Alysha,  La Plume de Florean,  Le Contrat

Le Contrat d’Alysha – Chapitre 01

J’entendis la voiture d’Alysha entrer dans l’allée. Je savais qu’elle devait voir un client cet après-midi pour lui présenter les motifs de maillots de bain qu’elle créait, et je ne voulais pas la déranger – je travaillais sur un compte-rendu d’audience à l’étage, à domicile, exceptionnellement. Je regardais à la fenêtre.
Elle sortit de la voiture, belle comme le jour, une jupe courte, un haut blanc sans manches qui enserrait sa poitrine ferme et généreuse, des hanches larges sous une taille fine, de longues jambes,  je l’aimais, elle était belle.
Elle guida son client vers la porte, je ne distinguais pas leurs paroles, elle souriait.
Je les entendis entrer et décidai de descendre prévenir Alysha de ma présence – je m’occupais de ses contrats, en tant qu’avocat-conseil, l’un des avantages d’avoir un juriste pour compagnon.
Je m’apprêtais à frapper à la porte quand j’entendis:
– …même vos gros seins ?
Je m’arrêtai net.
Alysha avait un rire dans la voix quand elle répondit:
– Je vous demande pardon ?
Le client ne se démonta pas.
– Je veux savoir si ces motifs que vous avez dessinés pour vos maillots de bain mettraient en valeur vos gros nichons ?
Je déglutis, imaginant la gêne de ma compagne.
– Monsieur, je vous garantis que ces motifs mettront en valeur mes gros seins, oui. Et le tissu n’irritera pas mes tétons, si vous vous en inquiétez.
J’écarquillai les yeux de surprise. Qu’est-ce qui lui prenait !?
– Intéressant, rétorqua le client.  Je veux vous voir essayer ces maillots devant moi avant de me prononcer. Voir vos seins pointer sous le tissu. S’ils m’excitent, ils exciteront nos clients.
Cette fois, Alysha allait bien le claquer !
– Monsieur est un connaisseur… Je n’ai que des modèles mannequin, ils seront un peu serrés pour mes mensurations, ne soyez pas trop sévère dans votre jugement. Mais si vous aimez les seins gonflés sous une lingerie fine, ça devrait vous plaire…
Je ne respirais plus ! Elle allumait ce mec ! Je soufflai et décidai de mettre un terme à cette mascarade. Je m’emparai de la poignée quand le client répondit, goguenard:
– N’oubliez pas que nous parlons d’un contrat de 100 000 euros.
Je stoppai net. Combien ???
Alysha semblait ravie.
– Le client est roi. Tournez-vous, pendant que je me déshabille.
– Vous allez me priver de la meilleure partie du spectacle ? Soit. Je ferme les yeux.
J’entendis Alysha dézipper sa jupe, le tissu glisser sur ses longues jambes, et devinai qu’elle ôtai son string blanc pour mettre son bas de maillot.
– N’ouvrez pas les yeux, j’enlève mon haut.
Je voyais dans mon esprit son haut blanc passer par-dessus sa tête, sa poitrine révélée, deux gros seins couleur sable d’orient aux aréoles petites et claires, bientôt recouverts d’un haut de maillot trop serré pour les cacher efficacement. Je brûlais de la voir, je sentais mon sexe enfler dans mon pantalon, et la jalousie me ravageait le coeur.
– Vous pouvez ouvrir les yeux. Ça vous plaît ?
– Vous êtes… superbe ! Le maillot met en valeur vos formes, le motif est sexy et joyeux, on a envie de vous peloter au premier regard. Vos nichons débordent, penchez-vous un peu… pour voir leur galbe…
– Oh ! Monsieur ! C’est osé !… Mais merci pour le compliment !
– Mmmh, ravissant, tournez-vous, que je vois votre… maillot… Délicieux, la façon dont la culotte entre dans vos fesses… Mettez-la comme un string… Rentrez-la bien dans la raie…
– Oh, monsieur est un vilain voyeur.  Pas de ça, je ne fais pas un strip-tease, je vous présente mes produits !
