La Coiffeuse – Chapitre 01
1. Romain
Le petit jeune pousse la porte du salon de coiffure.
C’est mon dernier client de la journée.
— Bonjour Romain ! Je t’attendais avec impatience.
Il sourit timidement.
— Bonjour Linda.
Lorsque j’ai pris son rendez-vous, j’ai insisté pour qu’il vienne tard, juste avant la fermeture.
Il vient toutes les trois semaines pour tailler sa brosse. Si tout va bien ce soir, je lui taillerai autre chose qu’une brosse…
Je lui rends son sourire en lui passant la blouse.
— Installe-toi au bac pour un petit shampooing.
Il est grand, fin, mignon tout plein, jeune…
Timide.
Il s’assied.
— Oh, le col est trop serré. Attends.
Je me penche devant lui, comme pour rajuster la blouse autour de son cou. Ses yeux tombent sur mon décolleté profond, il aime mes seins, il les mate à chaque fois.
Et aujourd’hui, je n’ai pas de soutif.
Il cesse de respirer, le souffle coupé par la vue sur mes nichons pâles aux tétons dressés d’envie.
Je m’écarte et me relève, l’air de ne pas y toucher.
Mais je veux y toucher. Et plus que ça. L’idée m’excite. Ma chatte s’entrouvre dans mon string. Une moiteur plaisante coule dans le tissu tendu. Il y glissera comme dans du beurre, si je fais les choses bien.
— C’est mieux comme ça ?
Il me regarde, l’air coupable.
— C’est… encore un peu serré…
Je souris en grand et me penche à nouveau, les fesses cambrées sous ma jupe courte.
Il mate.
Il m’a toujours matée.
Trois ans que je le coiffe.
Trois ans que je fantasme sur son corps qui se transforme, se muscle, s’épaissit, grandit.
Il n’avait pas l’âge encore, alors j’ai patienté.
Et puis j’ai remarqué ses regards sur mes seins, mes fesses, alors j’ai commencé à m’habiller plus sexy au salon.
À déboutonner un peu trop mon chemisier.
À porter des shorts moulants, parfois.
D’autres clients m’ont matée. Des clientes aussi. Lorsqu’ils appellent le salon, ils exigent d’être coiffés par moi. On leur propose des rendez-vous plus tôt, avec Jennifer ou Brigitte. Mais non, ils veulent Linda l’ingénue, son air sage, son cul généreux sur une taille fine, ses seins aux mamelons épais, ses lèvres pleines, ses longs cheveux noir de jais… Je les fais bander. Et pas que les hommes… Je fais mouiller certaines clientes, je le sais. Ils auront tous leur chance. Hommes et femmes. Mais lui… ce sera le premier de mes nouvelles petites sessions du soir. Mon sujet-test.
Oh, ça, pour me reluquer, il m’a reluquée ! De haut en bas, devant et derrière. J’ai tout fait pour. Je voulais qu’il se masturbe en pensant à moi le soir pendant que je me mettais la misère en pensant à lui.
Pendant que j’imaginais qu’il me demandait s’il pouvait me sauter.
Ce que j’acceptais allègrement.
Par tous les trous.
Ouh.
J’ai chaud.
Du calme.
Je rajuste le scratch de son col en l’enlaçant de mes deux bras, mon visage à quelques centimètres du sien.
— Voilà. Tu es plus à l’aise ainsi ?
Il hoche rapidement la tête sans quitter des yeux mes tétons qui dardent sous le chemisier blanc. Lorsque je suis excitée, c’est tout mon mamelon qui durcit, et pas seulement la pointe. Les hommes aiment ça. Lui aussi.
— Oui.
Je souris.
— Un petit shampooing ?
Je passe derrière le bac, je règle l’eau rapidement, et j’asperge ses cheveux courts.
— Ça va, la température ?
— Mmm mmm.
Je prends ça pour un oui.
Je coupe l’eau, j’attrape le shampooing, j’en mets une noisette dans ma paume, je l’étale – ça mousse immédiatement – et je commence à masser son cuir chevelu du bout des doigts.
Lentement.
Je presse et fais onduler mes mains, des deux côtés.
Je relâche.
Puis je recommence.
Encore.
Et encore.
Il ferme les yeux et se mord la lèvre.
La tête peut être une source de plaisir, quand on sait y faire.
Et je sais y faire.
Je souris. C’est le moment.
— Tu sais… j’ai remarqué.
