Alysha,  La Plume de Florean,  Le Contrat

Le Contrat d’Alysha – Chapitre 06

Je me séparai enfin de Lisa, qui réajustait son soutien gorge et reboutonnait son chemisier violet, quand j’entendis la voix de Bléry, venir du mur de droite, cette fois.
– Messieurs, désolé de vous avoir fait attendre – restez assis, restez assis.
Mon coeur se mit à battre plus fort. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Ce n’était donc pas terminé ?
Lisa ne parut pas surprise, elle appuya sur un petit bouton, le rideau occultant se souleva sur un autre miroir sans tain, qui donnait sur une salle de réunion, cette fois. Autour d’une longue table moderne bordée de sièges étaient assis six hommes en costume. Bléry entra, suivi d’Alysha, magnifique dans sa tenue stricte, caraco blanc qui épousait le galbe de ses seins, jupe courte plissée, sous laquelle je savais qu’il n’y avait pas de culotte. Lisa se serra contre moi, elle continua à me caresser les couilles en me souriant gentiment. Elle était belle, avec ses petites lèvres rouges de nos baisers, ses yeux pétillants légèrement maquillés, ses pommettes hautes. Son chemisier fripé. Son petit cul rebondi sous la jupe noire stricte.
– Je vous présente Mademoiselle Rocher, qui est la conceptrice des motifs et des maillots que vous allez être chargés de vendre à nos différents clients.
Le ton était professionnel, mais je sentais poindre l’ironie. J’en déduisis que je n’allais pas assister à une réunion de travail ordinaire. Je serrai les poings, sans rien dire.
Alysha sourit.
– Bonjour, messieurs.
Bléry distribua un fascicule à chacun des hommes présents.
– Vous allez jeter un oeil à cette plaquette de présentation, et me dire ce que vous en pensez. Mademoiselle Rocher, un petit mot, je vous prie.
Il mena Alysha juste devant le miroir, et, en faisant mine de réajuster sa cravate, lui parla à voix basse. Quelques centimètres seulement me séparaient de ma compagne. Elle était si belle.
– Mademoiselle Rocher, vous allez passer sous cette table et satisfaire mes collaborateurs un-à-un.
Les yeux d’Alysha s’agrandirent.
– Je… Monsieur…
– Tu ne discutes pas. A quatre pattes sous la table, et ne mets pas de sperme parterre, la moquette coûte une fortune.
Un vertige me prit. Je m’assis lentement sur la chaise, des étoiles rouges et noires dans les yeux. Lisa me collait toujours, rassurante. Alysha semblait au supplice, mais elle hocha la tête lentement, livide.
– Bien, Monsieur.
Elle se tourna, ôta sa veste serrée, tira sur son caraco, et, seins nus, se mit à quatre pattes et disparut sous la table. Je vis les lobes blancs de son cul sous sa jupe courte. Une envie irrépressible d’y glisser ma bite me tordit le coeur.
Le premier des employés de Bléry ne parut pas surpris lorsqu’il la sentit s’accrocher à son pantalon, baisser sa braguette, et se mettre à le sucer. Bléry me regardait – sans me voir – au travers du miroir sans tain, un sourire moqueur aux lèvres.
– Alors, l’avocat, ça vous convient ? murmura-t-il à son reflet.
Je me relevai en tremblant, choqué, reboutonnai mon pantalon, et quittai la petite pièce sans un regard pour Lisa. Alysha passait déjà au deuxième employé.

***
Je rentrai tard ce soir-là. Alysha était déjà couchée. Je ne la rejoignis pas dans le lit, préférant boire un verre dans le canapé, en continuant à la maudire pour ce qu’elle me faisait subir. Le verre fut suivi d’un second, puis d’un troisième. La rage ne quittait pas mon coeur, mais elle n’était plus dirigée contre Alysha, mais contre moi. Je l’avais lu, dans le contrat, je savais que ça allait arriver, alors pourquoi est-ce que ça me gênait tant ? Je m’étais presque habitué au fait que Bléry se la tape, mais y-avait-il une différence fondamentale entre l’action qui consistait à sucer six inconnus, après s’être dénudée devant eux, et celle qui consistait à se faire sauter par son patron ? Et sa tête, quand elle avait obéi… ça ne lui avait pas fait plaisir, mais elle l’avait fait quand même, volontairement.
Bon, je m’étais tapé la petite secrétaire, Lisa. Mais ce n’était pas pareil. Si Alysha n’avait pas commencé…
– Tu ne viens pas dormir avec moi ?
Alysha, nuisette noire semi-transparente, jambes et pieds nus, sur le pas de la porte. Je ne l’avais pas entendue descendre.
– Mmmh ?
J’avais l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Une grande fatigue dans les membres. Peut-être m’étais-je assoupi sans m’en rendre compte.
