Le Réveillon d’Arthur – Chapitre 3
Arthur – À table !
Mélissa tourne la clé dans la serrure et me serre contre elle dans une étreinte passionnée. Je réponds à son élan par un baiser brûlant.
Elle me pousse jusqu’au lit sans cesser de m’embrasser. Je tombe à la renverse plus que je ne m’allonge, elle tombe sur moi, m’agrippe, frotte son entrejambe contre la bosse qui déforme mon pantalon, affamée, sauvage. Je glisse les mains sous son pull d’hiver, tire son T-shirt, relève son soutif et me saisis de ses petits seins bombés. J’en pince délicatement les pointes qui dardent aussitôt sous mes paumes. Elle gémit contre mon visage et mordille mes lèvres, joueuse.
— Oh, Arthur-Arthur-Arthur…
Je souris contre sa bouche en pressant ses tétons plus forts – ses seins sont tellement petits comparés à ceux de sa mère !
— Tu m’as manqué, petite cousine.
Elle se cabre et se redresse pour s’asseoir à califourchon sur moi, un sourire angélique aux lèvres.
— Tu m’as manqué aussi, mon cousin. On n’a pas beaucoup de temps avant de passer à table… je prendrais bien un hors-oeuvre…
Elle déboutonne mon pantalon, sous elle, et attrape ma queue tendue entre ses doigts minuscules.
Je proteste à contrecoeur.
— Ce n’est pas très prudent… mon père va nous appeler pour manger, on risque de se faire choper…
Elle me masturbe sans ménagement. Je me sens grandir dans son poing très serré. C’est délicieux, surtout après le flot d’adrénaline causé par Annie un moment plus tôt.
— Juste un petit bonjour…
Elle glisse le long de mes jambes et me prend dans sa bouche, lentement, les yeux fermés, un air de pur bonheur sur le visage.
— Mmm… j’avais oublié… comme tu es bon…
Elle me gobe au fond de sa gorge – mais ne peut pas m’avaler entier – puis me recrache, sans cesser de me masturber. Elle fait darder sa langue pointue des couilles au gland, puis recommence à me forcer dans sa gorge… Bientôt, une salive transparente et grasse déborde de sa bouche, enduit la queue enflée qu’elle serre de plus en plus fort dans son petit poing. J’adore voir ses lèvres rose-pâle déformée par ma bite trop épaisse pour elles.
Elle redresse la tête en me caressant d’un air extatique.
— Je mouille comme une débutante… tu veux voir ?
Je hoche la tête, conscient que nous n’avons plus de temps, que chaque minute multiplie le risque de se faire surprendre…
Elle se met à genoux sur le lit et baisse son legging épais et sa culotte en même temps.
Elle se met à quatre pattes, le cul en l’air.
— À table…
Je me retourne, l’embrasse sur la bouche et passe derrière elle. Je trempe mon nez dans sa chatte, en trace les contours avec ma langue et goûte la mouille parfumée avec bonheur. Elle tressaille et gémit.
— Mmm… Viens…
Je me redresse, palpe les petites fesses rebondies et étroites avant de glisser ma queue dans l’antre chaud. Méli pousse en arrière pour me happer tout entier, je l’accompagne à coups de reins délicats, la position est précaire, le legging et la culotte, baissés à mi-cuisse, frottent contre mes couilles et m’empêchent de bien me caler. J’essaye de lui peloter les seins tout en la prenant en levrette, mais on est trop engoncés pour que ce soit confortable.
— Plus vite… mmm… plus vite…
J’accélère le rythme. Elle danse avec moi. Ses gémissements se font plus marqués, plus audibles… elle a envie… je pince ses tétons tour à tour, ses couinements m’excitent terriblement, mais j’ai peur qu’on nous entende…
— Mmm… viens… viens… remplis-moi fort…
Je la saute avec une intensité décuplée par mon moment avec Tata, par mon envie conjuguée de la mère et de la fille, par ma chance de pouvoir les toucher et les baiser toutes les deux.
— Mmm… c’est ça… je viens… je viens… je…
J’augmente le rythme, pas loin de venir moi-même, mais je me retiens, je veux faire ça bien.
— Oh !
Elle se plante sur moi et se cabre, tendue, tremblante, perdue dans ses sensations.
— Oui !
Je m’enfonce au plus profond d’elle pendant qu’elle jouit, la chatte toute serrée autour de ma bite.
Elle tourne la tête et me sourit, le regard vague.
— Encore… plus fort.
Je la lutine à nouveau. Cette fois, je veux me finir. Je sens que ça vient…
Et on toque à la porte.
Je sursaute jusqu’au plafond en retirant ma queue luisante de la fente de ma cousine.
Mon père.
— Méli, Arthur, à table. Vous descendez ?
Mélissa répond d’une voix calme:
— On arrive, Tonton.
— Super, on vous attend.
Elle remonte son legging et m’attire à elle, pendant que je reboutonne difficilement mon jean.
— C’était moins une. J’ai eu mon plaisir mais pas toi… tu ne veux pas venir dans ma bouche ?
Je secoue la tête, encore tremblant du coup de stress.
Elle baisse mon slip et me prend entre ses lèvres.
— Méli… on n’a pas le temps, ils nous attendent.
Elle me suce plus vite.
— Viens…
Elle me caresse à travers les couilles, les presse, joue de leur rondeur.
— Méli…
Elle me lèche le gland une dernière fois en me branlant. Je me vois l’asperger de sperme, mais elle ralentit et hoche la tête.
— D’accord… mais on recommence cet après-midi ou ce soir ? Pendant le réveillon ?
Je souris.
— Quand tu veux.
Elle m’embrasse encore la queue et la range dans mon slip.
— Vraiment ? Je choisis le moment et l’endroit ?
Je finis de rajuster mon pantalon et ma ceinture.
— Vraiment.
Je pense à mes possibilités avec Annie et me ravise.
— Mais peut-être pas toute la nuit, cette fois… trop de risques de se faire choper…
Je montre la porte où mon père a frappé un instant plus tôt.
Elle rit.
— Du moment où tu me câlines au moins ce soir et demain, je te laisse tranquille cette nuit. Et puis j’ai d’autres plans…
Je hausse un sourcil.
— Ah oui ? Lesquels ?
Elle rit.
— Dormir !
Je ris en pensant secrètement que moi aussi, j’ai d’autres plans… même si j’espère qu’ils seront beaucoup moins reposants.