Historiettes,  La Plume de Florean

La copine de ma femme – Chapitre 1

L’histoire est basée sur une situation réelle.


La semaine dernière, ma femme Emma m’a présenté une copine dont elle me parle depuis longtemps, Mélanie.
Elles se sont rencontrées l’année dernière et sont vite devenues très amies, jusqu’à se raconter leurs vies respectives, et je savais donc que Mélanie, célibataire de notre âge, voulait un enfant et avait même proposée à son meilleur ami de le lui faire – ce qu’il avait refusé.
Mélanie est jolie, sans plus. Elle portait un pull col roulé, quand elle est venue, et un jean. J’avais cette histoire de bébé en tête, et l’ai donc détaillée, me demandant pourquoi son meilleur copain n’avait pas voulu coucher avec elle pour lui faire ce petit plaisir, et en profiter. Elle avait des seins de bonne taille, plutôt fermes, semblait-il, et un joli petit cul bien plein, des yeux très bleus, un air ingénu et rieur, des cheveux châtains, ondulés. Non, vraiment, je ne comprenais pas ce qui avait pu retenir son ami, à part la peur de perdre l’amitié en question en y incluant du cul… En tout cas, moi, je me la serais bien faite !


Le 1er Janvier, mon épouse souhaite les voeux de bonne année à Mélanie par téléphone, et me raconte que l’une des résolutions de son amie est de se faire faire un enfant. Je dis en plaisantant à moitié que je peux lui faire, moi, et Emma me prend au mot:

– Oh, il faudrait que je sois une très bonne amie pour Mélanie quand même !…Tu ferais ça ?
Je réponds sur un ton faussement amusé :

– C’est-à-dire… si je peux rendre service… pourquoi pas ? hi hi.
Elle prend son téléphone et le tapote l’air pensif.

– Après tout… tu la connais à peine… et ce ne sera que pour une ou deux fois… Je peux lui proposer, si tu veux.
Là, je suis sur le cul. Je fronce les sourcils, et je sens une érection poindre.

– Tu ne plaisantes pas ?
Elle dodeline de la tête.

– Ecoute, ça fait des années qu’elle veut un bébé, elle a eu des épreuves terribles dans sa vie, alors si je peux l’aider… je mets ma jalousie de côté, et tu lui fais son bébé, si tu peux. Je peux faire ça. Je l’appelle ?
J’ai le coeur qui bat la chamade. Je hoche la tête.

– OK, mais… toi ? Si elle accepte, tu seras où pendant que… pendant qu’on… enfin, tu comprends…? Avec nous ?

– Je ne sais pas, on verra, oui, pourquoi pas, je peux être là, si elle veut bien. C’est ton fantasme, de toutes façons, deux femmes dans ton lit, non ?
Cette fois, je bande carrément. Je n’ai pas le temps de répondre, mon épouse rappelle déjà Mélanie en quittant la pièce. Je m’assieds dans le canapé, en attendant fébrilement la réponse de la copine. Ce n’est pas possible, ça ne peut pas arriver, ça n’arrive jamais, dans la vraie vie, ce genre de situations. Elle n’acceptera jamais. Et pourtant… ce serait cool, non ?
Emma revient en souriant.

– C’est d’accord. Elle a mis du temps à comprendre que j’étais sérieuse, mais ça lui dit bien, finalement – elle m’a dit qu’elle t’a trouvé mignon. Tu nous auras toutes les deux pour toi tout seul.

– Mais… ça ne te gêne pas que je fasse l’amour à une autre femme ?

– Je ne sais pas, ça n’aura pas de conséquences, de toutes façons, ce n’est pas comme si tu me trompais, c’est moi qui t’ai proposé, et puis ce n’est pas ton amie à proprement parler… je pense que c’est une expérience pour notre couple, non ? Et puis ça lui rend service, et il y a moyen que ça nous fasse plaisir à tous les trois… on verra bien demain !

– Demain ? Déjà ?

– C’est encore les vacances, autant en profiter !
Je me lève et viens l’embrasser sur les lèvres. Elle me sourit.
J’ai hâte d’être au lendemain, mais je le crains, aussi.


