Entre Amis,  La Plume de Florean,  Petits Flirts entre Amis II

Autour de Petits Flirts entre Amis – Chapitre 05

 

Stephen

J’ai rencontré Sylvie alors que je faisais les boutiques sans Olivia pour me racheter un peu de fringues pendant les soldes – je déteste.
On a discuté un peu, elle m’a demandé si je voulais boire un verre en copains…
Elle s’étire à côté de moi, lovée contre mon épaule.
On est monté chez elle, Laurent n’était pas là. Elle m’a mené vers la chambre, son sourire doux et timide aux lèvres.
Elle m’a embrassé, allongé sur le lit, désapé, sucé… longtemps et complètement…
Elle me regarde, sa main court sur mon corps nu, descend sur ma queue au repos.
Elle s’est mise à poil et m’a sauté, comme si c’était naturel, normal… c’est elle qui a tout fait. Sa chatte n’était pas aussi épilée que d’habitude, les poils drus et noirs ont repoussé, c’est beau, aussi.
Puis elle s’est retournée et m’a glissé entre ses fesses, m’a englouti dans son cul rondelet, blanc crème. Elle m’a pris jusqu’à la garde, a ondulé le bassin pour mieux me sentir, la tête rejetée en arrière, en gémissant discrètement.
Je suis venu très vite – c’est qu’elle est excitante, elle a cette timidité dans le regard, dans le visage, cette gaucherie dans l’attitude, mais elle se donne sans tabou, elle aime le sexe et s’y adonne avec une ferveur déconcertante, elle m’a avoué adorer la sodomie, plus que de raison, et ça c’est incomparable pour un homme…
Elle me presse la queue du bout des doigts, comme pour voir si j’ai encore des réserves pour elle.
– Il va falloir que tu partes, Laurent va rentrer.
Je glisse un majeur tentateur dans sa fente encore humide.
– On te baisera à deux.
Elle rit.
– Non. Il ne sait pas que tu es là, il pourrait être jaloux.
Je hausse un sourcil. Jaloux ? Après tout ce que nous faisons depuis quelques mois ?
Elle explique:
– Je le préviens toujours avant de mettre l’un de vous dans mon lit.
Je hoche la tête.
Le danger d’être découvert m’excite. Elle le sent contre sa paume et commence à me branler lentement.
Je l’embrasse. Ses lèvres sont très molles. Elle sourit timidement et chuchote:
– Pourquoi tu ne le lui dis pas ?
– De quoi ?
Elle me masturbe plus vite.
– A Yen.
Je la regarde sans comprendre. J’ai toujours mon majeur dans sa chatte qui devient soudain plus chaude, plus grasse.
– Tu veux que je lui dise qu’on a baisé aujourd’hui ?
Elle secoue la tête et pose ses lèvres sur les miennes.
– Non. Pourquoi tu ne lui dis pas que tu l’aimes…?
J’ouvre grand les yeux.
– Oh.
Elle acquiesce, l’air coquin.
– Comme tu dis. Oh. Tu crois que personne ne le sait ?
Je ne réponds pas.
Elle m’embrasse le torse, descend lentement et me prend dans sa bouche avant d’ajouter:
– Il faut vraiment que tu y ailles… Imagine que c’est Yen qui te suce…
Je ferme les yeux alors qu’elle m’enfonce dans sa gorge brûlante.
Elle a raison.
Il faut que je voie Christine-Yen.
 