Il garde les yeux fermés. Je le masse plus profondément.
— Mmm ? Remarqué quoi ?
— Tu mates mes seins.
Il sursaute et ouvre grand les yeux.
— Co… comment ? Non !
Je ris.
— Oh. Tu ne les mates pas ? Peut-être ne les aimes-tu pas ?
Il bégaye.
— Si !… je veux dire… oui, si… mais…
Je caresse sa tête, mes mains se font lascives dans le shampooing qui mousse.
— Ce n’est rien, j’aime que tu les regarde comme ça… Tu sais ce que je pourrais faire ?
Il a la respiration haute. Mon vagin s’entrouvre à nouveau. Mon string est trempé de mouille brûlante. Je serre les jambes.
— Euh… quoi ?
Je me penche derrière son oreille.
— Je pourrais fermer les rideaux et la porte du salon… Revenir à toi… et ouvrir tous les boutons de mon chemisier… je ne porte pas de soutien-gorge… tu as remarqué ?
Il hoche rapidement la tête en haletant légèrement.
— …oui…
Je souris et j’ouvre l’eau.
Je rince sa tête lentement, le jet est chaud, délicat, le shampooing coule en cascade, je passe des doigts amoureux dans ses cheveux courts et drus.
J’éteins l’eau et lui frictionne la tête dans une serviette pour le sécher un peu.
— Voilà. Alors…? Je ferme le salon pour qu’on ne soit pas dérangés ?
Il hoche rapidement la tête, il n’ose plus respirer.
— Très bien.
Je vais fermer les stores vénitiens le long des vitrines, il fait nuit dehors. Je verrouille la porte vitrée et abaisse le store en chantonnant légèrement. Je sens ses yeux sur mes fesses. Je me mordille la lèvre, le cœur battant.
Je me retourne et viens me placer devant lui.
— Régale-toi…
Je déboutonne mon chemisier en partant du bas. Il respire par à-coups en regardant mes seins apparaître lentement sous le tissu léger.
Je souris en coin, prête à porter le coup fatal.
J’écarte les pans de la chemise.
— Ça te plaît, Romain ?
Il fixe ma poitrine nue sans répondre, la bouche entrouverte, hypnotisé. Je me cambre.
— Tu peux toucher, si tu veux…
Ses mains se soulèvent lentement et viennent recouvrir mes seins, mais elles ne sont pas assez grandes pour les englober totalement. Il presse les mamelons épais entre ses doigts. Soupèse mes loches. Je frissonne.
— Mmm. Tu as les mains douces…
Je me penche et pose un baiser léger sur ses lèvres. J’ai le cœur qui bat à toute allure. C’est le moment de franchir le pas.
— Est-ce que… est-ce que tu bandes ?
J’ai envie de parler cru. De baiser cru. Ça m’allume encore plus comme ça.
Ses doigts se crispent sur mes nichons. Il lève les yeux vers moi, puis les baisse, timidement.
— Euh… je… je… oui. Oui. Vous êtes… v’z’êtes… band… euh… belle.
Je me redresse en souriant.
— C’est bien. Mate-moi bien. Je veux que tu bandes comme un taureau en me regardant. Tu peux faire ça ?
Il déglutit et acquiesce.
Je lui tends la main.
— Viens.
Il se lève et se laisse guider vers le siège où je coiffe. Je le fais s’asseoir.
— Si tu rentres chez toi sans que ta brosse ne soit retaillée, ta mère va se poser des questions. Je te fais ça à la tondeuse ? Ça ira plus vite.
Il semble un peu déçu.
— D’a… d’accord.
Je souris.
— Ensuite, je pourrais soulever cette blouse affreuse et voir dessous si tu as tenu ta promesse, si tu veux ?
Son visage s’illumine.
— Oh… ok… ce serait… géant.
— Évidemment… pour être sûre que tu sois bien dur, je peux tricher un peu… voyons… si j’enlève complètement mon chemisier…
Je joins le geste à la parole. Le vêtement tombe au sol. Je le fixe dans le miroir, les seins à l’air.
— Je peux aussi ôter ceci…
Je me tourne, soulève ma minijupe et passe les doigts dans l’élastique de mon string. Je fais descendre lentement le morceau de tissu, en m’assurant que mon jeune client ait une belle vue sur mon cul nu.
Je me redresse, rajuste ma jupe, et lui tend le mini-slip souillé.
— Tu veux garder ma petite culotte ? C’est cadeau.