– Tu dors sur le canapé ? ça ne va pas ?
Elle vint s’asseoir à mes côtés, bras serrés sous sa poitrine. Elle avait la chair de poule, sa peau de sable était hérissée de petits picots qui la faisaient paraître frêle. Je revis en esprit l’adolescente rebelle et fragile que j’avais connue en première année de fac, et souris. Nous avions couché ensemble au bout de trois semaines, je m’étais branlé le matin pour éviter de lui exploser dans les mains dès qu’elle me toucherait – et, du coup, j’étais tellement inquiet de ne pas arriver à bander que j’avais fait durer les préliminaires plus longtemps que nécessaire. Elle avait joui presque instantanément quand je l’avais pénétrée, cela avait scellé notre union, les jeux amoureux et rapports sexuels avaient toujours été très satisfaisants pour tous les deux.
Ce qui continuait d’être le cas.
Peut-être même était-ce plus jouissif pour moi depuis que Bléry employait Alysha.
Je passai les doigts sur son bras, son épaule et traçai un chemin qui épousa la courbure de ses seins, descendit sur son ventre, son nombril, se glissa entre ses cuisses, puis remonta sous la nuisette, nombril, ventre doux et velouté, poitrine fraîche. Elle avait les tétons dressés et durs, je les titillai doucement.
– Je buvais juste un verre. J’ai eu une dure journée.
Elle se serra contre moi, incitant ma main à empaumer ses nichons un peu plus fermement. Je sentis sa main se diriger vers mon pantalon, et quand elle ouvrit ma braguette et en sortit mon sexe, je fus surpris de la vigueur de mon érection. Peut-être m’habituais-je à faire l’amour plusieurs fois dans la journée, ou peut-être était-ce l’infidélité répétée d’Alysha, le fait qu’elle se comporte comme une pouffiasse, qui me faisait bander sans cesse.
Elle empoigna ma bite et la branla lentement. Elle me caressa les joues en me regardant droit dans les yeux. Elle semblait amoureuse, émue, sincère.
– Viens dans le lit, dit-elle, j’ai une surprise pour toi.
Je hochai la tête, terminai mon verre en deux gorgées, et la suivis, bite à l’air dans l’escalier, me délectant de ses courbes parfaites sous la nuisette légère. Elle montait juste devant moi, je levai une main et la glissai sur son cul tout froid, tout doux. La chambre était éclairée par des bougies, dans une ambiance tamisée, chaude. Alysha passa derrière moi, sur le seuil, et me mit les mains sur les yeux.
– Ferme les yeux…
Je me demandais ce qu’elle m’avait préparé. Elle me poussa légèrement, j’avançai vers le lit, pine à la main quand je sentis quelque chose l’effleurer, un contact léger, doux et humide… une langue fraîche qui me léchait la bite.
– Mmmh, murmura une voix de femme, elle a du goût, c’est bien, j’aime ça…
Des lèvres me happèrent, la langue se fit lascive sous mon sexe, deux mains déboutonnèrent mon pantalon, baissèrent mon slip, et agrippèrent mes fesses. La femme me goba complètement, la fellation devint royale.
Alysha ôta ses mains de mes yeux.
– Tu peux regarder, maintenant.
Ce que je fis. Dans la semi-pénombre, je ne reconnus pas immédiatement la jeune femme rousse, mince, en guêpière rouge et bas noirs, qui me pompait si merveilleusement. Elle leva les yeux – elle portait des lunettes – vers moi en souriant et je ne pus m’empêcher de m’exclamer:
– Cathy !?
Cathy était la fille – étudiante en droit – des voisins, un couple d’amis, la quarantaine. Nous l’avions vu grandir – ça faisait une dizaine d’années maintenant que nous habitions cette maison – et elle venait régulièrement me demander des conseils sur des points de droit que ses parents étaient incapable de lui faire réviser. Si j’avais noté ses formes qui s’arrondissaient,, et ses tenues parfois très courtes lors de ces  sessions, je n’aurais jamais imaginé qu’elle me taillerait une pipe un soir d »ivresse… Elle continuait de me sucer en gloussant, ses petits seins blanc laiteux dépassant de la guêpière. Je n’osai les prendre dans mes mains, mais l’envie était là. Alysha s’assit à côté d’elle, juste devant ma bite et lui caressa le dos pendant qu’elle s’affairait à m’avaler de plus en plus loin dans sa petite bouche ravissante, cernée de taches de rousseur.
– Cathy et moi sommes… intimes… depuis deux ans, expliqua Alysha. Je lui ai proposé de partager notre lit.depuis longtemps déjà, mais elle n’osait pas. Sa chatte sent très bon, et a un petit goût salé que tu aimeras beaucoup.