Je sursautai presque de la rebuffade. Quand même, elle se reprenait ! Je respirai mieux, rassuré. Elle continua:
– Cependant, je comprends que vous ayez envie d’en voir plus… Fermez les yeux, que je passe le second maillot, il devrait vous plaire: c’est un string.
– Hé hé, mine de rien, vous êtes une petite coquine. Je ferme les yeux, sagement.
Bruit de tissu. Mon coeur battait à tout rompre, je ne pouvais pas intervenir, je voulais savoir jusqu’où elle irait. Je glissai inconsciemment la main vers mon pantalon et commençai à ouvrir ma braguette, je bandais trop. Alysha étouffa une exclamation,
–  OUPS ! AH ! Non ! Vous trichez, je n’ai pas encore mis mon haut ! Retournez-vous !
– Vos seins sont trop beaux pour que je me prive de les voir. Restez comme ça – vous faites bien du monokini sur les plages, non ?
– Oui, mais…
– Bon, et bien c’est pareil. Sur les plages, vous montrez vos nichons à tout le monde, et là, vous me les montrez à moi, ça n’est pas très différent.
– Je…
– Ne discutez pas. Retirez vos mains de vos seins. C’est ça, lentement… De vrais obus… Superbes ! Voyons ce string… Très joli. Il dessine parfaitement les lèvres de votre sexe. Tournez-vous.
– Mais…
– Tournez-vous !
Je déglutis, je haletais de haine et de colère. Qu’allait faire Alysha ?
– Voilààà, lentement… Vous avez un cul merveilleux, cambrez-le… Je bande comme un ado rien qu’à vous imaginer voir glisser ce string le long de vos jambes… Permettez que je sorte ma bite pour me caresser un peu, vous êtes trop bonne…
– Allons, monsieur, il ne faut pas….
– Taisez-vous. Tournez-vous et laissez moi vous mater.
– Ne me parlez pas comme ça !
– C’est ça, mets-toi en pétard, ça fait gonfler tes mamelons. Approche, que je les palpe…
-Non je…
– Viens là, je te dis ! Ils sont bien fermes, dis-moi… Donne-moi ta bouche…
– Non, je ne peux pas, que vous me matiez, je peux vivre avec, mais de là à tromper mon compagnon…
– Allons, ce n’est pas le moment de faire ta prude, viens là… Mmmmmh !
– non… Mmmmmmh !
Ils s’embrassaient ! J’attendis un instant de voir la gifle qu’elle allait lui balancer !
– Tu aimes que je te palpe les seins comme ça ? Et que je glisse mes doigts dans ta culotte ? Mais ma parole, tu mouilles comme une fontaine ! Embrasse-moi encore, mmmmmmmh !
Alysha haletait de plaisir.
– okay pour la bouche de monsieur, s’il me permet aussi de toucher sa grande bite tendue… Ouh, qu’elle est dure dans ma main… Ooh vos doigts… Oui, continuez… Aah… J’ai honte, c’est trop bon, oooh.
Il fallait que je me sauve d’ici, je ne respirais plus ! Et le pire c’est que je bandais comme un pendu en entendant ma compagne se donner  à un autre pour obtenir un contrat ! Elle faisait la…
– Petite pute ! Ne me branle pas trop fort, je veux jouir dans ta bouche, pas dans ta main…
Le client avait l’air ravi.
– Enlève ton string.  Oh, tu te rases la chatte, très joli, j’adore, écarte tes lèvres… C’est ça… Masturbe-toi…
– Aah, oui, regardez-moi, noon, je ne peux pas, ce n’est pas bien…
– Tais-toi ! À genoux, mets ma pine entre tes gros nichons et branle-moi bien !
