Historiettes,  La Plume de Florean

La copine de ma femme – Chapitre 2

Résumé du premier épisode: Mélanie est une amie d’Emma, ma femme. Elle a la quarantaine, est célibataire, et veut se trouver un mec de passage pour avoir un enfant. Mon épouse lui a proposé que le mec, ce soit moi. Après une séance mémorable à trois, je n’ai plus trop entendu parler du projet…

Mélanie est à la porte.

– Mélanie ?
Elle a l’air gelée, dans le matin froid. Il a encore neigé la nuit dernière, c’est tout blanc, dehors, c’est rare, à la fin du mois de janvier, dans nos contrées.

– Salut. Je peux entrer ?

– Bien sûr.
Elle secoue la neige qui tombe de son manteau

– Emma est là ?

– Malheureusement, non, elle est chez sa soeur pour la journée.
Mélanie a l’air déçue.
Nous allons dans le salon.

– Tu veux un café ? Un thé ?
Elle secoue la tête, l’air tendu.

– Non merci, je suis déjà assez nerveuse comme ça.

– Il y a un souci ?
Elle hoche la tête tristement.

– Oui. Le bébé. Cela n’a pas marché. J’ai eu mes règles la semaine dernière.

– Oh.
Nous n’avions pas reparlé de la soirée un peu arrosée que nous avions passé au lit. Emma ne semblait pas jalouse, mais elle ne voulait manifestement pas aborder le sujet.

– Ecoute, je ne vais pas tourner autour du pot. Est-ce que tu veux bien recommencer ?
Je suis pris de court.

– Maintenant ? Je… c’est-à-dire…. Emma n’est pas là et…

– On ne lui dira pas.
Je fronce les sourcils.

– Mélanie… je ne peux pas tromper Emma…
Elle vient s’asseoir à côté de moi et m’embrasse sur la bouche. Elle sent la menthe et la vanille.

– Tu es trop mignon. La dernière fois, ce n’était pas tromper ?

– Non, elle était présente. On a fait ça tous les trois. C’est différent.
Elle opine du chef.

– Alors appelle-la. Demande-lui si tu as l’autorisation de baiser avec moi.

– De quoi ?

– Non, tu as raison, tu ne peux pas.
Elle glisse sa main vers mon sexe. Elle peut sentir que je bande à travers mon pantalon.

– Mélanie… non…
Elle rit et sort son téléphone de sa poche, compose un numéro et me regarde de ses yeux bleus, l’air espiègle, en déboutonnant sa chemise. Son soutif noir apparaît lorsqu’elle dit:

– Allô, Emma ? Mélanie. Tu avais raison, il n’a rien voulu entendre.
Je n’ose comprendre.

– Mmm. Je te le passe.
Elle me tend le portable, puis ôte sa chemise.

– Allô ?
Emma sourit au bout du fil, je l’entends dans sa voix.

– Tu vas faire exactement ce qu’il faut pour faire ce bébé à Mélanie, mon chéri.
Mélanie est à genoux devant moi, qui suis toujours assis dans le canapé, elle ouvre ma braguette, écarte mon slip et en sort mon sexe tendu.

– Tu… tu étais au courant ?
Je n’en reviens pas ! Emma rit franchement.

– Bien sûr. Et je lui avais dit que tu ne voudrais pas. Amuse-toi bien, je vais dormir chez Christine, je rentre demain, prends ton temps avec elle.
Mélanie me branle lentement d’une main, en déboutonnant son pantalon de l’autre. Elle me prend dans sa bouche pour le faire glisser le long de ses jambes. Sa langue tourne sur mon gland d’une manière délicieuse.

– Elle… je…

– Oh, et, mon chéri… fais un effort, cette fois, j’aimerais vraiment que tu la mettes enceinte.
Comme si c’était ma faute !!! Mélanie a ôté ses chaussettes, elle est en soutif et culotte, elle me suce méticuleusement au milieu du salon, je réponds bêtement « D’accord », Emma rit, et raccroche..
Mélanie me fait un clin d’oeil.

– Rassuré ?

– C’était une espèce de test, alors ?
Elle place mon sexe entre ses seins blancs en passant sous le soutien-gorge soyeux.

– Un pari, plutôt. Que j’ai perdu. Je suis un peu vexée…
Elle sourit en coin.

– Faisons un marché.

– Quel marché ?
Elle ôte ma queue d’entre ses seins, la suce une fois de haut en bas, et se relève, pour se placer à califourchon sur moi. Elle m’embrasse sur la bouche, complètement, elle s’abandonne dans le baiser, ferme les yeux, soupire d’aise. J’ai conscience de sa culotte tout contre mon gland, et de la manière dont elle se frotte contre moi.
Une pause dans le baiser.
Je répète:

– Quel marché ?
Elle hésite, puis se lance.

– Si tu me fais ce bébé… si tu me fais ce bébé, je baiserai une fois de plus avec toi. Et ce jour-là, je te donnerai ce que je n’ai jamais donné à personne.
Elle prend ma main droite, la fait glisser sur ses hanches, la plonge dans sa culotte, et presse mes doigts entre les lobes rebondis.
Je comprends soudain.

– Tu es sérieuse ?
Elle m’embrasse.

