Les noix de Lucie – Partie II
Je m’installe devant JC, qui sirote déjà une bière. Le café est plus rempli qu’il y a quinze jours, mais les tables alentour sont vides. Parfait. Il ne va pas aimer ce que je vais lui dire.
— C’est à propos de Lucie.
JC sourit.
Il est venu sauter Lucie deux fois de plus, ces deux dernières semaines. Elle aime être prise par deux hommes. Un peu trop à mon goût, mais bon, elle a aussi découvert un goût prononcé pour la sodomie, alors je fais avec. Ça compense. Pas mal.
— C’est toujours à propos de Lucie quand tu fais cette tête-là. Je comprends mieux pourquoi, depuis quinze jours…
Il me fait un clin d’oeil.
Je hoche la tête.
— Et c’est aussi à propos d’Erin.
Il hausse les sourcils, mal-à-l’aise.
— Comment ça ?
Je soupire, ne sachant pas par où commencer.
— Bon… hier soir, quand je suis rentré du boulot…
…j’ entre dans l’appartement, je dégage mes shoes et je desserre ma cravate.
— Lucie ?
— Mmm… Je suis dans le salon…
Je ne remarque pas le gémissement. Je passe par la cuisine, me sers un jus d’orange et vais pour la rejoindre.
Je manque de lâcher mon verre en entrant dans la pièce.
…Lucie et Erin, la femme de JC, sont à moitié à poil en train de se peloter et de s’embrasser à pleine bouche.
— De quoi ???
JC écarquille les yeux. Un filet de transpiration coule le long de sa tempe.
— Comme je te dis. Erin et Lucie se léchaient la pomme, les seins à l’air.
— Erin, ma femme ???
— Erin. Ta femme.
Il se passe la main dans les cheveux.
— Waw. Je suis sur le cul.
Je hoche la tête.
— Je l’étais aussi. Mais je suis un mec. Alors j’entre dans le salon en les matant, et…
…je demande:
— Il se passe quoi, là ?
Les deux filles se roulent une pelle en me regardant en coin. Erin tire sur les mamelons drus de Lucie, pendant que celle-ci lui masse la chatte sous sa jupe courte et serrée, qui moule parfaitement son petit corps filiforme et svelte.
Erin gémit en rejetant la tête en arrière. Lucie la masturbe plus fort et m’explique:
— J’ai tout dit à Erin, pour nos petites coquineries avec JC.
Erin ouvre les yeux en haletant.
— Alors… mmm… alors je me venge… ne reste pas planté-là… viens… mmm… dans ma bouche….
Je hoche la tête, je vais les rejoindre. J’ouvre ma braguette et sors difficilement ma bite, tendue à craquer. Erin sourit, l’air sauvage, et la goûte avec sa petite langue pointue…
JC me dévisage, l’air hagard.
— Elle a fait quoi ???
Je hausse les épaules.
— Je bandais tellement fort que je n’ai même pas résisté. Se faire sucer par une asiatique de 10 ans de moins que moi, ça ne se refuse pas…
JC agonise.
— Mais c’est MA femme, bordel !
J’acquiesce.
— Tu te tapes bien la mienne…
Il secoue la tête, abasourdi.
— Elle t’a… elle t’a vraiment sucé ?
— Ça pour sucer…
…elle suce ! Elle me lèche la queue comme une glace, la prend entre ses lèvres rouges, l’aspire, la lèche à nouveau, pour la faire enfler encore, mais sans précipitation… Lucie sous-estime souvent les bienfaits d’une bonne préparation à coups de langue bien appuyés, lents, cajoleurs… mais Erin s’y connaît, en pipes, ça se voit.
Lucie, justement, la doigte sans discontinuer, elle remonte la jupe de la jeune suceuse et me révèle une chatte aux poils noirs très courts, taillée en un petit triangle équilatéral très mignon. Le pouce de Lucie est enfoncé jusqu’à la garde, j’admire les lèvres roses et serrées qui se contractent autour du doigt de ma belle, dans un bruit de succion délicieux. Elle mouille, la petite japonaise. Et niveau fellation, elle sait y faire, du grand art, je me régale ! Sa bouche n’est pas assez grande pour m’avaler entier, mais elle me branle en gobant le gland turgescent, comme assoiffée de bite, elle m’aspire et me recrache, me lèche la hampe jusqu’aux couilles, me sent la queue, la respire, la déguste à grands coups de langue.