Mélanie arrive à 19h, nous avons prévu un petit repas avant de passer aux choses sérieuses, si elles se passent réellement, j’ai encore un doute lorsque j’ouvre la porte. Elle est là, devant moi, en doudoune blanc-crème, et sourit d’un air gêné, nous nous faisons la bise, nous souhaitons bonne-année-bonne-santé et j’ajoute, sur le ton de la plaisanterie « et-plein-de-bébés ». Emma rit timidement, nous avons tous les yeux qui brillent, nous sourions tous comme des imbéciles, et passons dans le salon.
Mélanie enlève sa doudoune. Elle porte un petit pull en V serré, une petite robe en laine noire qui lui arrive à mi-cuisses, des bas noirs opaques soyeux des chaussures à talons. Elle est maquillée légèrement, du gris sur les paupières qui rendent ses yeux bleus encore plus flashy, un rouge à lèvres discret, un peu de fard à joue.
Elle s’est faite belle pour moi. J’essaye de ne pas trop regarder ses seins, engoncés sous le pull et la robe et qui n’en semblent que plus gros.
Emma n’est pas en reste: mini-jupe aux motifs asiatiques, bas dim-up blanc, chemisier gris à peine boutonné, soutien-gorge en demi-lune qui rehausse ses petits seins, rouge à lèvres très rouge, mascara noir autour des yeux qui rappelle presque le khôl oriental… je suis vernis !Je vous sers à boire ?
Emma joue avec moi, elle se penche en avant, pour que je puisse admirer son décolleté, puis elle fait la même chose en servant Mélanie, m’exposant sa croupe et sa culotte, dont je vois la naissance sous la mini-jupe. Nous portons un toast, dont l’énoncé nous vient naturellement.

– Au bébé !

– Au bébé !
Nous trinquons, et buvons en discutant. Je remarque qu’Emma et Mélanie se resservent plusieurs fois de l’apéritif, sans doute plus inquiètes que moi, finalement, même si la discussion reste légère et enjouée.
Emma s’assied à côté de Mélanie et l’embrasse sur la joue.

– Comment on s’y prend ? demande-t-elle, les yeux brillants. Elle a trop bu, déjà. Elle se lève, prend Mélanie par la main en lui faisant signe de l’imiter, et elles viennent toutes les deux juste devant moi.
La copine est timide, incertaine. Je lève les yeux vers les deux filles et les regarde tour à tour. Emma déboutonne son chemisier. Ses petits nichons apparaissent, elle a mis le demi-lune qui ne soutient que le bas des seins et ne cache pas ses tétons.

– On enlève un vêtement chacun, ok ?
Je hoche la tête et ôte mes chaussettes. Mélanie hésite, puis se tourne vers Emma.

– Je préfère que ce soit toi qui choisisse ce que j’enlève.
Ma femme sourit et lui retire son pull. La robe est très serrée, et le décolleté me dévoile une poitrine compressée et généreuse.

– A ton tour, alors.
Mélanie caresse la joue d’Emma, puis laisse courir la main sur son cou, et dévoile une épaule, puis l’autre, ôtant totalement le chemisier gris. Elle l’embrasse sur la joue, puis me regarde.

– A toi. Attends.
La copine s’agenouille, délace ma cravate – je me suis fait beau, j’ai mis ma seule cravate et une chemise noire – lentement, et la fait passer autour de mon cou. Sa main court sur mon torse, et ma chemise se retrouve déboutonnée en un instant.

– On va se faire plaisir, tous les trois, hein ?
Je souris.

– Oui.

– Tu vas me le faire, ce bébé ?
Nouveau hochement de tête.
Elle se retourne, toujours à genou, et soulève ses cheveux d’une main délicate.

– Tu m’aides à ôter ma robe ?
J’attrape la fermeture éclair, et la descends doucement. Emma s’agenouille devant elle, et l’aide à retirer le haut serré. Le bras droit, d’abord, puis le bras gauche. Mélanie porte un soutien-gorge pigeonnant, noir liséré de dentelle rouge. Je caresse son dos sans hâte. Sa peau est douce. Mes mains dévient vers les petits seins de ma femme, vers son visage. Elle se relève, prend ma main et celle de sa copine et nous attire à elle.
Elle m’embrasse sur les lèvres, et serre la main de Mélanie dans la sienne.

