En famille,  La Plume de Florean,  Le réveillon d'Arthur

Le réveillon d’Arthur – Chapitre 13

La nuit d’Arthur

Méli bâille bruyamment.
— Maman a demandé que tu lui apportes cette tisane, si tu veux bien. Je suis crevée.
Ça m’arrange.
Je feins de bâiller aussi.
— Sans problème. On se dit bonne nuit ?
Elle lance un regard vers la cuisine où l’on entend papa qui finit la vaisselle.
Rassurée, elle m’enlace et m’embrasse sur la bouche. Je la serre contre moi et lui rends le baiser en lui caressant les fesses.
Elle s’écarte, un peu essoufflée.
— Bonne nuit, Arthur. Je viendrai te réveiller à ma manière demain matin.
— J’ai hâte. Bonne nuit, Méli.
Je prends le mug en simulant un autre bâillement. Méli m’imite.
— Et encore Joyeux Noël.
Je ris en me dirigeant vers l’escalier, le coeur battant.
La fête n’est pas finie, loin de là !


e porte le mug brûlant dans l’escalier qui mène à la chambre de Tata. J’ai beaucoup trop donné de ma personne, aujourd’hui, mais je sens une raideur pointer dans mon pantalon à mesure que le moment approche.
La porte s’ouvre sans que j’aie besoin de frapper.
Tata a son petit sourire secret aux lèvres lorsqu’elle me fait entrer et referme à clé derrière-moi.
— Pose la tisane ici.
Elle me montre la table de nuit. Je m’exécute et me tourne vers elle.
Elle est magnifique. Elle me dévisage d’un air presque timide. Je l’embrasse mais elle me repousse gentiment.
— Pas trop vite, mon chéri. Déshabille-moi.
Elle se tourne et dégage ses cheveux bruns de son cou.
Je tire sur la fermeture éclair de sa robe et découvre d’une main caressante le dos nu, les seins gonflés, le ventre rebondi, tendu. Elle se retourne et me laisse la contempler en silence, la toucher, la palper tendrement. Elle porte un string et des porte-jarretelles sur des bas noirs. Je me penche pour lui embrasser les seins et j’en profite pour tirer le string vers le bas, révélant une chatte épilée de frais. Je crois que c’est la première fois qu’elle se rase toute seule et complètement pour moi – si l’on excepte la fois où je l’ai moi-même épilée… ce souvenir me fait bander plus fort.
— Surprise… Je te plais, toute douce, comme ça ?
Elle passe ses doigts sur son sexe et en écarte légèrement les lèvres.
— J’adore… tu le sais bien…
Je fais glisser le string le long des jambes magnifiques de Tata et remarque le filet de mouille blanchâtre et abondante qui s’y est accumulé. Waw. Elle a envie.
Je me relève lentement.
Elle sourit.
— À mon tour…
Elle déboutonne ma chemise d’une main experte tout en me comblant de baisers légers sur les lèvres. Elle déboucle ma ceinture et tire sur ma braguette d’un geste lent. Elle glisse les doigts dans mon boxer et saisit ma queue gonflée de désir.
— Viens.
Elle m’attire jusqu’au lit, s’assied, les jambes écartées, baisse mon boxer et lèche ma bite avec un soupir satisfait, avant d’en suçoter langoureusement le bout en me regardant de ses grands yeux bruns.
— Je t’aime, Annie.
Elle sourit, ses mains montent sur mes fesses et elle me pousse au fond de sa gorge, en trois coups de menton qui la font hoqueter douloureusement. Elle remonte lentement, la langue joueuse, et crache une salive abondante sur ma queue tendue à craquer avant de la placer entre ses énormes seins et de commencer à me branler dans leur creux. C’est incroyablement bon… je donne des petits coups de reins pour accompagner la branlette espagnole, ma bite apparaît et disparaît entre les loches aux tétons noirs et dressés, je me régale du spectacle, conscient que mes couilles butent parfois sur son ventre de femme enceinte.
Ça achève de m’exciter.
Je caresse sa joue. Elle me fixe en souriant, elle sait que je n’en peux plus.
— J’ai envie de toi.
Elle rit en me masturbant à deux mains.