Je me penche et lui attrape un sein, étonnamment ferme sous mes doigts, que je malaxe et caresse, au rythme de ses gémissements de plaisir. Le téton pointe sous ma paume, dru et solide, on dirait qu’il se met à bander ! Je le titille et le fais enfler, amusé et excité par cette preuve physique qu’Erin aussi prend son pied.
Lucie s’approche de ma queue et elles la partagent en s’embrassant à moitié. Je prends mon phone, dans la poche de mon pantalon que je n’ai pas enlevé, et je les prends en photo pendant qu’elles s’acharnent sur ma pine dressée, à moitié à poil toutes les deux…
JC m’interrompt.
— Des photos ?
Je hoche la tête.
— Plein. Et Erin prenait la pose, façon film porno. Je n’aurais jamais pensé qu’elle était aussi délurée, sous ses airs de petite fille asiatique sage.
JC essuie un peu de transpiration sur son front.
— Elle n’est pas délurée…! Tu… tu me montres ?
Je sors mon phone et lui montre quelques photos. Lucie et Erin qui s’embrassent à pleine bouche, ma bite tendue entre leurs lèvres. Erin, seule, la bouche distendue par mon gland d’un rouge-cerise-bien-mûre, ses yeux bridés souriants fixant l’objectif.
Il grimace mais il a l’air d’adorer.
— Waw. La salope.
Je tique un peu.
— Quand c’est toi qui te tapes Lucie, tu es moins sévère.
Il opine du chef.
— Tu as raison. Tu me les enverras ?
Je souris.
— Sans problème.
Il soupire profondément.
— Donc, elle t’a sucé… et c’est tout ?
Je ris.
— Non. Au bout d’un moment…
…Lucie me prend entièrement dans sa bouche, m’enfonce dans sa gorge et me crache un flot de salive bouillonnante sur la pine.
Elle s’écarte et Erin la remplace devant moi, elle attrape ma bite à pleine main, se redresse en me branlant fermement, s’assied sur le canapé et plaque ses petits nichons sur ma queue encore dégoulinante de bave. Elle relève la tête et me fait une branlette espagnole entre ses petits seins fermes. Je passe les mains dans ses longs cheveux noirs, hypnotisé par sa beauté, par sa jeunesse et par son corps souple et fin.
Elle se mord les lèvres et je n’y tiens plus. Je me penche et l’embrasse à pleine bouche, elle me rend le baiser, je me régale de sa langue nerveuse qui tourne sur la mienne. Elle m’attire à elle sans rompre l’étreinte passionnée, s’allonge sur le canapé, les cuisses écartées, chope ma bite dans sa petite main et me guide entre les plis trempés de sa chatte.
Je la pénètre lentement, par à-coups. Jusqu’à la garde.
Elle rompt le baiser et rejette la tête en arrière.
— Oui… oui… oui… mmm…
Je prends ça pour un encouragement. Je donne des coups de bassin lents et mesurés, la chatte est étroite, bien plus serrée que celle de Lucie, qui se matérialise soudain au-dessus du visage d’Erin. Elle a grimpé sur le canapé et place sa minette juste devant moi.
— Ne m’oublie pas…
Je tends la langue et la plonge dans le vagin de ma femme tout en continuant de sauter notre invitée, qui gémit de plus en plus fort en contractant sa chatte déjà étriquée autour de mon chibre, décuplant ainsi mes sensations, mon plaisir. Elle se cabre soudain, le corps tremblant, je pose un dernier baiser entre les plis inondés de mouille de Lucie et me penche pour embrasser Erin, qui jouit bruyamment, ses couinements aigus me font penser à ceux d’un chaton excité…
JC m’interrompt.
— C’est exactement ça. Putain, ça fait des années que je cherche à quoi elle me fait penser quand elle jouit !
— Des petits « oui-oui-oui » chantonnés qui ondulent dans les aigus.