– On y va ?
Son autre main s’affaire à déboutonner mon pantalon, bouton par bouton. Elle peut sentir mon érection à travers le tissu fin et cela semble la satisfaire.

– On y va ! répond Mélanie – on mangera après…
J’acquiesce sans rien dire, et je me laisse guider vers la chambre par les deux filles. Mélanie m’a pris la main. Je remarque qu’elles ont toutes les deux gardé leurs chaussures à talon, ça me fait sourire – c’est tellement plus érotique ainsi. Seul le haut de la robe de Mélanie est abaissé, elle a toujours le bas. Ses seins se balancent au rythme de nos pas, je les mate effrontément, et Mélanie semble apprécier l’attention.
Les bougies de la chambre sont déjà allumées. Mon épouse se soucie des détails…
Elle m’allonge sur le lit.

– D’abord, la mise en jambe… est-ce que tu fais des fellations, Mélanie ?

– Oh… bien sûr ! Il paraît que je fais ça plutôt bien…
Elle rougit un peu, et sourit beaucoup. Elles montent toutes les deux sur le lit et me retirent le pantalon complètement. Il ne me reste plus que ma chemise déboutonnée et mon boxer, qu’elles descendent d’un coup, révélant mon érection à leurs yeux gourmands.
Emma se saisit de mon sexe, le goûte avec sa langue, et le tend à son amie. Mélanie le lèche lentement, et me gobe, juste le gland, avant de remonter en souriant.

– Mmm, pas mauvais du tout…
Je me détends pendant qu’elle me reprend en bouche, de plus en plus loin. Ma main droite glisse sous la jupe d’Emma, ma main gauche cherche les seins de Mélanie. J’écarte la culotte de mon épouse et caresse la chatte humide, qu’elle a complètement rasée pour l’occasion. J’écarte le soutif ample et découvre les deux obus fermes que je malaxe avec plaisir. La bouche de Mélanie fait place à celle d’Emma qui s’amuse à me mordiller sous le gland. Mes doigts glissent dans sa fente trempée, et j’entame un mouvement de va-et-vient, à peine gêné par la culotte – que je devine être un string. Elle sert les jambes, ondule la croupe, respire fort sous ma pine gonflée. Ma main gauche quitte les seins de Mélanie et descend le long de son corps, testant la douceur de cette peau inconnue.
Elle me suce à nouveau, essayant de m’avaler en entier. Elle force dans sa gorge, c’est agréable, et parvient à me gober aux trois-quarts, jusqu’aux doigts de mon épouse qui tient toujours le dragon dans sa petite main, avant de remonter avec lenteur le long de ma hampe, en appliquant sa langue de manière à ce que je ressente un maximum de plaisir. Je ne peux m’empêcher de soupirer tout haut, en me tendant comme un arc:

– Ousshh ça c’est bon…
Emma saisit la balle au bond.

– Il a l’air d’apprécier, le petit cochon…
Mélanie me relâche, en déversant un peu de salive sur mon gland.

– Il est bon, ton mari… rarement goûté un mec avec autant de plaisir…
Emma me presse les couilles en riant doucement, elle m’embouche à son tour, et, imitant sa copine, essaye de me gober entièrement. Sa bouche est fine, plus petite, et, si elle suce divinement bien, elle n’a jamais réussi à m’avaler à plus de la moitié. Je pousse dans sa gorge, elle hoquète et me recrache rapidement, ajoutant de la bave sur mon sexe, et me branle.
Toujours allongé, j’attire Mélanie à moi et l’embrasse sur la bouche. Elle est presque hésitante tout d’abord, puis partage mon baiser. Je relève le bas de sa robe, et constate que sa culotte est immédiatement accessible, et qu’elle porte des jarretelles avec ses bas.
Je passe ma main sous la culotte soyeuse et tâte les lobes fermes et doux. Elle se cambre. Je m’enhardis, ma main passe sous son ventre et touche son sexe, rasé de frais aussi. Le baiser se termine, je la regarde en soufflant un petit:

– Wah, c’est doux.
Emma nous observe du coin de l’oeil, toujours occupée avec ma bite. Elle sourit encore:

– J’ai dit à Mélanie que tu aimais bien les minous épilés…
Je m’assieds sur le lit.