– Fais-moi ce bébé et le Graal est pour toi.
Ma queue contre sa culotte est tendue à craquer. Je crois que je ne pourrais pas bander davantage.
Elle laisse mes mains sur ses fesses, dégrafe son soutien gorge, l’enlève d’un geste fluide et plaque ses seins sur ma bouche. Les mamelons larges roulent sous ma langue, alternativement, les tétons se dressent et dardent, avides de sensations, les gros nichons sont inhabituels pour moi, je m’en emplis bientôt les mains, les lèvres, toutes inhibitions évanouies.
Mélanie m’embrasse à nouveau, la respiration urgente, elle écarte sa culotte d’une main, saisit mon sexe de l’autre, et le trempe d’avant en arrière au creux de sa fente humide. Elle se plante sur moi d’un coup, la pénétration me soulage, je la laisse me guider, je la laisse prendre son pied sur ma queue, elle ne relâche pas son étreinte, et m’embrasse sans discontinuer, en gémissant discrètement.
Les ondulations de ses hanches me bercent, elle s’enfonce sur moi dans un rythme lascif, je caresse ses seins amples, titille les tétons drus, les aréoles épaisses, soupèse les lobes rebondis, ça me dope, m’excite, je n’avais pas fait assez attention à sa poitrine la première fois que nous avions couché ensemble.
Nous rompons le baiser, elle s’écarte, pose ses mains en arrière sur mes genoux, et continue de s’empaler sur mon sexe tendu. Elle a les yeux fermés, toute à son plaisir, je la mate, la détaille, ses seins massifs, sa peau blanche aux minuscules taches de rousseur et grains de beauté, sa culotte trempée de saveurs intimes, sa chatte épilée de frais, ouverte sur ma hampe luisante et gonflée.

– Je te plais ?
Je fais comme si je n’étais pas surpris qu’elle m’ait chopé à la mater.

– Oui.
Elle m’embrasse.

– Tu es mignon. Attends, tu n’as pas tout vu.
Elle se relève, se tourne, ôte sa culotte en la faisant glisser lentement le long de ses jambes, et s’assied sur moi, jambes écartées. Elle place mon sexe dans sa longue fente, et l’y enfonce avec bonheur.
Elle relève les bras, place les mains derrière sa tête, et ondule de la croupe, très lentement, elle me fait penser à une danseuse du ventre, gracieuse, grande, sportive… Je lui caresse le dos, le cul, les seins, je me perds au plus profond d’elle, je sens ses sourires dans ses soupirs, je lui embrasse le creux des omoplates, les épaules, c’est très tendre, très doux, intense, puis je m’enhardis, mes doigts tâtent ses cuisses fermes, continuent leur chemin, et s’offrent le luxe de caresser les longues lèvres épilées, le clitoris enflé et sensible…
Je pense à Emma, mon épouse, qui a manigancé cette rencontre, et qui m’offre sa copine, je bande de plus belle, je donne des petits coups de reins, essaye d’accélérer un peu le rythme, mais c’est Mélanie qui commande, Mélanie qui guide, Mélanie qui construit sa jouissance, peu à peu, sans se presser.

– Mmm… Mmmm… Mmmm…
Je suis en elle jusqu’à la garde, mes doigts tournent et tournent sur son petit bouton, elle cède enfin, sa respiration devient plus rapide, elle me masse la queue plus rapidement avec ses ondulations de bassin, elle resserre les jambes contre les miennes, rejette la tête en arrière, laisse échapper une plainte douce, elle se caresse les seins, et, dans un dernier gémissement, se met à tressauter de manière incohérente.

– Aooooh…ohhh… oh…
Je l’accompagne, ma bite est au pinacle de sa forme, je ne peux pas avoir une érection plus prononcée, plus profondément enfoncée dans son vagin. Mélanie se soulève complètement, s’allonge sur le sol, et écarte les jambes.

– Viens. Remplis-moi de ton sperme.
Je me couche sur elle, bras tendus, elle me guide dans son sexe toujours aussi trempé, et je la lime sans cesser de la mater, les yeux sur ses seins étalés sous moi, sur ma bite qui la transperce.

– C’est ça, c’est ça, viens, remplis-moi, déverse ton foutre dans mon vagin, remplis-moi, pense à ta récompense, pense au Graal, pense à ce que je vais t’offrir, viens, remplis-moi, je ne demande que ça, que ça.
C’en est trop, ses mots d’encouragement me font déborder, j’imagine son gros cul blanc s’ouvrant au passage de ma bite, j’explose dans un râle chuchoté, elle sourit et s’ouvre davantage encore, elle presse mes fesses de ses mains pour que je jouisse au fond d’elle, les saccades qui m’agitent semblent ne jamais vouloir s’arrêter.

– C’est ça, viens, oh, viens, donne-moi tout, ton sperme est à moi, viens, viens encore…
Une dernière secousse me tord le boyaux, et expulse les ultimes gouttes de mon plaisir, je m’étends sur elle, elle replie les jambes autour de moi et m’embrasse goulûment.
Elle rompt le baiser, je la regarde dans les yeux, elle me caresse le visage en souriant, repue.

– Tu sais pourquoi Emma dort chez sa soeur, ce soir, n’est-ce-pas ?
Je secoue la tête, mais la réponse se fait jour dans mon esprit engourdi.
Mélanie rit.

– Tu es mignon. On va bien se reposer, aujourd’hui, et ce soir… Quête du Graal… il faut travailler pour le mériter.
Je souris à mon tour.
Ca va être une très bonne journée.

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