Il boit une gorgée de bière.
— Un chaton. Tu l’as vraiment faite jouir, salaud. En général, quand elle en arrive-là, j’envoie la sauce. Je ne peux pas résister.
Je hoche la tête.
— J’ai failli. Elle s’agrippait à moi, plaquait sa chatte serrée à mort à la base de ma queue en donnant des petits coups de bassin pour me sentir bien au fond, cherchait ma langue avec la sienne en couinant de plaisir, franchement, j’allais venir, mais…
…Lucie me chope le menton, me force à briser le baiser tellement hot et à la regarder.
— Tout doux, ne viens pas encore… fais-la jouir, mais garde-z’en un peu pour son cul…
Je hoche la tête et me retiens tout juste. Pour son cul ? Je demande à voir, JC m’a bien dit qu’elle ne voulait pas entendre parler de sodomie. Erin me happe à nouveau la bouche, elle halète, se cambre une dernière fois dans un long gémissement craquant et desserre son étreinte, essoufflée, repue.
Elle me prend les joues à deux mains et sourit. Ses yeux bridés me fixent amoureusement.
— Wow. C’était… canon… juste canon… wow…
Elle me repousse doucement. Ma queue sort de sa chatte avec un petit bruit de succion.
Je m’allonge sur le canapé. Lucie grimpe sur moi et se fourre ma bite dans le vagin sans attendre tandis qu’Erin enjambe mon visage et plaque sa toison triangulaire sur ma bouche.
— Suce-moi partout.
Je dégage mes épaules de sous ses cuisses fines et lui attrape les seins – ils sont durs et leurs tétons dardent d’au moins deux centimètres, un truc de fou, j’hallucine, excité comme jamais – et je plonge la langue dans la fente grasse aux saveurs d’Asie.
Elle me prend les cheveux à pleines poignées et me guide entre ses lèvres charnues, elle cherche sa jouissance et coule sur mon visage, je bois sa mouille par gorgées.
C’est à peine si je remarque Lucie qui danse sur ma queue, lentement, comme pour me garder en forme pour Erin. Elles gémissent à l’unisson, les aigus pour le plaisir donné par ma bouche, les graves pour celui donné par ma pine.
Erin grimpe plus haut sur ma tête. Je plante mon nez dans sa chatte. Elle se baisse et pose son petit trou sur ma langue tendue.
— Partout, j’ai dit.
Je souris et fourre ma langue dans sa rondelle, qui s’ouvre toute seule.
JC pose son verre de bière d’un coup sec.
— Quoi ? Wow wow wow… attends voir ! Tu me fais marcher, là ? Erin ? Erin t’a forcé à lui lécher le cul ?
— Comme je te dis.
Il se passe la main dans les cheveux, choqué.
— Mais qu’est-ce qui lui a pris, bordel ! Elle ne me laisse même pas y mettre un doigt !
Je ne dis rien.
Il a les mains qui tremblent. Pauvre vieux. Je le laisse avaler la pilule. Une minute se passe avant que je ne tente une explication.
— Lucie lui a tout raconté. Sodomie comprise. Erin voulait se venger… alors…
Il écarquille les yeux.
— Attends…! Qu’est-ce que tu veux dire, là ?
Je reste silencieux, un peu gêné.
Il secoue la tête.
— Non. Nononon. Impossible.
Je fais signe au serveur de nous apporter d’autres bières.
— … je n’y ai pas cru non plus, pour être honnête. Tu veux la suite ?
Il se cale contre le dossier de sa chaise et me fait signe que oui.
— Au point où j’en suis…
Je ricane nerveusement.
— Ok… donc… elle me chevauche la tête et m’offre son trou du cul à déguster, mais… bientôt, ma langue ne lui suffit plus. Elle attrape une de mes mains qui pelotent toujours ses petits seins…
…et la place sur sa fesse.
Je lape la chatte à nouveau accessible et tords le poignet pour accéder au Graal Asiate avec mon pouce… la pastille souple, enduite de salive et de mouille mêlées s’ouvre sous la pression de mon doigt épais, que j’enfonce lentement en imprimant un petit mouvement de vrille.
