Autour de petits flirts entre Amis – Chapitre 08
Chapitre 8 : Enceinte
Je suis assise sur la cuvette des toilettes. Un peu nerveuse. Bon. Carrément nerveuse, d’accord. Je glisse le petit tube plastifié blanc sous ma moussette et je me concentre pour faire pipi dessus sans m’en mettre sur les doigts.
J’ai toujours plus de mal quand c’est pour le test.
Il est rare qu’uriner détermine le cours d’une vie, tout de même.
Alain attend dans la chambre, encore à moitié endormi.
Il sait que j’ai attendu ce matin que l’envie soit trop pressante, pour ne pas me bloquer.
C’est raté.
Je respire lentement.
Je pose le petit tube, je fais glisser ma culotte à mes pieds et j’enlève ma nuisette que je pose en boule sur le carrelage gelé.
Nue.
Cette aventure m’a rendue moins timide. Plus exhibitionniste. Plus consciente de ce que mon corps provoque chez les hommes. Il est presque normal que je fasse ce test nue, sur la cuvette des toilettes. Je devrais sucer Alain pour compléter le tableau. J’hésite à l’appeler. Je suis sûre qu’il adorerait.
Je replace le tube.
Le jet fin et erratique asperge le plastique. J’ai le cur qui bat très fort.
Je m’essuie et regarde le tube en priant pour que cette fois…
– Alain !
Je sors des toilettes et sautille jusque dans la chambre sur la pointe des pieds. Je n’ai pas remis ma culotte. Ni ma nuisette.
– Alain !
– Mmmzzgue c’est ?
Je ris.
– Regarde !
Il plisse les yeux dans la lumière dorée du matin.
La croix bleu-océan est parfaitement visible.
Je suis enceinte.
Il me regarde en souriant.
J’attrape sa queue sous les draps, tendue, vive l’érection matinale des hommes.
J’enfourche le mât de chair et m’y empale brutalement.
J’ai envie de mes quatre hommes à la fois – il va falloir qu’il assure !
***
– Penche-toi un peu.
Olivia membrasse sur les lèvres. Sa grossesse ne se voit pas encore. Elle l’a découverte un mois avant moi. Elle est nue, à genoux sur le lit.
Alain glisse sa queue dans mon vagin épilé de frais, le regard amoureux.
Le test est positif !
Je n’en reviens toujours pas !
Nous lavons fait ce matin seulement, on a appelé tous les copains, j’avais promis ce cadeau spécial à Alain…
Nous fêtons ça ce soir tous les huit.
– Encore un peu.
Je ne sais pas qui est le père. Évidemment.
Stephen retire son pouce. Je gémis.
– Mmm.
Il a un sourire dans la voix.
– Cest bon
Je sens Alain se caler jusquà la garde, il ne bouge plus du tout. Il mécarte les fesses de ses deux mains. Jespère que le bébé pourra ressentir le bien-être qui menvahit alors que Stephen passe derrière moi.
Laurent soccupe de Suraya en attendant son tour, il la pénètre avec lenteur, elle lallume en lui montrant ses gros seins siliconés. Souley se fait sucer très doucement par une Sylvie encore toute habillée, pantalon rouge moulant, veste de cuir qui dessine avantageusement ses courbes parfaites. Il tend les mains et la désape. Elle se laisse faire sans arrêter davaler le barreau de chaise quelle tient entre ses petits doigts serrés.
Jai enduit la longue queue de Stephen dhuile parfumée à la mangue.
Son gland écarte déjà les pétales de ma rose intime.
Cest la première fois que nous essayons comme ça, en sandwich, devant et derrière. Olivia ma dit que cétait divin, j’ai peur d’avoir mal, mais tellement envie…
Et je suis curieuse de les sentir en moi. Tous.
Je me mords la lèvre, je ferme les yeux et j’embrasse Alain.
Cette grossesse va être riche en émotions !
Stephen presse plus fort sa pine douce sur mon petit trou. Il a fait du bon travail en l’assouplissant avec le pouce, je suis prête à engloutir plus gros.
Alain se tend sous moi.
– Dou…cement…
Je ris contre ses lèvres. Le pauvre chéri, je l’excite trop, ainsi offerte. Je presse mes seins durcis par le désir contre sa poitrine et je contracte la chatte juste ce qu’il faut. Je le sens serrer les dents pour se retenir…
Stephen me pénètre, je sens le passage du gland d’abord, happé facilement par mon anus gourmand, puis la queue, qui s’humecte de mon bonheur douloureux, par à-coups.
– Hmmm.
Je ferme les yeux, le souffle coupé. Je vole. Je suis dans un autre monde, dans une autre dimension, je ne suis que cette fille, empalée des deux côtés, je ne suis que ces bites, plaisir et douleur, je ne suis que cette chatte trempée et ce cul écartelé.