– Non, je vous en prie… Je…Ouh…. Non… Pas dans la bouche…mmmmh mmmmh… Qu’elle est grosse, mmmh, mmmmh, aaah, non, mmmh, ouiiii, mmmh
– c’est ça, suce-moi bien profond, tu la gobes jusque dans ta gorge, mmmh, comme ça, oui, c’est bien.
Je me branlais ! J’avais sorti ma bite tendue, et je me branlais en écoutant ma compagne tailler une pipe à son client ! Il fallait que je les voie, je ne pouvais pas rester à écouter, quitte à me faire cocufier, je voulais mater ! Je me méprisais de ma lâcheté et de mon excitation, j’aurais dû intervenir depuis longtemps, une curiosité sexuelle malsaine m’en empêchait, je ne pouvais pas stopper la trahison de ma compagne – et je voulais aussi voir jusqu’où elle irait.. Membre à la main, je fis tourner tout doucement la poignée et entrouvris la porte.
– Tu sens ma grosse queue dans ta gorge, salope, tu suces comme une déesse, avale-la entièrement, écarte tes mâchoires, c’est ça, régale-toi !
Je vis Alysha, à genoux, cul cambré, sucer comme jamais. Elle donnait des grands coups de menton pour gober la bite énorme du type – un bonhomme en costume, bien fait mais pas spécialement beau – elle remontait le long de la pine en ondulant, appuyant bien sa langue sur le gland gonflé et y crachait de gros bouillons de salive brillante avant de repartir à l’attaque et de gober à nouveau la trique dressée.
J’avais un point de vue idéal, deux grands miroirs ornaient les murs du bureau d’Alysha, je pouvais voir sans trop risquer d’être vu. L’un des miroirs me présentait le couple de face, l’autre de profil.
– Tu l’aimes, ma queue, hein ? Gobe-la mieux que ça !
Le client prit la tête de ma compagne entre ses mains et la força à avaler la totalité de son sexe, jusqu’aux couilles. Elle hoqueta en se débattant, mais elle n’était pas de taille à lutter. Il la libéra après plusieurs secondes, elle recracha la bite en toussant douloureusement, la bave aux lèvres. Elle haletait encore lorsqu’elle le regarda en souriant, coquine en diable, et chuchota:
– Encore…
Elle le reprit en bouche, et le suça jusqu’à la garde, son cul cambré vers le ciel, qui appelait la sodomie, ondulait en rythme pendant que le client lui saisissait de nouveau la tête et y enfonçait violemment sa trique immense. Il la relâcha, elle le garda un instant bien au fond de sa gorge et remonta à nouveau en appuyant sa langue tout le long de la bite. Elle cracha encore de la salive sur le gland et le pressa avec ses doigts, branlant activement le type, qui gémissait de plaisir.
– Oh ouais, une bonne salope, continue, aah non, donne-moi ta chatte plutôt, je veux te voir jouir.
Alysha hésita.
– Je préférerais vous finir à la bouche…(elle lui lécha le gland en le regardant droit dans les yeux) Techniquement, je n’ai pas encore vraiment trompé mon…
– Debout, viens-là ! (Alysha obéit un peu vite à mon goût). Mets-toi à cheval sur moi, écarte bien les jambes… Mmmh que ta chatte est belle, toute rasée… Tu mouilles à mort, viens approche de ma queue ( il frotta son gland contre les lèvres humides, sans la pénétrer, Alysha fermait les yeux, une expression de bonheur intense sur le visage), tu sens comme elle est grosse et gonflée, comme elle a envie de te prendre ?
– mmmh ouii.
– Et toi, tu as envie de la sentir dans ta chatte ?
Alysha se baissa légèrement, faisant pénétrer le haut du gland en elle.
– mmmh ouiiii !
– Alors dis-le moi ! Dis-moi que tu veux que je te prenne !
Alysha s’assit un peu plus sur le client, yeux fermés, je la vis, face à moi, s’abandonner complètement.
– Oooh, baisez-moi, je vous en prie, j’ai envie de votre grosse queue ! Vite !