Romain prend le string entre ses doigts et les trempe dans le dépôt blanchâtre épais qui s’y est accumulé.
— M… merci…
Je souris sans rien dire. De toute façon, quand je mouille comme ça, mes culottes sont bonnes pour la poubelle. Les taches ne partent jamais. Ça lui fera un souvenir, il pourra se branler en la respirant, le soir, dans son lit, et se rappeler de ma langue sous son gland… de mes cuisses qui l’enserrent pendant qu’il me baise…
Ouh.
Un filet de mouille dégouline entre mes cuisses. J’ai la tête qui tourne.
Je lui demanderais bien de me mettre un doigt, mais il n’y aurait pas moyen que je finisse de le coiffer… Patience. Le doigt, il va me le mettre. Et pas que le doigt.
J’attrape le sèche-cheveux. Il me reluque dans le miroir.
— Redresse la tête…
Il obéit.
Je lui sèche un peu les cheveux, puis je saisis la tondeuse.
— Une brosse courte, comme d’habitude ?
Il a les yeux un peu fous. Il faut que je fasse vite ou il va se jouir dessus avant même que je l’aie touché.
— Oui.
Je travaille rapidement. J’ai les mains qui tremblent, mais ça va, en dix minutes je lui taille une brosse au taquet. Mon record, je crois.
— Fini. Ça te plaît ?
Il ne quitte pas mes seins des yeux.
— Beaucoup.
— Flatteur, tu n’as même pas regardé. Je suis bonne, mais quand-même…
Je donne un coup de sèche-cheveux et de blaireau pour virer les centaines de petits cheveux de ses joues et de son cou et je lui applique un coup de gel pour que la brosse tienne bien droit.
— Voilà. On peut passer à la suite…
Je me place devant lui et me penche pour lui ôter la blouse pleine de poils. À peine enlevée, il m’attire à lui, m’attrape les seins et m’embrasse légèrement. Il est d’abord timide, hésitant, puis nos langues se mêlent, nos dents se cognent, il presse mes mamelons entre ses doigts, j’ai envie de grimper à genoux sur le siège et de plaquer ma chatte inondée contre la bosse impressionnante qui déforme son pantalon, mais je me retiens.
Tout juste.
Le baiser devient plus fougueux, mes longs cheveux noirs tombent sur son visage, je les écarte avant de rompre l’étreinte, le souffle court.
— Ouh…
Il est comme essoufflé.
— Waw….
Je m’agenouille sur le sol jonché de petits poils courts.
Si mon patron me voyait… je jette un œil vers la porte vitrée du salon. Il a la clé, mais ne revient jamais si tard. Nous sommes bien cachés des regards. Je peux me faire plaisir en toute sécurité.
— Tu veux bien que je te suce ?
Il hoche la tête et approche son entrejambe du bord du siège.
— Carrément…!
Je fais courir des doigts caressants sur ses cuisses, et m’arrête à quelques millimètres de son sexe, qui forme un renflement bien droit sous une braguette prête à exploser.
— Tu t’es déjà fait sucer ?
Il hésite puis acquiesce.
— Euh… oui mais pas… beaucoup de fois…
J’ouvre les boutons de sa braguette un à un en souriant, coquine à souhait.
— Et jamais par moi.
Je baisse son boxer et admire la belle queue qui se dresse soudain, pas très longue mais épaisse et veineuse. J’en ai l’eau à la bouche.
J’approche mon visage et je la lèche sans me hâter, de la base au gland. Il sent l’homme, et en a la saveur. Mon excitation coule en continu entre mes cuisses. Je vais finir par laisser une flaque sur le sol si j’attends trop avant de le baiser.
— Attention de ne pas me jouir dans la bouche au premier coup de langue… j’ai envie de toi dans ma chatte, aussi.
Sa queue tressaute dans ma main serrée.
— Oh… oui… ok… doucement alors…
J’écarte mes cheveux pour qu’il puisse bien me voir et je happe le gland salé entre mes lèvres. Je l’aspire lentement, les yeux grands ouverts, en le fixant, provocante.
Il se tend en gémissant.
Sa bite enfle sur ma langue.
Un spasme la secoue.
Une perle de sperme me coule directement dans la gorge.
Non !
Je ne bouge plus.
Il ferme les yeux en respirant profondément, son corps tremble, il se contracte pour se retenir.