Je sens mes deux hommes entamer leur danse, l’un avance, l’autre recule, l’un me baise, l’autre menc
Au milieu, je me pâme, en sandwich, je gémis, les encourage, ils accélèrent, des mains m’écrasent les seins, une langue fouille ma bouche, puis une queue s’y glisse avant que je ne comprenne qu’un troisième larron s’est joint à la fête, Laurent.
Je prends conscience de la sueur qui me coule le long du dos, des cris – les miens – qui emplissent la pièce, du plaisir multiple qui agite mon corps. Suraya et Sylvie ont déshabillé Souley qui leur remplit la bouche tour-à-tour, les deux garces à genoux devant lui, s’embrassant parfois, gémissant souvent.
Stephen sort lentement, il rejoint Olivia, à quatre pattes, qui le supplie de la prendre directement derrière, dune voix haut perchée, urgente. Je me demande si elle a tant envie ou si cest juste pour quil moublie très vite
cette petite compétition entre nous mexcite. Il lui lèche le cul et la pénètre sans attendre, les yeux rivés sur mon corps. Je souris en coin.
Laurent sest glissé derrière moi et a rempli le vide laissé par Stephen. C’est doux, la queue est modeste, fine, nerveuse. Ça me rappelle notre première fois, ma première sodomie, attachée à son lit, consentante et tremblante. Coupable. Je souris et rougis encore de ce moment. Il me lutine tandis qu’Alain m’embrasse et me pistonne par-dessous. Il attend son tour, il est patient, et partageur.
– Lève la tête, Yen.
Souley pose son énorme engin sur ma joue, je le happe sans attendre, ma mâchoire tendue à craquer.
Il va vouloir me prendre aussi, j’ai hâte et j’ai peur, son sexe veineux et noir est tellement énorme. Suraya m’attrape un sein et me le presse. Elle sait que la queue de son mari m’attire et m’effraie à la fois. Je pousse le gland couleur prune au fond de ma gorge et hoquète, des étoiles dans les yeux m’aveuglent momentanément, j’étouffe. Il me libère et plonge le gland luisant de ma salive dans la bouche de Suraya qui l’avale entièrement, d’un seul trait, en me regardant du coin de l’il, coquine. Sa gorge se déforme, se distend, ça m’excite, je me contracte sur les queues qui me baisent, devant et derrière, mes deux hommes le sentent, accélèrent, mes gémissements deviennent des couinements aigus, je jouis, emportée par l’orgasme, Alain rit sous moi, il aime me voir prendre du plaisir… Souley me fourre son dragon dans la bouche, je le garde, au bord des lèvres, je frissonne, j’en veux encore…
Il me caresse les cheveux comme on flatterait une chienne docile. Je souris intérieurement, c’est un peu ce que je suis devenue, ce que nous sommes toutes devenues… avec consentement plein et entier.
Suraya pince mes tétons, me malaxe les seins en pressant son corps généreux contre moi. Laurent sort lentement d’entre mes fesses et les embrasse avant de descendre du lit. Du coin de l’il, je le vois rejoindre Sylvie, lui prendre la bouche, fougueusement, et la retourner, debout contre le mur.
Souleymane passe derrière-moi. J’ai l’anus qui chauffe.
Sylvie se cambre. Laurent écarte ses fesses et la sodomise sans ménagement. Elle crie, un sourire dans la voix.
Olivia a enfoncé la tête dans un coussin, elle inspire et expire bruyamment à mesure que Stephen la
sodomise
, lentement, précautionneusement, de toute la longueur de son membre soyeux. Elle aime. Mais jaime aussi. Plus que je ne laurais cru lorsque jai rougi de sa question, la première fois. Plus que je ne laurais cru aussi lorsque Laurent ma demandé alors quAlain lui-même navait jamais osé
que lorsque je me suis offerte, impudique et timide à la fois.
Souley glisse son pruneau entre mes fesses.
– Tu vas prendre cher, petite déesse d’Asie.
Suraya m’embrasse. Je m’ouvre au passage de la longue queue. Je ne respire plus.
Je sens les yeux d’Alain sur moi, ses mains sous mes seins, sa bite qui bat entre les plis serrés de ma chatte.
– Ooooh…
Souley est immense… si long, si nerveux, si plein
jai le cul qui se déchire à chacun de ses allers, qui se rétracte à chacun de ses retours
…il entame sa danse…
…une matraque veineuse qui me transperce…
…je ne peux que serrer le cul pour mieux le sentir… jessaye de me détendre
…il glisse… pénètre…bute…remonte…
…le bord du gland énorme me fait chavirer chaque fois qu’il le sort et l’enfonce à nouveau, j’ai le ventre vide et le ventre plein, j’irradie de plaisir, de douleur, de plaisir, de douleur…
…Alain a sa langue dans ma bouche, il me fait l’amour, je le sens à peine tant la gloire de la queue de Souley me transporte…
…et soudain, il s’arrête, grogne, sa bite enfle – si c’est encore possible – il tremble, secoué de spasmes lents…
– Pu….. t…. oussshhh…
Les secousses deviennent sismiques, des éclairs me parcourent le corps, les reins, je viens alors quil retient sa jouissance
je vole
sept ciels maccueillent dans leurs bras
je redescends
le cul en feu, le cur à vif
la tempête se calme..