– Dis que tu es une garce et que tu feras tout ce que je désire.
Elle s’enfonça complètement et commença un va-et-vient violent.
– AH ! Je suis votre garce ! Je suis votre salope ! Baisez-moi ! Aaah ! Aah !! Ahin ! Ah ! Ahiiin ! Encore !
Ils s’embrassèrent fougueusement et le client la baisa sauvagement, donnant de grands coups de reins qui déchiraient le sexe délicat de ma compagne. Je haletais de plaisir et de rage, je me masturbais en les observant se donner l’un à l’autre, ignorant ma présence. Je me pressais le gland jusqu’au sang, et j’éjaculais douloureusement dans ma main, projetant des jets de sperme jusque sur le parquet.
– Retourne-toi, que je te prenne par le cul !
– Aah, non, pas ça, pas ça, baisez-moi en levrette, je vous en prie, faites-moi jouir encore !
Dans mon malheur, j’avais au moins cette chance qu’elle ne donnait pas à cet inconnu ce qu’elle me refusait encore !
– OK, à quatre pattes, salope.
– Oh oui, vite !
Elle se jeta quasiment sur la moquette, tête et épaules plaquées au sol, cul en l’air, jambes écartées.  Elle se massait frénétiquement le clitoris avec sa main. Il plaça ses genoux entre ceux d’Alysha, et frotta son membre sur l’anus rose que j’adorais tant lécher – elle appréciait ça tout particulièrement – puis sur la chatte ouverte, et à nouveau sur l’anus.
– Pas dans le cul, hein ?
– S’il vous plaît, prenez-moi, baisez-moi !
– Tu t’es déjà fait enculer ?
– Oui !
J’écarquillai les yeux de surprise ! Elle avait dit quoi ???
– Tu as aimé ?
– Oui… mais pas aujourd’hui, votre queue est trop grosse, baisez-moi !
Il pressa sa bite contre l’anus, qui s’ouvrit tendrement. Alysha se tendit en gémissant plus fort. Il relâcha la pression et glissa dans la chatte doucement.
– Un autre jour, alors ? Quand on signera le contrat ?
– Ooooh ouiiii !  Encore ! Défoncez-moi la chatte, je suis votre petite garce, c’est trop bon !
Il accéléra le mouvement de va-et-vient.
– Réponds ! La prochaine fois, je te prends le cul, oui ou non ?
– Oui ! Faites-moi jouir ! Je ferai tout ce que vous voulez !
La queue entrait et sortait du sexe délicat de l’amour de ma vie, mon érection n’avait pas diminué, j’étais pourtant désespéré de ce que je venais d’entendre. Qui avait bien pu la sodomiser ? Pourquoi se donnait-elle si facilement ? Etait-ce l’argent du contrat ?
…Je la laissais bien me tromper pour cet argent…
– Aaaaah oui ! Je viens ! Aaaah !
Alysha jouit, écrasée contre le sol, le client sur elle l’aplatit et la lima férocement, ses hanches collées au cul de son amante, bite profondément enfoncée dans ma compagne. Elle se laissa aller sur le sol, satisfaite, le client continuant à la bourrer comme une poupée désarticulée. Il sortit sa bite d’un coup et vint se placer à hauteur de la bouche d’Alysha.
– Ouvre bien grand, je viens….!
Elle obéit, accueillant les flots de sperme bouillonnant qu’il éjacula en saccades puissantes, sur sa langue, ses lèvres et son menton – le premier jet ayant strié ses joues et cheveux.
Elle le suça ardemment, avalant la semence jusqu’à la dernière goutte pendant qu’il lui caressait les seins d’une main et lui enfonçait deux doigts dans la chatte de l’autre.
Il s’effondra à côté d’elle et la prit dans ses bras, baisant au passage les seins gonflés et brillants de transpiration .
– Considère ce contrat entériné. Cent mille euro pour l’exclusivité de tes modèles et pour ton cul, et ce n’est pas cher payé.