J’avale le filet de semence en priant pour qu’il ne se termine pas déjà. C’est terriblement excitant de le sentir sur le fil, comme ça, et d’essayer de ne pas le faire basculer du mauvais côté.
Je glisse ma main gauche sous ma jupe relevée et je me touche pour soulager un peu mon envie. Mon clito boursouflé se dresse de plaisir. Je le masse un peu avant de me fourrer le majeur et l’index dans le vagin.
Le garçon se détend, enfin, trempé de sueur, haletant.
L’alerte passe.
Je lèche son gland, bouche ouverte, la langue bien visible. Son sperme a un goût prononcé qui a embaumé toute sa queue en se libérant involontairement. J’adore.
Il rouvre les yeux et me mate.
— Désolé…
Je souris et le gobe sans me presser. Mes lèvres descendent sur la hampe épaisse centimètre pas centimètre, jusqu’à la garde, et je remonte tout aussi lentement.
Ses mains agrippent mes seins, les soupèsent, les flattent, les pressent.
Je gémis pour montrer que j’aime.
— Mmm…
Je l’avale à nouveau avec une lenteur infinie, le gland turgescent m’écarte la mâchoire et m’emplit tout le palais, il passe tout juste dans ma gorge. Je le garde bien au fond pendant de longues secondes et je rebrousse chemin en appliquant bien ma langue tout le long de la bite tendue à craquer pour en sentir les veines gonflées qui le sillonnent.
Il me pince les mamelons et les étire délicieusement. Je ne sais pas s’il s’est rendu compte que j’ai deux doigts dans ma chatte et que je me masturbe discrètement mais en profondeur.
Je le suce en augmentant peu à peu le rythme de mes coups de mentons. Il grossit encore dans ma bouche, je l’emmène bien au fond de ma gorge et je libère une salive épaisse qui coule de sa bite jusque sur son pubis chaque fois que je reprends ma respiration.
Il fait glisser ses mains de mes seins à mes cheveux, il accompagne ma tête, me guide sur sa queue.
J’aime ça, et sa vigueur m’excite au plus haut point. Encouragée par ses caresses, je m’active, la fellation devient plus sauvage, plus rude, je l’aspire et le crache plus rapidement, je mordille sa raideur, je me pourlèche de sa saveur épicée, j’enroule son pruneau de ma langue, je me régale de sa jeunesse drue…
Il respire plus fort, il geint, il se tend à nouveau en serrant le poing dans ma longue chevelure pour que je m’arrête avant qu’il explose…
J’obéis, sa bite entre mes doigts, son gland entre mes lèvres serrées… qui bat… une fois… deux fois… trois… une nouvelle goutte épaisse lui échappe, je la garde sur la langue… il couine, tendu à se rompre… nouveau spasme… je croise les doigts dans mon vagin pour qu’il ne craque pas, pour qu’il lutte contre la jouissance qui monte…
Il respire enfin et se détend, le souffle court.
Je souris, soulagée qu’il ait réussi à se maîtriser. Pour le remercier, je laisse son sexe sortir de ma bouche et lui montre la goutte de jute avant de l’avaler ostensiblement.
— Mmm… Tu es bon…
Je me redresse en remontant le long de son corps – mes seins effleurent sa queue au passage – et viens l’embrasser sur les lèvres.
— À ton tour… montre-moi ce que tu sais faire…
Je le fais se lever et m’installe à sa place, la jupe autour de la taille, les cuisses écartées, les genoux repliés.
Il fixe ma chatte totalement épilée l’air de ne pas savoir quoi faire. Je donne un coup de menton vers mon œuf lisse et fendu qui goutte de désir.
— Régale-toi.
Son visage s’illumine. Il s’installe à genoux et plonge sa langue dans le sillon gras, le nez contre mon clito sensible.
— Ouh… mmm… c’est ça…
J’agrippe sa tête à deux mains et le guide dans mes tréfonds, qu’il lape avec toute sa jeune vigueur. Je suis sûre que c’est sa première fois. Et il ne se débrouille pas si mal pour un puceau…
Il fourre sa langue le plus loin possible dans mon vagin tout ouvert et me baise avec, je relève encore les cuisses pour lui donner un meilleur accès à mes trésors cachés, et je les cale sur les accoudoirs. Il s’enfonce plus loin encore, sa bouche se gorge de mouille bue à la source, il hoquète et râle, il lève les yeux vers moi pour voir si j’aime, je fais le show, je me mords la lèvre du bas, me caresse les seins, me pince les tétons…
— Encore… mmm…
Ses yeux sourient, il me suce partout, presse mon bouton boursouflé entre ses lèvres, le titille, puis repart à l’assaut des profondeurs de ma chatte trempée…
— Mmm… Mets-moi un doigt…
Je bascule le bassin pour qu’il comprenne bien où je veux ce doigt.
