rendre compte et sourit, hésitante.
– C’est mieux ?
– Beaucoup mieux. Je peux jouir dans ta bouche, si tu préfères ne pas passer à la suite…
– Non, répondit-elle d’un air déterminé. Mon père sera fou de rage.
– Tu es vraiment prête à tout ?
Elle se releva et se retourna. Elle s’affala sur le bureau, le corps pressé contre les papiers qui le jonchaient, le cul en arrière, face à ma queue.
– Prête à tout. J’ai juste peur d’avoir mal.
Elle souleva sa jupe et écarta les lobes de ses fesses blanches avec ses deux mains en fermant les yeux.
– Ne t’inquiète pas, je ferai attention.
Elle hocha la tête sans répondre et se tendit.
– Tu sais, petite, on n’est pas obligé de commencer en levrette.
Elle secoua la tête faiblement.
– Je préfère ne rien voir.
Je haussai les épaules.
– Comme tu voudras.
Je me mis à genoux et lui léchai la chatte par derrière. Elle n’était pas épilée, mais le gazon était ras et doux au toucher. Ses petites lèvres roses s’écartèrent délicatement et je plongeai ma langue dans son intimité, prenant soin d’humecter son petit trou – une pastille de rosée, tendre et délicate – à chaque passage. La petite Bléry commença à gémir discrètement, et à onduler le bassin pour guider mes caresses. Je fis entrer mon index et mon majeur dans la danse, pour assouplir le vagin pendant que je lui suçai un clitoris très réactif, qui dardait sous ma langue. J’enfonçai en même temps mon pouce dans son petit trou humide, pour voir jusqu’où elle était prête à aller. Elle se tendit, mais ne protesta pas.  Elle gémit bientôt un peu plus fort.
– Allez-y… maintenant…
Je gardai mes doigts en place et me relevai, en caressant sa vulve avec mon pouce. Elle était cambrée en arrière maintenant, et semblait en phase avec moi.
Je retirai mon index et mon majeur, attrapai ma queue et la plaçai à l’entrée de son abricot tendre.
Stéphanie cessa de respirer.
Je crachai un filet de salive sur mon sexe et le glissai dans ses entrailles, lentement, veillant à ne pas lui faire mal. Je la déflorai en douceur, les yeux sur mon sexe tendu, qui fut vite englouti par la petite chatte inexplorée,  les chairs distendues dégoulinant de salive et de sang écarlate brillaient dans la lumière crue de mon bureau, elle creusait le dos, offrant son petit cul blanc strié de rouge à ma vue.
Le petite Bléry recommença à respirer au bout de quelques dizaines de secondes, seulement, respiration qui se transforma vite en halètement incontrôlés et très audibles.
– Hin… hin…. haa hinnn…
Je la ramonai avec douceur, heureux de voir qu’elle réagissait positivement à la levrette improvisée, ma queue disparaissait entièrement entre les petits lobes blancs laiteux. Je fis glisser son pull et lui otai sa jupe , elle était fine et fragile, nue, vêtue de son seul petit soutif noir qui barrait un dos maigrelet, que je caressai avec bonheur, des épaules aux hanches menues, des hanches aux épaules fragiles. Ses deux mains disparurent sous elle, et les gémissements redoublés m’indiquèrent sans conteste qu’elle se titillait le petit bouton. J’accélérai le rythme, encouragé par son abandon, par ses yeux fermés et sa bouche entrouverte, ses petits cris de plaisir et de douleur.
– Tu… préfères… quoi…, demandai-je, … je viens… au fond de… toi… ou dans… ta bouche ?
– Aahh… aah… la… bouche… ahhh… je ne veux… pas… enceinte…
– J’ai… envie de… ton cul.
Elle se tendit mais secoua la tête énergiquement. Je n’insistai pas.
A regrets, je sortis ma queue du petit vagin rouge d’humeurs et de sang virginal, et retournai la brunette sur le bureau, ses jambes maigres écartées devant moi. Sur une impulsion, je l’embrassai sur les lèvres, mais elle me repoussa.
– Non, pas ça.
Je faillis éclater de rire devant l’incongruité de ce refus, mais me contentai de sourire, en frottant ma bite sur sa moule ouverte et trempée de cyprine.
– Tu es sûre que tu ne veux pas que je te prenne par derrière ?
Ma queue hurlait de ne pas lui demander son avis, mais je réussis à me contenir.
– Non
Je hochai la tête et lui titillai à nouveau l’anus avec le majeur, par devant. Allongée sur le bureau, elle se cambra, incertaine, et se souleva légèrement pour me laisser le passage, qui s’ouvrit aussitôt.
Mon doigt la pénétra facilement, je me baissai, elle s’accrocha à mon cou et accompagna les mouvements de ma main, mais je ne savais pas si c’était par colère ou par plaisir. Ses jambes fines et blanches se serrèrent autour de mes hanches, dans une étreinte rageuse.
Je laissai l’excitation saturer mes sens, je me branlais sur sa cuisse, écartant ma bite au moment de la jouissance. Je retirai mon majeur trempé de son petit trou et l’attirai au sol pour qu’elle recueille ma semence.
Elle s’effondra en grimaçant, les premiers jets de plaisir striant déjà ses longs cheveux et son front. J’attirai sa bouche contre ma queue en m’astiquant  frénétiquement, et la forçai à goûter le sperme chaud, qui coulait en gouttes gluantes le long de son menton, de son cou, et jusque sur son soutif toujours en place. Elle recracha le liquide gras, mais ne put complètement s’empêcher d’en avaler, ce qui lui arracha une nouvelle moins prononcée.
Je finis de m’essorer sur son nez, en la tenant par le menton. Elle se laissa faire docilement. Je la trouvais belle, ainsi couverte de sperme.
Je m’agenouillai au sol, la plaçai à quatre pattes devant moi, et m’essuyai le gland entre ses petits lobes blancs. Puis je m’agenouillai à côté d’elle, mais elle se releva presque immédiatement et se rhabilla hâtivement.
Elle avait l’air timide d’une fille qui vient de faire une grosse bêtise.
Je remontai mon slip sur ma queue souillée, mon pantalon, et me relevai, chancelant légèrement.
– A la semaine prochaine, Monsieur Fresnel.
– Ne viens plus me voir ici. Laisse-moi ton numéro de portable, je te dirai où je t’attends pour notre petite séance hebdomadaire.
Je lui tendis un papier et un crayon, et me penchai pour lui faire une bise, mais elle se recula encore.
– N’essayez plus de m’embrasser. Je ne vous aime pas. Je me donne à vous pour une raison bien précise, pas pour vous bécoter.
J’étouffai un petit rire.
– OK, petite Oh, et rase-toi le minou. La tarte aux poils, ça va un temps.
JJe compris soudain comme il était facile de devenir un Bléry, si l’on n’y prenait garde. Je me promis d’y faire attention. J’avais un peu la nausée.
Elle me toisa du regard – et, vu sa petite taille, l’effet n’était pas facile à prendre au sérieux – me tendit le papier avec son numéro, ouvrit le verrou de la porte et sortit.
Je retournai m’asseoir dans mon fauteuil.
Il faudrait que je me nettoie le visage avant de rentrer – le jus intime de la chatte de la gamine sentait fort.

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