Elle l’embrassa goulûment en pressant sa bite entre ses doigts fins.
– Votre sexe vaut son pesant d’or aussi…
Il lui rendit son baiser.
– Nous signons le contrat ici-même dans une semaine. Il y aura une clause particulière, un arrangement entre nous, je t’envoie les documents par mail.
– Quelle clause ?
– Tu verras. Ne mets pas de culotte, ni de soutif. Juste une jupe très courte et un décolleté affriolant – habille-toi comme une putain de luxe, je veux que tu m’excites dès le premier regard.
– Vous êtes un gros cochon. Je vous excite déjà, vous bandez encore !
– A genoux !
Il se relevèrent, Alysha s’agenouilla devant le type, qui se branla doucement devant la bouche ouverte, frottant parfois son gland sur les grosses lèvres offertes. Il éjacula à nouveau, dans un râle, déversant le jus précieux sur la langue de ma compagne, qui souriait, extatique.
Elle ferma la bouche et avala ostensiblement. Le client l’embrassa encore, et lui donna une petite tape sur la joue.
– Ouais, une bonne petite garce.
Alysha se passa le majeur sur les lèvres pour récupérer une goutte de sperme et le fit pénétrer dans sa chatte.
– J’ai hâte de signer le contrat…
Le type se marra, et commença à se rhabiller. Mon coeur se mit à battre la chamade: c’était maintenant ou jamais. Je refermai ma braguette, indécis. Alysha ramassa ses affaires, elle passa sa culotte, son débardeur blanc qui magnifiait ses seins, sa jupe. Le client remit son pantalon, sa chemise. Je posai la main sur la poignée. Le type reprit sa mallette.
– Semaine prochaine, même heure, pour la signature du contrat.
Il s’approcha pour l’embrasser. Je frappai à la porte, coeur battant, et entrai.
Alysha ouvrit grand les yeux, une expression horrifiée sur le visage. Le client se retourna et me toisa d’un air narquois.
Ma compagne balbutia:
– Denis ! Tu es déjà là ?
Elle se tourna vers le client:
– Je vous présente mon…
– … avocat, dis-je rapidement. Je conseille mademoiselle Rocher sur ses contrats et protège ses intérêts, voici ma carte, si vous souhaitez discuter des termes de vos contrats avec moi. Vous avez apprécié les modèles de ma cliente, n’est-ce pas ?
Le client sourit de manière ironique et me fit un clin d’oeil.
– Plus que ça, monsieur… (il jette un oeil à ma carte)… Fresnel.  Je ne manquerai pas de vous présenter notre contrat. (Il se tourne vers Alysha) A la semaine prochaine, alors. Au revoir, et encore merci pour la démonstration.
Il quitta la pièce. Alysha et moi nous regardâmes en silence jusqu’à ce que nous entendions sa voiture démarrer et s’éloigner dans l’allée.
Elle parla en premier.
– Tu… Tu as tout entendu ?
– Je vous ai vu arriver, je suis descendu pour te proposer mon aide et…
– Je suis désolée. Je…je… je vais renoncer à ce contrat.
C’était le moment. Je devais me décider. Elle était magnifique, coupable, adultère, mortifiée, ses seins dessinés par son haut blanc, les tétons dressés visibles par transparence, sa peau sablée, ses cheveux… Ses longues jambes nues mises en valeur par la minijupe… Et cent mille euro, en suspens, dans l’air. Je secouai la tête.
– Pourquoi ?
Elle me regarda, incrédule.
– Tu… n’es pas fâché ?
Je respirai un grand coup.
– Tu as essayé tes maillots devant ce type, ce n’est pas un motif pour être fâché. Si ça te permet de décrocher un contrat, ça en valait la peine.
– Les maillots ?
– J’avoue que j’étais un peu énervé, quand je suis remonté dans mon bureau. Tu ne les as jamais essayés devant moi.
Alysha réfléchissait à toute vitesse.
– tu… n’es pas…jaloux ?