***

Yen me sert un thé foncé et y ajoute un sucre. Alain sirote déjà le sien, il couve Olivia des yeux, il faut dire qu’elle est magnifique dans sa robe fendue au décolleté vertigineux, maquillée outrageusement façon sixties…
Elle est là pour l’allumer.
Ça marche.
Yen est habillée en blanc, son haut est serré, il moule ses seins généreux d’une manière affolante.
Elle me sourit.
– Mes parents te diraient que le sucre est la mort du thé.
Je ricane.
– Et je leur répondrais que sans sucre, c’est moi qui mourrais !
Elle plisse joliment ses yeux bridés en posant le plateau sur la table basse.
Olivia et Alain se tiennent la main, les doigts entrecroisés. Yen s’assied à côté de moi, sa jupe blanche très courte révèle presque entièrement ses cuisses. J’essaye de ne pas penser au moment où nous allons nous retrouver seuls, tout à l’heure.
Enfin… j’espère pouvoir avoir ce moment…
Olivia a prévu un petit quelque-chose, pour ce soir, elle a son air satisfait, la moue mutine qu’elle arbore lorsqu’elle a une idée un peu salace à me proposer.
Elle sourit.
– Buvez vite…
Ça tire dans mon ventre. J’ai envie de savoir ce qu’elle mijote. Je bande. Yen s’en aperçoit et glisse discrètement les doigts sur la bosse qui déforme mon pantalon. Elle appuie. Je me tends. J’ai envie !!!
Yen rit discrètement et glisse soudain au sol, entre mes jambes.
– Debout.
Olivia l’imite et se place entre les cuisses d’Alain.
– Toi aussi.
Il me jette un regard, hausse les épaules et obéit. Je me lève.
Yen déboutonne mon jean, Olivia descend déjà celui d’Alain – slip compris.
Les filles accueillent nos érections avec des petits rires.
Yen me suce un instant, en relevant son haut serré. Ses seins mats sont fermes, les pointes dressées. Elle me les montre ostensiblement en me caressant la bite.
– Allons-y, dit Olivia.
Yen et elle se placent  juste sous nos queues.
– Venez sur nos visages…
Je souris en me branlant doucement, mais Olivia secoue la tête.
– Non, pas comme ça. Masturbez-vous mutuellement.
Je fronce les sourcils. Yen pouffe en gonflant ses seins nus.
– Comment ça ?
Olivia sourit, malicieuse.
– Tu branles Alain pour qu’il vienne sur moi. Et inversement.
Je secoue la tête.
– Mais… on n’est pas homos…!
Elle rit.
– Et nous ne sommes pas lesbiennes, et pourtant…
Elles s’embrassent à pleine bouche.
– Si vous le faites, on dort tous les quatre ensemble ce soir pour une nuit de sodomie uniquement… deux petits culs… toute la nuit… sans préliminaires… deux petites soumises pour votre fantasme absolu…
L’idée me fait frémir… enculer les deux… les posséder… ensemble…
C’est Alain qui se décide en premier.
– Désolé, mon pote… On ne peut pas refuser, tu permets ?
Il m’attrape la queue d’une main ferme et l’astique maladroitement, en regardant Olivia, mi-nue, bouche ouverte, langue tendue.
Je me sens ridicule.
– Ok.
Je glisse ma main sur la bite inconnue. Elle est petite, par rapport à la mienne, mais ferme, épaisse. Je branle un autre homme. Ça me fait frémir. Est-ce que c’est ce que ressentent les filles quand elles se caressent et s’embrassent mutuellement ? Je rougis en admirant les yeux plissés de Yen, qui me sourit toujours, et m’encourage en me montrant ses seins bien pleins, bien gros.
Alain me masturbe plus efficacement. J’essaye de ne pas y penser, juste ressentir le plaisir.
– Viens… Tu pourras me prendre derrière… autant que tu veux…
C’est Olivia qui encourage Alain, mais Yen approuve en hochant la tête, ses yeux reflètent cette promesse…
– Allez…
Yen me lèche le gland du bout de la langue.
Olivia happe la bite de Alain et chuchote:
– Si vous vous sucez l’un l’autre, les garçons, on part 15 jours tous les quatre cet été et vous faites ce que vous voulez de nous, où vous voulez, quand vous voulez.
Yen la regarde, surprise. Puis elle approuve d’un signe de tête.
– Tope-là.
Je secoue la tête.
– Sucer Alain ?
Il tourne la tête de mon côté et semble réfléchir.
Sa main s’est raffermie autour de ma queue. Il m’astique toujours.
Olivia ajoute:
– Sodomie. Fessées. Pipes matin midi et soir. Quand vous n’en pourrez plus, je baise Yen devant vous. Esclave de vos désirs secrets.
Comme pour appuyer ses propos, Yen l’embrasse.
Je sens qu’Alain hésite.
Je m’imagine avec Yen et Olivia en esclaves sexuelles ou presque, en Vestales prêtes à assouvir tous nos désirs…
…mais sucer un homme…
Yen ôte son haut blanc, sa jupe, elle me montre sa poitrine démesurée, la presse,  gonfle les poumons, pince ses tétons, comme pour me défier de refuser. Elle glisse une main sur sa chatte, ses doigts tournent et fouillent.
Alain est prêt à le faire, je le sens. Il me branle plus vite, plus fort. Sa queue devient plus dure entre mes doigts.
L’idée me dérange et m’excite. Je fixe des yeux les seins de Yen, ses lèvres et je viens entre les doigts d’un homme, d’un ami, pour la première – et la dernière – fois. Je me soulage pleinement tandis qu’Olivia peste en suçant Alain pour le finir, je ne me suis pas aperçu que je l’ai lâché dès les premiers spasmes. Yen est couverte de mon sperme, des jets gras lui strient les tétons, elle sourit et s’approche, me lèche le gland, aspire la fin de ma semence, je ne la quitte pas des yeux, la caresse est trop délicieuse après l’effroi d’avoir presque accepté leur défi.
Je me penche et l’embrasse, elle me serre dans ses bras, ça colle, je m’abandonne, m’agenouille et l’entends chuchoter à mon oreille.
– Tu n’as qu’à demander.
Je souris.
Je sais qu’elle est sincère, prête à tout pour assouvir mes envies.
Je pose mes lèvres tout près de son oreille à mon tour et je prononce les mots que je n’ai pas assez dit.
– Je t’aime.
Elle me serre de toutes ses forces contre elle. Olivia suce toujours Alain qui souffle bruyamment.
Yen me prend la main et se lève.
– Viens.
Je la suis jusque dans la chambre.
Elle ferme la porte, belle, nue.
S’allonge sur le lit.
Ecarte les cuisses et révèle son sexe lisse.
– Viens.
Je souris.

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