– Allongez vous, toutes les deux.
Elles obéissent, et s’allongent l’une à côté de l’autre. Emma, jupe relevée, soutien gorge demi-lune de travers, seins à l’air. Mélanie, robe passée autour de sa taille, ses seins débordant de son soutif, sa culotte, assortie à ce dernier, bien visible. Je me penche et la lui ôte. Sa chatte est longue, bien dessinée. Je devine le clitoris, lové dans les ourlets de ses grandes lèvres pâles. Je me mets entre ses jambes, et les écarte, tout en caressant celles d’Emma. La chatte ouverte est brillante de mouille. Je sais que je ne devrais pas penser en ces termes, mais je suis excité, sur le moment, et je pense avec ma queue.
J’approche ma tête du sexe inconnue, et y plonge la langue, goûtant la saveur salée de la cyprine. Emma écarte ses jambes à son tour, et se caresse de la main gauche en nous regardant. Elle croise les doigts de sa main droite dans ceux de son amie, et ferme les yeux. Je l’imite, et me perd dans la chatte ouverte, mélangeant mon nez, mes lèvres et mon menton à ces lèvres qui me sont offertes. Mélanie respire fort, se tend, me met une main dans les cheveux, me guide, m’arrête et me relance, je tourne ma langue sur son clito, puis mon nez, mes doigts se joignent à la danse, majeur et index, qui restent en place pendant que je me décale et que je plonge à nouveau, après avoir écarté le string de dentelle, dans le minou d’Emma. Les deux femmes gémissent en chuchotant, s’entraînant l’une l’autre, je doigte Mélanie, je suce Emma, je suce Mélanie, je doigte Emma, je me relève et trois doigts dans chaque chatte, mon pouce sur chaque clito, tel un chef d’orchestre, je joue ma partition, et dispense mon plaisir, qui se traduit en une musique de gémissements et de soupirs aigus.
Je ralentis le rythme et bite tendue au-dessus des deux femmes, je dis:

– On se le fait, ce bébé ?
La timidité est partie du visage de Mélanie. Elle se relève et se love contre moi, avant de me reprendre dans sa bouche et de me sucer hardiment. Emma l’imite, elles partagent mon sexe, se l’échangent, le gobent et le lèchent, le frottent sur leurs joues, le sentent sous leur nez… je me tends, sentant l’éjaculation poindre. Emma me connaît par coeur, elle laisse ma pine battre dans sa main, en soufflant dessus, un air froid, qui m’excite sans me faire venir tout à fait.

– Tournez-vous, toutes les deux. A quatre pattes.
Elles obéissent encore.
Mélanie rit en disant:

– Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire, là. Aucune pudeur, la fille. Elle me présente son cul, bien cambré. Je me place derrière mon épouse.

– A toi l’honneur.
Elle enfonce sa tête dans le coussin. Je soulève sa jupe asiatique, admire la ficèle du string sur son petit trou, et l’écarte délicatement. Mon sexe glisse dans sa chatte en deux coups de reins, et j’imprime un rythme endiablé, en lui tenant la hanche d’une main tandis que, de l’autre main, je joue dans la moule de Mélanie, dont les fesses sont à moitié cachées par sa robe, retombée de ses hanches. Le ballet est très érotique, l’antre chaud de ma femme me procure des sensations délicieuses, je la gamahuche avec bonheur, me régalant d’avance à l’idée que dans une minute je vais sauter sa meilleure copine et jouir en elle.

– Aaah, ouiii, aaahh, c’est bien, mmmh, encooore, encore encore, ouiii…
Les deux filles geignent de plaisir, Mélanie sourit béatement pendant que je la doigte du mieux que je peux, et Emma, excitée par la présence de son amie, se laisse aller totalement, ses soupirs deviennent plus audibles, puis presque des cris d’aise.
Je ralentis le rythme, je sais que si je continue, je vais venir dans sa chatte, et je tiens à emplir de sperme Mélanie, pour qu’elle ait une chance de féconder mes petits spermatozoïdes excités.
Je me retire de la moule endiablée, y glisse les doigts, et, tout en la branlant, je passe derrière Mélanie, qui se cabre comme une jument. Je la pénètre avec douceur, en lui pressant un sein de ma main libre? Ses tétons sont durs, dressés, je le fais rouler sous mes doigts, tout en la limant de toutes mes forces. Sa chatte est trempée, douce, brûlante, elle m’enserre, me relâche, ondule avec moi, ma bite se perd entre ces lèvres nouvelles, dans la fente accueillante. J’embrasse son cou, soupirant urgemment, je sens qu’Emma a attrapé par dessous la main qui la pénètre et se masturbe avec, comme avec un gode vivant. Mélanie se tend en gémissant:

– Oui-oui-oui-oui-oh-oui…
Elle se soulève encore, je peux embrasser son cou, ses cheveux, et j’atteins son second sein, tout aussi gonflé et ferme, je me régale. Je râle de plaisir, je me laisse totalement aller, ma bite est coincée tout au fond de sa chatte, pouvant à peine aller et venir entre ses lèvres chaudes, je me contracte, voulant en finir, prendre ma jouissance. Je mords son oreille, je souffle, je soupire.

– Attends, chuchote la belle, attends, ne viens pas tout de suite. Viens.
Je me retire de l’antre chaud, et , récupérant ma main poisseuse de la cyprine d’Emma, je lui caresse les seins en l’embrassant par derrière. Elle se retourne lentement, m’allonge sur le lit et m’enfourche, avant d’entamer une lente danse sur mon sexe. Sa robe cache la chatte qui me masse le bas ventre, masque ma pine qui entre et sort de son minou, au rythme de ses hanches.
Pour la première fois je vois sa poitrine de face, ses nichons sont gros et beaux, bien proportionnés, leurs aréoles sont larges, presque roses, et les tétons sont protubérants. Je pose mes deux mains sur les lobes généreux, et en titille les pointes durcies. Elle imprime un rythme plus soutenu, en s’appuyant des deux mains sur ma poitrine.

– Viens, viens, maintenant, vas-y, viens en moi, fais-moi mon bébé…
Emma m’embrasse goulûment, me mordille les joues, les oreilles, le cou, m’enfonce sa langue dans la bouche. Je lui rends ses baisers, je donne des coups de rein, je ne suis plus qu’une queue dans une moule, un mec dans une nana, des mains qui massent des seins énormes, qui pincent des tétons, un gland qui ne demande qu’à jouir.
Emma m’enjambe, plante sa chatte glabre sur ma bouche, je la suce ardemment, avec passion, je gémis entre ces lèvres délicieuses, je donne des coups de boutoir dans sa copine qui écrase ma pine au fond d’elle en remuant le bassin lascivement.
Le délivrance arrive enfin, j’éjacule en saccades terribles, profondes, le sperme jaillit dans l’hymen inconnu, mes mains trouvent le cul de Mélanie et je la plaque contre mon ventre, tout en enfonçant ma lanque dans les tréfonds d’Emma qui se frotte sur mon nez en geignant, totalement déshinibée.

– Mmmm mmmm mmmm…
Je ne peux m’empêcher de gémir, c’est trop divin, les saccades s’espacent, la jute me vrille les entrailles avant d’inonder Mélanie, je tremble de plaisir…
Je me décontracte. Emma quitte sa place sur ma bouche, et s’étend à côté de nous. Mélanie s’allonge sur moi en continuant à onduler le bassin. Nous nous embrassons, je sens ses seins pressés sur ma poitrine, je débande très lentement. Je tourne la tête et embrasse mon épouse à son tour.

– Ouh c’était bon, chuchote-t-elle, coquine. Et toi ? tu as aimé ?
Je hoche la tête, repu.

– Moi aussi, répond Mélanie sur le même ton.
Elle se retire, descend vers ma queue poisseuse, et me suce doucement.

– Tous tes spermatozoïdes sont à moi aujourd’hui, dit-elle en souriant.
Et, joignant le geste à la parole, elle entreprend de nettoyer ma bite de la cyprine et du sperme entremêlés. Emma m’embrasse encore avant de dire:

– J’espère que ça a marché.
Mélanie lève la tête en souriant.

– Sinon… on recommencera…
Je ferme les yeux en souriant. Espérons que ça n’ait pas marché, alors…

Leave a Reply