– Tu es toute bizarre, je trouve… Il s’est passé quelque chose ?
Je me détestais.
– J’ai… non. Juste les maillots. Et… il a vu mes seins. Je me changeais et…
– Quoi !? Je comprends ton attitude ! Ce n’est rien, ce n’est pas comme si tu l’avais aguiché, non ?
– Euh… Alors… Tu n’es pas fâché ?
– Non, mais…Essaye tes maillots pour moi. Montre-moi ce qui l’a tant enchanté.
Elle acquiesça rapidement, ravie de s’en tirer à si bon compte..
– Ferme les yeux… ça va te plaire.
J’obéis. Je l’entendis enlever ses vêtements, et sentis mon sexe enfler dans mon pantalon.
– Tu peux ouvrir les yeux.
Elle avait passé un maillot rouge aux motifs pastel, trop serré pour ses gros seins et son cul rebondi.
-waw, je comprends qu’il ait voulu voir tes seins ! Tu es bandante !
Je m’approchai et l’embrassai passionnément.
– montre-m’en un autre. Celui avec lequel il t’a vu seins nus.
Elle parut à nouveau inquiète mais finit par sourire.
– Tu es un coquin. Ferme les yeux.
Je décidai de rejouer la scène à laquelle je venais d’assister.
– Non. Je veux te voir à poil.
Elle secoua la tête.
– Après. Ferme les yeux.
J’obtempérai.
J’entendis son maillot tomber au sol.
– Je mets le string… et… AH NON, ne triche pas !
– C’est ce que tu lui as dit ?
– Je…
– Tais-toi. Joue avec moi, tu m’excites, les seins à l’air. Mets-toi à quatre pattes.
Elle obéit, indécise.
– Fais un peu la… garce. Viens, suce-moi.
Elle approcha à quatre pattes, ses seins pendouillant sous elle, frottant l’un contre l’autre à chaque pas, ses fesses rondes et amples cambrées en arrière, bien en vue dans le miroir qui me faisait face. Elle déboutonna mon pantalon et sortit mon sexe en érection.
Elle le happa jusqu’à la garde, je lui enfonçai la tête à deux mains et baisai violemment le fond de sa gorge. Elle hoqueta, je ne relâchai pas mon étreinte jusqu’à ce qu’elle suffoque. Elle recracha ma bite d’un coup, toussa, laissant couler des flots de salive sur mon sexe, et, après un instant d’hésitation, me dit, comme elle l’avait fait avec son client:
– Encore…
Je lui baisai à nouveau la gorge, en riant.
– C’est ça, salope, bouffe-moi la queue, tu as beaucoup à te faire pardonner.
Elle cligna des yeux, inquiète, elle n’était toujours pas sûre de ce que j’avais pu voir et entendre de sa sauterie. J’enfonçai le clou.
– Alors comme ça, tu te fous à poil devant un gros con, tu le fais bander comme un âne, hein ? Il a aimé tes gros nichons ? Il a aimé ta chatte rasée à travers ton maillot ? Il t’a dit qu’il voulait te baiser comme une chienne ?Ça t’a plu qu’il te mate et qu’il bande pour toi, tu voulais qu’il te saute, hein, avoue ?
Elle ne savait plus sur quel pied danser. Elle choisit de continuer à jouer la salope. Elle mordilla ma bite en remontant de tout son long et chuchota:
– Oui…
– Tu es une vraie putain, hein, ma chérie, ma bite ne te suffit pas, tu veux en réveiller d’autres, tu veux que l’on te baise tout le temps, tu veux que tous les mecs te reluquent le cul et les nichons, hein ? Tu vas le revoir, lui montrer tes gros lolos et le supplier de te mettre sa bite dans la bouche, hein, salope ?
Elle secoua la tête brièvement, lécha mon gland et chuchota à nouveau:
-Oui…
– Eh bien vu ce qui s’est passé aujourd’hui, vu que tu as fait ton strip devant un inconnu, il serait juste que j’aie une compensation que seule une salope dans ton genre peut me donner.