Je voulus froncer les sourcils, craignant de trop bien comprendre, mais la langue de Cathy sous mon gland se fit joueuse, un vertige de plaisir me fit agripper ses épaules, et, naturellement, mes mains descendirent lui peloter les seins. Je vis en esprit Alysha et Cathy « intimes », corps entremêlés, et sentis l’éjaculation menacer. Je plongeai les doigts dans les cheveux roux et soyeux, et arrêtai le mouvement de va-et-vient. Ma pine battit sur la langue immobile, Cathy soufflait par le nez en gloussant toujours, serrant les lèvres sur mon pénis. J’essayai de ne surtout pas penser à la sensation que j’aurais si j’éjaculais sur ses lunettes rondes. L’alerte passa, je me détendis. La rouquine cracha mon sexe comme un chewing-gum et se tourna vers Alysha, qui l’enlaça tendrement. Elles échangèrent un baiser interminable, et je compris que je ne m’étais pas trompé sur ce que le mot « intime »  avait signifié pour Alysha. Il faudrait que j’en discute avec elle plus tard.
Je m’agenouillai devant elles. Cathy brisa l’étreinte de ma compagne et me sourit, avant de m’embrasser. J’empaumai ses petits nichons aux mamelons roses, et les malaxai urgemment. Le baiser se fit plus pressé, la petite rouquine me déboutonna la chemise avant de me l’enlever complètement. Elle m’attira à elle, cuisses écartées au bord du lit. Je pris mon pénis entre mes doigts, le glissai dans la chatte entrouverte, chaude et humide, et la pénétrai par à-coups qu’elle accompagna en remuant les hanches lascivement. Mes mains se posèrent sur son cul mince et étroit, et je me régalai de sa jeunesse, de sa fraîcheur, de son parfum musqué. Alysha se faufila derrière Cathy, cuisses grandes ouvertes, colla sa chatte près de mes doigts, se masturba d’une main et attrapa l’un des petits nichons de la rouquine de l’autre. La petite se mit à chuchoter en gémissant.
 – Oh, c’est bon, ça, c’est booon, mmmh, un bon prof pour la petite Cathy…
Je hochai la tête en donnant des grands coups de reins. Ma bite gonflait dans la jeune chatte ferme, qui s’écartait presque à regrets sous mes coups de butoir et l’enserrait d’une manière délicieuse. J’enfouis mon visage dans le cou blanc, m’enivrant du parfum sucré de la petite, le goûtant, le léchant avec ardeur. Les lèvres d’Alysha vinrent chercher les miennes, et j’embrassai ma compagne en baisant la fille des voisins, m’approchant un peu plus du paradis chaque fois que ma queue butait au fond du vagin rose.
– Mmmh, ne viens pas tout de suite,baise-moi encore, saute-moi encore, prends-moi, prends-moi, comme çaaa…
Alysha passa derrière moi, et me tira doucement vers l’arrière.
– Viens.
Je la laissai faire, quittant à regrets l’antre chaud bouillant de Cathy, qui s’allongea sur le lit, cuisses ouvertes. Son sexe était couvert d’un fin duvet de poils roux, mis en valeur par les bas noirs qui s’arrêtaient presque aux hanches. Alysha me guida jusqu’à cet entrecuisse majestueux, et, à quatre pattes sur le lit, j’y plongeai une langue avide. Ma compagne se glissa sous moi, chopa ma queue douloureuse de désir, et me prit en bouche, m’aspira comme un spaghetti et me garda au fond de sa gorge, sa langue sur mes couilles. Je n’avais d’yeux que pour la petite Cathy, dans sa guêpière écarlate, qui me tirait les cheveux pour que j’enfonce enfin ma langue dans sa vulve au lieu de m’acharner sur son petit bourgeon boursouflé de désir.
– Oh… oh….oh….encore…oh…
Alysha avait raison, la cyprine de la belle étudiante était salée, presque iodée, et les effluves de son sexe augmentaient mon ivresse. Je léchai les bords duveteux de ses grandes lèvres et plongeai ma langue au fond de sa vulve, avalant au passage une gorgée de mouille tiède. Mon nez écrasait son petit bouton, elle se tendit de plaisir, sans lâcher ma tête. Alysha ne me libérait pas la pine, elle me gardait au fond de sa gorge, respirant à peine, je me demandai vaguement si elle tentait une apnée prolongée pour mieux sucer Bléry, mais l’empressement de Cathy, que je voyais se tortiller délicieusement dans la lumière jaune des bougies, ôta ces pensées funestes de mon esprit.
– Han… oui… viens, viens-là…
La jeune rouquine saisit mon cou et m’attira à elle – Alysha me laissa sortir de sa bouche en me mordillant plusieurs fois – je léchai la guêpière rouge jusqu’à ses seins, que je dévorai littéralement avec la langue et les dents. Ma compagne vint embrasser la petite sur la bouche, je les observai du coin de l’oeil, pine à la main, prête à enfoncer la chatte offerte.