— Oh… oui… oui… mmm… oui…
Erin couine à nouveau, en poussant sur mon pouce fouisseur, bientôt happé jusqu’à la paume. Je suis au Paradis. Je remarque que Lucie ralentit le rythme de ses coups de reins sur ma bite, elle sait que je risque de venir si elle se fait trop pressante.
Erin se soulève et s’empale à nouveau sur mon doigt en m’écrasant le visage au passage. Elle recommence. Et recommence. De plus en plus vite. De plus en plus fort.
— Encore… encore… oui… encore…
Je n’en peux plus, elle me fait mal, je n’ai plus d’air… je dégage mon menton, pour respirer, elle le remarque et se soulève complètement en riant. Lucie l’imite. Je me redresse en chancelant, le cou tordu, le corps en sueur.
— Viens.
Lucie me prend par la main et me guide jusque dans la chambre.
La petite japonaise s’installe à quatre pattes sur le lit, elle relève sa jupe serrée autour de ses hanches et me présente ses fesses minuscules.
Lucie s’installe à genoux à côté d’elle et lui écarte les lobes du cul en me regardant, souriante.
— Fais-lui plaisir. Et sois doux.
Je m’installe entre les jambes d’Erin. Elle se retourne et me fait un petit sourire inquiet.
— C’est la première fois…
Je me penche et l’embrasse sur les lèvres.
— Ne t’inquiète pas, je serai doux.
Elle hoche la tête.
Je me redresse et place ma queue entre les lobes mats, juste à l’orée du petit trou plissé encore humide…
— …et c’est là que sont arrivés les deux livreurs de lave-vaisselle de la dernière fois.
JC saute au plafond.
— DE QUOI ???
— Nan, je déconne.
Je suis pris d’un fou rire incontrôlable.
— Tu aurais vu ta tête !
Je pleure de rire.
Il souffle bruyamment, une main sur son coeur.
— Putain, la flippe ! Waw, j’ai failli avoir une crise cardiaque ! C’est pas drôle !
J’essuie des larmes de rire.
— Hihi, tu as fait une de ces tronches…
Il ricane.
— C’est déjà assez chaud comme ça pour moi… n’en rajoute pas… la fliiiippe !
Je parviens à me calmer.
Tout juste.
— Donc… je place mon sexe entre les lobes de son petit cul, juste sur la rondelle souple sur laquelle s’est aggloméré un amas de salive et de mouille qui forme un petit grumeau blanchâtre…
…j’en enduis mon gland et je pousse avec douceur.
Le creux plissé s’ouvre sous la pression. Je m’y enfonce sans hâte, par à-coups contrôlés, et admire la courbure étroite de ses fesses qui s’écartent à mesure que je pénètre le fruit défendu.
Erin respire profondément à chaque centimètre investi, à chaque poussée de mes reins, elle m’accueille en elle en se caressant la chatte d’une main, pendant que Lucie nous encourage d’une voix douce.
Le chapeau rougi de mon gland enflé à mort disparaît entièrement, l’anus distendu se referme autour dans un petit « plop » humide, Erin se tend et halète comme si elle venait de finir un 100 mètres.
— Attends… oh…attends… doucement… han…
Je me retiens, la laisse se détendre autour de ma queue, elle se décontracte, se masturbe plus rapidement, et me donne le feu vert.
— ..viens… maintenant…
Alors j’y vais.
Je l’encule.
Mes coups de reins se font plus amples.
Le petit trou se lubrifie.
Elle pousse sur son cul et s’ouvre complètement pour m’encourager.
Et elle aime ça.
— Oh… oui… oui… oh… oh oui… mmm… oh…
Elle s’enfonce sur ma queue jusqu’à la garde, je la ramone au plus profond, elle me chope les couilles par-dessous avec sa main et les frotte contre sa chatte trempée en miaulant de plaisir.
— Viens… viens… oh… plus loin… ouiouioui… plus loin…
Je remarque à peine Lucie qui s’est placée devant elle, allongée, jambes écartées et qui se masturbe en nous matant.
La petite japonaise s’affale complètement sur le lit et se met à brouter la chatte de Lucie pendant que je l’encule.