Elle me regarda d’un air coquin.
– Tu veux que je te fasse un truc spécial, cochon ?
– Oui. Et tu sais parfaitement ce que je veux.
Je lui caressai le dos, descendis un main vers ses fesses, et glissai deux doigts sur son anus tendre. J’appuyai sur mon majeur, qui pénétra la petite pastille sans souci.
Elle parut réfléchir très vite, puis se cambra sur mon doigt, l’aidant à pénétrer plus profond.
– Ok, petit cochon, je te dois bien ça… Elle reprit ma bite dans sa bouche et remua son cul au rythme de la fellation, je jouai avec son anus, appréciant tout particulièrement le fait que j’allais l’enculer avant qu’elle ne s’offre à son client.
– Tu l’as déjà fait ? On t’a déjà enc… euh… sodomisée ?
Elle hésita encore, appliqua ses lèvres humides autour de ma pine et me dit la vérité.
– Oui.
– Oh. Quand ? Avec qui ?
Elle me suçait toujours en souriant, elle se masturbait avec sa main libre et humidifiait son anus rose, préparant le chemin pour ma bite.
– Mmmh, c’était, mmmh, en première, au lycée, avec mon copain, mmmh, on était en boîte, un soir, mmmh, j’étais bourrée, lui aussi, il m’a prise, mmmh, dans les toilettes, mmmh, avec un autre garçon de la classe, mmmh, je suçais son copain et il, mmmh, s’est trompé de trou, mmmh, c’était trop bon, je me suis, mmmh, laissée faire, mmmh. Mais, mmmh, à la fin, mmmmh, quand il a joui dans mon cul, mmmmh, son copain a voulu aussi en profiter…mmmh.., Il avait une bite trop grosse, il a forcé…mmmh… Quand il m’a prise par derrière…mmmh…il a donné des grands, mmmh coups de queue dans mon cul, mmmh, il a éjaculé à l’intérieur, mmmh, et m’a blessée. J’ai eu, mmmh, du mal à aller aux toilettes pendant des semaines, c’était, mmmh, trop douloureux.
Je haletais de plaisir, la pipe divine et le récit m’excitaient à mort. Elle avait fait l’amour avec deux garçons quand elle était jeune ? Combien de choses pouvais-je donc ignorer sur elle ?
– Tu as recommencé ensuite ?
– Non… mmmh.
– Et… faire l’amour à trois ?
– mmmh… Oui…  ils s’occupaient de moi à deux…mmmh… souvent…mmmh mais je refusais qu’ils me prennent par derrière…
Elle arrêta ses va-et-vient sur ma pine, y frotta ses beaux seins quelques secondes, m’embrassa sur la bouche dans un baiser sincère et se retourna.
– Tu n’es pas choqué ? J’étais très jeune et je découvrais mon corps…
– Euh… non, je suis étonné, mais pas choqué.
J’étais aussi complètement excité… Elle s’allongea complètement au sol et remonta ses genoux, me présentant ainsi son petit trou.
– Prends-moi doucement, viens.
Je glissai mes genoux entre ses jambes caressai le cul rond, aux lobes écartés, et laissai Alysha me guider en elle. Elle prit ma bite par dessous dans sa main, humecta mon gland entre les lèvres trempées de sa chatte rasée, et appuya ma pine contre son anus, qui s’ouvrit comme une fleur. Elle poussa sur son cul, je la pénétrai, écartelant l’anneau frêle. Elle fit une pause, puis ondula les hanches en poussant vers l’arrière, pour me faire entrer plus profondément. Je crachai un peu de salive sur mon membre, pour l’aider. Je l’entendis gémir, bouche ouverte, yeux fermés, tête contre le sol.
– Oui, doucement… c’est bon… prends-moi comme une chienne…
Je donnai des coups de reins doux et la pénétrai complètement
– Ooooh, lentement… comme ça…oui, ouiii.