Il écarte sa tête et regarde son majeur fendre mes petites lèvres et disparaître dans un bruit de succion marqué.
— Waw…
Il a l’air tellement euphorique. C’est trop mignon. Je souris en me cambrant sur sa main.
— Mmm, tu as de longs doigts…
Il recommence à me sucer le clitoris tout en me limant rapidement avec son majeur, qu’il recourbe légèrement à l’intérieur de ma chatte. Je n’ai pas à feindre les convulsions qui m’agitent soudain, chaque va-et-vient déclenche des frissons électriques dans mes reins et mon bas-ventre et me laisse pantelante.
L’envie qu’il me baise me dévore les entrailles.
Je me redresse soudain sur la main sauvage et attire Romain à moi. Nous nous embrassons fougueusement, nos dents s’entrechoquent encore, nos langues se trouvent, je l’enserre de mes bras et, lorsque le baiser se rompt je flatte son sexe plus dur et plus grand que mon gode préféré et je chuchote :
— Baise-moi.
Il hoche la tête.
Je glisse du siège et me mets à quatre pattes sur le carrelage froid jonché de poils. Je me cambre, les jambes écartées juste ce qu’il faut et lui présente mon cul et ma petite chatte toute ouverte.
— Prends-moi.
Il pose ses genoux entre les miens.
Son gland se pose sur mon petit trou tabou, y bute (oh…oui… ça, c’est bon…), passe la bosse du périnée et plonge entre les lèvres de ma minette toute pleine d’envie.
Je pousse en arrière et je le happe sans attendre. Le soulagement est si fort que je me mets à trembler de tout mon corps.
Il me prend lentement, sa queue bat furieusement dans ma chatte étroite, je me force à ne plus bouger pendant qu’il essaye de se contrôler, mais j’ai du mal, je veux qu’il m’embroche jusqu’aux couilles et qu’il me ramone en levrette en me claquant avec ses abdos à m’en faire rougir le cul.
Du calme.
S’il vient, c’est foutu pour ce soir…
Il gémit encore, le corps tendu comme un arc…
— Oush… la vaaaache….
Il ne va pas tenir… il va me jouir dedans… Je serre les dents, je serre la chatte, je savoure sa bite épaisse qui écartèle mes chairs délicates et j’attends patiemment que la nouvelle alerte passe…
Il se crispe, les doigts plantés dans les lobes de mes fesses… sur le fil… et il se détend lentement en haletant bruyamment.
— Oush… c’est pas passé loin…
Je souris, soulagée.
— Ça aurait été dommage… je compte bien que tu viennes dans ma bouche pour avaler tout ton sperme…
Il rit, gêné.
— Vous êtes vraiment cochonne.
Je pouffe.
— Tu n’as pas idée…
Ma chatte a libéré une onde de mouille chaude au compliment. Il recommence à me lutiner avec une lenteur mesurée.
— Oh… oh… mmm…
Il accélère le rythme, je le sens et ne le sens pas à la fois, c’est doux, mouillé, brouillé, solide et mou, nous nous accordons parfaitement, un bourdonnement haletant m’emplit les oreilles, le corps, il se penche pour m’embrasser le haut du dos, je tourne la tête et lui mords les lèvres, incapable de me concentrer sur le concert de sensations, je me perds sur sa bite épaisse, entre ses mains, il me prend plus rapidement sans ménagement, les deux mains sur mes hanches, puis sur mes nichons, de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort…
– Ah ! Oui !
La lame de plaisir pur et tant attendue, tant fantasmée, me prend le vagin, les reins, le ventre, les cuisses, je ne m’y attendais pas, la vague m’emporte, je m’affale. J’ai des fourmis partout dans les membres, jusque dans mon cou, jusque sur mes lèvres. Il a ralenti, miraculeusement, il a écouté mon orgasme, je ne peux plus bouger, plus parler, épuisée, enfin.
— Wow… tu te débrouilles comme un chef…
Il me lutine toujours.