Je me penche et lui embrasse le haut du dos tout en limant comme rarement j’ai limé, mon pelvis butte contre le petit cul étroit et claque bruyamment, Erin me presse les couilles douloureusement, et Lucie se frotte le clito à se l’arracher pendant que la petite lui lèche le vagin en miaulant de plus en plus fort.
— Encore… encore… mmm… plus loin…
Je la pilonne en matant juste ses grands coups de langue dans la chatte de ma femme, je pousse ma queue dans ses boyaux, je sens son cul se contracter… et…
— Oooooh… ohhhh… OUI !
…elle jouit en écartant les cuisses pour m’accueillir plus loin…
…c’est ça qui me fait partir…
…je sens le sperme monter dans mes couilles qu’elle écrase toujours entre ses petits doigts…
…monter dans mon chibre tendu…
…j’essaye de le retenir au bout de mon gland…
…mais…
…j’explose dans le petit cul serré en spasmes profonds…
…délicieux…
…divins…
…elle crie et rit et geint et gémit…
…je l’ensemence et l’inonde…
…l’anus déborde de nos jutes…
…Lucie nous enlace…
…bénit notre jouissance commune…
…elle trouve mes lèvres…
…je finis de me vider en l’embrassant…
…éperdu de plaisir.
Je m’affale sur Erin, je l’enlace, l’embrasse, cherche ses seins des mains. Elle respire difficilement, le corps trempé de sueur, mais elle ne repousse pas ma bite, toujours bien calée au fond de son cul. Elle chuchote:
— Jamais… jamais…
Je la lutine doucement. Nos fluides dégoulinent le long de mon chibre encore vigoureux.
— Oh… jamais… joui… comme ça… trop bon… canon… encore…
Je souris.
Et je reste en elle jusqu’à ce que ma queue ait totalement dégonflé, en continuant de la baiser doucement…
— …ce qui a pris un moment.
JC reste silencieux, comme sidéré.
Je le laisse digérer mon récit.
Je bande douloureusement dans mon pantalon trop serré. Je me serais limite caressé en revivant la scène.
— Ça va ?
Il hausse tristement les épaules.
— Et… c’est tout ?
Je souris.
— Il fallait qu’Erin rentre chez elle, chez toi. On s’est douché tous les trois, elles m’ont sucé, j’étais suffisamment excité pour bander à nouveau… j’ai sauté Erin debout, en la plaquant contre le carrelage, puis je me suis fini en baisant Lucie, en levrette, debout sous l’eau chaude pendant que ta femme se rhabillait en nous matant. Ensuite, on s’est dit au revoir comme les vieux amis que nous sommes et voilà.
Il hoche la tête.
— Alors… j’imagine que c’est fini entre nous ?
Je fronce les sourcils.
— Entre qui et qui ?
Il hausse les épaules.
— Toi et moi. Erin et moi. Tout le monde.
Je m’étonne.
— Pourquoi ça ?
— Bah… tu te tapes ma femme…
Je souris.
— Et toi la mienne.
— Elle m’a trompé ! Je devrais te casser la tête !
Je ris.
— Allons JC, pas de drama inutile. Finis ta bière et écoute-moi, j’ai une autre idée…
On entre dans l’appartement, on dégage nos shoes et on accroche nos vestes sur le porte-manteau.
— Lucie ?
— Mmm… Je suis dans le salon…
Cette fois, on remarque le gémissement. On passe par la cuisine, je sers un jus d’orange à JC et je m’en prends un, puis on va pour la rejoindre.
Je souris en entrant dans la pièce. JC marche sur des oeufs, mais il semble apprécier aussi le spectacle.
Lucie et Erin sont à moitié à poil en train de se peloter les nichons et de s’embrasser à pleine bouche.
— Ne restez pas plantés là, les garçons…
J’ouvre ma braguette, sors ma queue déjà bien dure et viens la fourrer sous le nez de la petite japonaise. JC m’imite et vient se placer devant Lucie.
Elles commencent à nous lécher lentement, à grands renforts de soupirs satisfaits et de sourires complices.
On va passer une bonne soirée.