Je fixai mon regard sur ses deux lobes blancs écartelés par ma bite, et m’émerveillai de la sensation que cette pénétration me procurait. J’entamai un lent va-et-vient, sortant ma queue presque complètement, puis la rentrant avec bonheur, encouragé par les râles d’Alysha, qui prenait manifestement son pied. Elle se cambra davantage et impulsa des mouvements plus rapides, les doigts tournant sur son clitoris et entrant dans sa chatte en une danse effrénée.
– Aaah, oui, prends-moi, je suis une moins-que-rien, encule ta pute infidèle, ahiin, encore, encore !
J’accentuai la pression sur ma bite, donnant des coups de reins plus appuyés, plus profond, je la sentis s’ouvrir et s’abandonner complètement.
– Aaah, oui, je… aah ! C’est bon, plus vite !
J’attrapai ses hanches et la plaquai contre moi, gardant ma bite au fond de sa cheminée, la ramonant avec ardeur.
– Viens ! Viens ! Viens ! Baise-moi ! Baise-moi !
Elle s’empala comme une furie sur ma queue en criant littéralement, je ne l’avais jamais vue jouir ainsi, je remerciai silencieusement le client de me l’avoir tellement chauffée qu’elle explosait en un orgasme dévastateur.
C’en était trop, je déchargeai dans ses boyaux, m’abandonnant au choc de la jouissance pure, appréciant chaque saccade de sperme comme une bénédiction. En cet instant, j’étais prêt à offrir Alysha à tous les mecs qu’elle voudrait se taper.
Je m’écroulai sur elle, mon sexe toujours tendu dans son cul délicat, mes mains pressant ses seins amoureusement. Elle ondulait toujours les hanches, prolongeant son plaisir anal en gémissant discrètement.
J’embrassai le creux de son dos, son cou, ses épaules, puis ôtai lentement mon sexe poisseux de son anus. Je m’allongeai à ses côtés. Elle se retourna sur le dos, jambes écartées, et se masturba ostensiblement, récupérant le sperme qui coulait de son cul et se l’étalant sur la chatte. Elle avait les yeux fermés et respirait par à-coups, ses seins se soulevaient, gonflaient, puis s’écartaient avant de gonfler à nouveau, je me caressai la queue en la regardant se faire plaisir. Elle serra les jambes en geignant, tout son corps trembla, et, trois doigts enfoncés dans le vagin, elle s’immobilisa, satisfaite. Elle ouvrit les yeux, m’embrassa en souriant et me dit:
– Merci…
Je lui rendis son baiser.
– C’est moi.
– Tu as aimé ?
Je fis signe que oui.
– Tu aimes que je sois un peu salope ? Ça t’excite ?
Je souris encore et lui mordillai les lèvres.
– Oui. Et toi ?
Elle pressa ma bite entre ses doigts.
– Oui. J’ai adoré.
– Mais… Pendant que je te prenais, tu as dit que tu étais une… pute infidèle… pourquoi « infidèle » ? Tu…tu couches avec d’autres ? ?
Elle se mordit la lèvre et j’admirai la façon dont elle me répondit, sans me mentir vraiment.
– Tu voulais que je sois une salope… Je l’ai été ! hi hi, tu me sodomiseras encore, dis ? Si tu es doux, tu peux me prendre par derrière tous les jours.
Je passai la main sur ses fesses, elle se cambra légèrement. Je glissai un doigt sur son petit trou poisseux et l’y enfonçai sans rencontrer de résistance.
Nous nous embrassâmes longtemps, mon doigt jouant les prolongations dans sa voie étroite.
– En tout cas, dis-je, c’était une belle manière de fêter ton nouveau contrat !
Elle sourit, énigmatique.
– Et on le fêtera encore mieux après que je l’aie signé.
Je la serrai dans mes bras, en me disant qu’il faudrait que je puisse assister à ladite signature sans qu’elle le sache…

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