J’humectai mon sexe sur les lèvres brûlantes, mais Alysha me repoussa d’un geste doux.
– Pas comme ça, me dit-elle, j’ai envie de jouer, moi aussi… Viens, Cathy, montrons-lui ce qu’on sait faire…
L’étudiante s’agenouilla au bord du lit, tandis que ma compagne se plaçait devant sa tête, jambes écartées, minou juste sous son nez et lui ôtait ses lunettes. Je me plaçai devant le cul blanc laiteux, et tâtai  d’une main ses petits lobes, jouant avec sa pastille souple et rose, mais la petite rousse se contracta légèrement, ce que je pris pour une rebuffade. Mon doigt resta à l’entrée du passage étroit, et je lui imprimai un mouvement rotatif, qui sembla lui dispenser un plaisir certain. Tout n’était peut-être pas perdu de ce côté-là… Je frottai mon gland contre sa vulve humide, et la pénétrai à nouveau. Sa chatte était chaude et réactive, je souris en la baisant avec force.
Cathy enfouit sa tête dans la moule ouverte d’Alysha, qui, tête en arrière, ondulait les hanches pour la guider dans son plaisir. La petite rouquine donnait de grands coups de langue le long des lèvres rasées, en testait la saveur, et déclenchait geignements et tremblements chez ma compagne. Mon regard descendit vers les seins de ma belle, dessinés sous la nuisette noire, puis sur les cheveux roux de l’étudiante qui la suçait, puis le long de la guêpière étroite, que je dégrafai lentement, révélant un dos blanc parsemé de tâches de rousseur couleur caramel. Je donnai des coups de reins plus prononcés, enfonçant ma queue dans le vagin roux, conscient du cul étroit qui me tendait les bras, si l’on peut dire, cet anus luisant de transpiration qui m’apparaissait comme une invitation à la sodomie. Je caressai le dos blanc, très doux, m’attardant sur les côtes délicates qu’on sentait sous la peau de pêche, puis allai titiller les petits nichons encore entravés par la guêpière rouge pas totalement dégrafée. Je me penchai en avant et partageai un baiser avec Alysha, qui m’avait imitée. Je mordillai son oreille et lui murmurai:
– Merci pour ce cadeau de roi… tu crois qu’elle se laissera enculer ?
Elle gloussa et, se soulevant encore, totalement penchée au-dessus de Cathy, attrapa son cul et en étira les lobes, de manière à ce que la pastille distendue me soit totalement offerte. Elle fit couler un filet de salive sur l’anus rose, tandis que Cathy cachait sa tête dans les draps, tendue, mais soumise. Je retirai lentement mon sexe de sa chatte, l’humectai de salive, et le fit tourner sur la rondelle, qui s’épanouit à son contact. La pénétration se fit avec douceur, très lente, la fleur vierge (ou supposée vierge) s’ouvrit sous la pression de ma queue, que je vis disparaître avec bonheur dans les petits lobes blancs et roux. La main aux ongles longs de la rouquine me saisit les couilles par dessous et les frotta contre sa chatte bouillante une fois que je fus bien au plus profond de ses intestins. Mes doigts enserrèrent ses hanches, et je la pistonnai avec bonheur, en embrassant Alysha, ravissante et amoureuse, qui massait les lobes de sa petite amante et me touchait parfois la pine pour me titiller un peu plus.
La tête me tournait, je n’étais que bite, anus, mains, seins, transpiration, parfum de musc et mouille, je n’étais qu’une bête, primitive, qui se roulait dans la chair  blanche et les cheveux roux, qui ne cherchait que la satisfaction sexuelle et non plus l’amour. Ma queue gonfla soudain dans le petit cul blanc, et j’accélérai le rythme, me rendant vaguement compte des cris qui résonnaient dans la pièce, des mes couilles pressées, griffées par les ongles rageurs de Cathy, écrasées contre son minou orange et rose, de mes mains crissant sur le tissu léger de la guêpière ou des bas noirs, des nichons d’Alysha qui, à califourchon sur la jeune fille, me les frottait sur le visage. La jouissance vint, soudaine, ravageuse, je retirai mon sexe de l’anus rose et étroit et explosai en me branlant, aspergeant le dos blanc, la nuisette d’Alysha, la guêpière, couvrant de gouttes épaisses les taches de rousseur de l’étudiante. Je pleurai presque de plaisir lorsque Alysha s’allongea sur la petite sans se soucier de la semence qui la recouvrait et attrapa ma bite dans sa bouche, me permettant de finir de jouir sur sa langue pointue.
Je m’écroulai littéralement à côté d’elles, et les regardai longuement s’embrasser et se sucer toutes les deux, ne croyant pas ma chance.
Je souris en pensant que, ce soir enfin, Bléry était devenu le cadet de mes soucis.

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