— M… merci… vous êtes trop bonne… j’avais trop envie de vous…
Je serre la chatte plus fort autour de sa belle queue. Il va et vient en moi, comme une caresse lente, chaque coup de reins qu’il donne ajoute à ma torpeur.
J’ai envie de plus.
Il ne va jamais pouvoir… je pose les épaules et la tête contre le sol et écarte les lobes de mon cul avec mes deux mains.
— Prends-moi par derrière.
Il enfle soudain dans ma chatte étroite.
— Madame ?
— Baise-moi le cul. J’aime ça. J’ai envie.
Il se retire, hésitant, et pose son gland entre mes fesses.
— Vous êtes sûre ?
J’ouvre un œil. Il va se venir dessus avant de pouvoir entrer… ça va tout gâcher…
Mais j’ai envie… je me cambre.
— Viens.
Il rit nerveusement.
— Vous êtes incroyable…
— Je t’avais prévenu… mouille un peu ton engin et mets-le moi bien profond…
Il trempe son sexe dans ma minette et pousse un doigt au creux de ma zone taboue, qui fond à son passage. Il joue doucement dans l’antre tandis que ses autres doigts se glissent dans mon vagin distendu. Il remplace son pouce par le bout de son sexe, dans un mélange délicieux.
— J’adore vos fesses, peut-être plus que vos seins… Elles sont parfaites…
L’écouter m’excite. Le ton reste celui d’un gamin, mais les mots sont doux à entendre. Il retire ses mains et me saisit les hanches. Je me tends, j’ai toujours peur d’avoir un peu mal, mais il ne m’encule pas tout de suite. Sa queue glisse dans mon bas-ventre jusqu’aux couilles d’une traite, un long coup de reins comme il a dû en voir dans les films pornos, j’ouvre grand les yeux, le souffle coupé. Il remonte ma jupe complètement sur mes hanches, sort sa queue de mon minou, place son gland sur mon petit trou et pousse avec douceur.
— Oooh… oushhhh…
Il s’arrête soudain.
Ça ne va pas le faire. Trop excitant pour le gamin…
Son sexe est secoué de soubresauts juste à l’orée de mon œillet plissé.
— Aah… ouuush… la vache-la vache…
Il serre les mâchoires.
Respire à grands coups.
Puis pousse à nouveau très doucement.
Son gland me fait comme un vide dans le ventre quand il me pénètre, énorme dans ma voie étroite.
Il stoppe sa progression et me caresse longuement les fesses, en exhalant très profondément.
Il avance, de millimètre en millimètre. Ses mains dessinent les contours et les courbes de mes hanches pendant que sa queue fend très lentement mon cul.
— Je ne vous… fais pas mal ?
Je souris.
C’est tellement mignon.
— Mmm… Non… tu es parfait…
— Ok… cool…
Il recule, avance, recule, mon petit trou s’enduit de mouille et de transpiration mêlées, il me saute en cadence, la légère sensation de gêne se transforme en pur plaisir.
Je ferme les yeux et, tandis que mon majeur s’amuse sous moi (la peau est si douce sur ma minette), je chuchote des « baise-moi-baise-moi-baise-moi », comme une litanie rassurante pour son seul bénéfice.
Il rit silencieusement et, encouragé, accélère le rythme, l’amplitude de son pilonnage, je me laisse aller, mes oreilles bourdonnent, je me sens rougir, partir à nouveau, mes doigts dans ma chatte ajoutent une touche de contrôle de mon propre plaisir à celui, incontrôlable, qu’il me dispense sans retenue, mais c’est quand je sens ses couilles taper contre mes doigts fouisseurs que je pars vraiment.
– Ohhh… c’est bon-c’est bon- oui-oui-oui…!
Il ne ralentit pas, cette fois, le bien-être s’amoncelle, fait vibrer mon corps nu, ses jeunes abdos butent contre mon cul, un engourdissement total m’envahit, je me laisse porter au bout de l’orgasme infini… Il ahane, se tend, accélère encore, je sais qu’il va venir, un petit regret de ne pas le finir en le suçant s’allume au milieu de ma jouissance…
— Linda ! Vite… votre… bouche…!
Il se retire d’un coup, un jet chaud me vrille les deux fesses, il vient s’agenouiller devant mon visage et m’asperge de sperme épais, les yeux, le nez, j’ouvre mécaniquement la bouche, même si je sais que ce n’est pas très propre, j’ai juste envie… Il y glisse une queue poisseuse et odorante et m’inonde dans un râle qui me fait fondre. Les spasmes se succèdent, je n’avale pas la semence, pas encore, pas comme ça, mais elle déborde, coule le long de mes lèvres, il se masturbe frénétiquement et tremble à chaque jet, que j’essaye de conserver tant bien que mal dans ma bouche déjà remplie.