Il saffale sur moi, se plaque contre mon dos, je suis écrasée entre mes deux hommes, je respire à peine, je suis en nage.
– …c’est pas passé loin. Susu m’aurait niqué si j’avais défouraillé…
Je le provoque en me cambrant douloureusement.
– Oh
défouraille, mon beau
remplis-moi
Son rire de basse résonne dans la chambre.
– Nan, petite chinoise, elle va prendre cher aussi
Il sort lentement, Suraya est déjà prête, au bord du lit, le cul offert.
– Prendre cher, hein
? Viens-là, que je te montre qui va prendre cher !
Il rit encore, la contourne et la prend sans attendre. Elle me sourit, satisfaite de mon état.
Il ne reste qu’Alain et moi.
Je n’ai plus de forces.
Il me retourne, sur le dos, passe sur moi, un sourire aux lèvres. Je sais ce quil veut.
Je lattire à moi et lembrasse.
– Viens.
– Jy compte bien
Je reste sur le dos, allongée.
Il écarte mes cuisses, me fait plier les genoux.
Et il se glisse, comme ça, dans mon cul rougi, visité par ses trois potes ce soir, une épée dans un fourreau, il effleure à peine les bords distendus, une plume dans un encrier bien trop large… je me contracte autour de la pine pour mieux la sentir. Il apprécie.
– Félicitations, ma belle…
Il touche mon ventre tout en me lutinant avec amour.
On va avoir un bébé !
– Félicitations à toi
tu vas être papa
Il accélère ses va-et-vient. Je me sens bien, entre ses bras. Il plaque son pouce contre mon vagin, écarte les lèvres moites, appuie sur mon petit bouton sensible, je gémis à l’unisson avec mes amies qui geignent et couinent à mesure que leurs maris les burinent à grands coups de reins.
Je prends mes seins entre mes mains et les presse de toutes mes forces. Le plaisir irradie dans tout mon corps, une tempête de sensations, j’accompagne la queue qui me remplit le cul en me cambrant, en serrant et desserrant l’illet souple, distendu, je sens les bourses d’Alain effleurer les lobes de mes fesses et je sais qu’il va venir bientôt.
Je me mords les lèvres, je me fais provocante, il me fixe, les yeux remplis d’amour, je lui montre que j’aime, que j’en veux plus, en ondulant le bassin et en criant chaque fois qu’il me pistonne.
Je pars.
Stephen vient le premier. Je l’entends expirer à chaque spasme de son sexe, je tourne la tête, il me regarde tout en jouissant, chaque jet de sperme m’est offert, je le sais.
– Je t’aime.
J’ai chuchoté, mais Alain m’a entendue. Il me pilonne plus fort, ça l’excite que j’en aime un autre.
Souleymane grogne, Suraya l’encourage en déversant un torrent de grossièretés, je ris tout en me pâmant de l’interminable orgasme. Laurent s’arrête soudain de sodomiser Sylvie, il retire son pénis des plis du cul arrondi et se vide sur les lobes blancs, presque sous mon nez.
C’en est trop pour Alain.
Sa queue enfle et explose.
Je nai pas menti à Souley. J’aime qu’on vienne dans mon cul, je me sens pleine, accomplie, remplie, complète. Et quand cest Alain
ou Stephen
Je souris.
Alain m’inonde de sa semence en tremblant de tout son corps, j’écarte les cuisses pour qu’il ne manque rien du spectacle de sa queue prisonnière de mon petit trou plissé et irrité, je me fais salope, les hommes aiment ça – mes hommes – alors je le leur offre avec plaisir.
Une queue poisseuse et odorante tombe sur mon nez. Stephen, mon ami, mon amour.
Je la bécote du bout des lèvres – ce n’est pas très propre, mais l’amour peut être sale, parfois. Je m’enhardis et le lèche franchement, en veillant à ne pas avaler ma salive, c’est dégueu, c’est bon.
Alain se rétracte déjà, il s’affale sur moi, épuisé, et m’observe pendant que je suce notre ami. Olivia l’attire à elle, il l’embrasse sur la bouche, sort de moi en frissonnant, oublieux des liquides qui maculent mes fesses et mes cuisses ouvertes et disparaît avec elle dans un coin de la pièce.
Stephen s’installe mieux, au-dessus de moi. Je le gobe sans rechigner.
Il durcit déjà.
Je suis sûre que je peux le faire venir une deuxième fois.
Lui, et Souley, et Laurent.
Je suis enceinte.
Rien ne m’est impossible.