Je suis fière de mon coup, du plaisir que je lui donne… et puis il a largement satisfait mes attentes, cela mérite compensation. Je serre les lèvres autour de son gland, il émet des râles rauques en m’aspergeant des derniers spasmes, en déversant ses dernières gouttes. Il s’enfonce plus avant dans ma bouche, pousse le sperme dans ma gorge, je déglutis en ingurgitant un peu du liquide savoureux.
Il se retire lentement, la queue molle. Je le retiens avec mes lèvres, pour prolonger mon plaisir et le sien.
— Vous… vous êtes pas obligée d’avaler, vous savez…
Ses mains me caressent le visage, parcourent mon dos, mes fesses, mes seins.
Avaler ?
Bien sûr que je vais avaler.
Je ne vais pas terminer cette baise parfaite en crachant sa jute dans un mouchoir en papier, quand-même.
Son sexe quitte ma langue, ma bouche, un filet gras dégouline sur mon menton, il le récupère timidement avec son sexe et m’en enduit le bout des lèvres et le nez. Alors ça, c’est vraiment dégueu, mais ça me plaît !
Je fais rouler le sperme sur ma langue, ostensiblement. Il y en a vraiment beaucoup. Il regarde, hypnotisé.
— Mmm…
Je hoche la tête, je me mets à genoux, cuisses écartées, seins entre les mains, pointés vers lui et j’avale avec bonheur, deux gorgées grasses, gluantes, odorantes. Je frissonne malgré-moi, mais j’adore.
Il me sourit.
— Waw…
Je récupère une goutte qui commence à sécher sur mon sein droit et je l’aspire.
— Mmm… tu es vraiment bon… encore !
Il rit.
Je suis épuisée. Repue. Il me tend sa queue molle, je la reprends en bouche sans y penser.
J’aime qu’il ose. Ce mix de timidité et de virilité me fait encore couler…
— Merci… c’était… une première.
Je lèche et nettoie son sexe avant de répondre.
— Merci à toi, tu as été parfait.
Je me relève en titubant.
Il me prend dans ses bras.
— On pourra recommencer ?
Je ris en l’embrassant. Ma bouche sent le cul et le sperme mais il me rend le baiser avec les intérêts.
— Oh, ça, j’y compte bien… Dès que ta brosse a un peu repoussé, tu reviens pour une petite séance nocturne… N’attends pas trop…
— Ça, il n’y a pas de risques…
— Et en attendant, je veux que tu te masturbes en pensant à moi, le soir.
Il passe un doigt caressant dans le sillon de ma chatte toute molle. Il apprend vite, le petit.
— Promis. C’était… c’était déjà souvent le cas, vous savez…
Je souris.
— Je l’espérais.
Il regarde la pendule à regret.
— Zut… faut que je rentre… ma mère va se demander où je suis.
Je souris.
— Bien sûr.
On se rhabille rapidement, ça va vite pour moi – il a gardé mon string et je n’ai pas apporté de soutif aujourd’hui.
Il remonte son jean, range sa belle queue, rajuste son t-shirt. Je donne un coup de peigne sur sa brosse pendant qu’il me tripote les seins à travers mon chemisier.
Ces jeunes…
Lorsqu’il veut payer, je lui dis que non, c’est pour la maison.
Je le regarde passer la porte et s’éloigner, le cœur léger.
Je ferme le salon.
Il me reste un peu de nettoyage avant de partir.
Je vais rentrer vite.
Me doucher.
Me mettre nue sous les draps frais.
Écarter les cuisses.
Et me caresser en repensant à mon rendez-vous avec Romain.
Ça va être une belle soirée.
— Allô ? Mathilda ? Oui. C’est Linda, du salon Coif’ Styl. Oui. Je me demandais… pourrais-tu venir plutôt à 19h demain soir ? J’ai un slot qui s’est libéré et… oh… je comprends. Et si je viens, moi, à domicile ? Cool ! Tu me rappelles l’adresse ? Ok… ok… ok… et le code ? …ok… alors, on dit demain, 19h chez toi. Oui…? Super ! On fait comme ça. À demain…!
(à suivre – n’hésitez pas si vous voulez proposer une suite)