— Oh… c’est ce que j’avais cru comprendre…
Elle me reprend dans sa bouche et me lèche le gland amoureusement en geignant discrètement.
J’insiste.
— Tata… je te veux… maintenant…
Elle sourit encore, pose un dernier baiser sur mon sexe et m’attire à elle sur le lit.
— Ah… mon fougueux petit amant (elle sourit)…viens… tu l’as bien mérité…
Elle s’allonge sur le dos, les cuisses écartées, le cul au bord du matelas, et se caresse les seins à pleines mains.
— …je suis toute à toi.
Elle presse ses mamelons et en étire les tétons, qui dardent, drus sous ses doigts. Je la mate, hypnotisé, la queue à l’horizontale au-dessus d’elle. Elle sourit.
— Mmm… j’aime que tu m’admires, que tu me trouves belle… ça me rend toute chose… tu sais… quand je parle de toi à quelqu’un, à Méli, à Betty, à mes amies, je coule dans ma culotte et il faut que je me soulage après… tu me fais un tel effet… j’aime tes yeux sur moi, j’aime ton corps juvénile, ton énergie, la façon dont tu bandes pour moi…
Je la mate sans honte et me masturbe lentement, debout, entre ses jambes ouvertes.
— Je… je bande parce que tu es si belle, nue…
Elle n’a d’yeux que pour ma queue dressée entre mes doigts. Elle s’enhardit.
— Mets-la moi toute entière… je suis toute à toi…
Je souris à son air extatique et coquin, elle qui est si douce et mesurée habituellement… J’aime qu’elle parle comme ça.
Elle gémit.
— Viens… viens maintenant…
Je m’agenouille sur la moquette et plonge ma langue dans la chatte grasse. La mouille salée explose en mille saveurs dans ma bouche, je l’aspire et la bois, émerveillé par la douceur glabre des lèvres fraîchement épilées. Annie se tend et croise les jambes autour de mon cou, j’ai le nez qui entre dans le vagin trempé, le front qui bute contre le ventre tendu et enflé. Je suce, je lèche, je pénètre et explore la tendre mollesse qui fond sous mon menton, sous ma langue, et qui m’enduit le visage de mouille et de salive mêlées. Elle accompagne mes caresses en roulant le bassin, en se cambrant, en me guidant dans ses plis ouverts… je plante deux doigts dans la chatte et les enfonce au plus profond. Annie se tend en geignant, la respiration saccadée, le corps tremblant. Elle laisse soudain échapper une longue plainte et cesse de respirer, je suçote le clitoris boursouflé du bout des lèvres et ralentis le rythme de mes doigts.
Tata relâche bientôt son étreinte, elle écarte les jambes gainées de bas soyeux d’une manière mal assurée, elle passe sa main dans mes cheveux et les tire doucement pour m’attirer à elle.
— Viens…
Je me mets à genoux sur le parquet, entre ses cuisses, et trempe ma queue dans le creux humide de sa chatte. Elle ondule le bassin et m’aspire littéralement dans son vagin brûlant. Je mate ma pine qui entre et sort des lèvres humides, je mate ses seins qui enflent au rythme de sa respiration, j’agrippe le haut de son cul pour mieux la baiser, pour la pénétrer plus loin, plus fort.
Elle roule des hanches en rythme comme si elle lisait dans mes pensées, elle me suit, m’accompagne, écarte les cuisses pour me sentir davantage, je bute au fond d’elle et m’y perds, je l’admire tandis qu’elle se caresse les seins et le ventre en une ronde sensuelle.
— Plus vite… mmm… oui… plus vite…
J’accélère.
J’ai envie de venir, de me laisser aller, mais je me retiens. Elle gémit de plus en plus fort. On va nous entendre…
— Tu es belle.
Elle sourit en geignant bruyamment pendant que je la pilonne à grands coups de bite tout en pressant ses nichons si fermes entre mes deux mains.
Elle m’enserre entre ses jambes et se tend soudainement.
— Oui… oui… ooooh… ooooh…
Sa chatte se contracte autour de ma queue et laisse échapper un liquide chaud le long de mes cuisses.
Une fontaine… waw… elle jouit.
Je serre ses seins plus fort entre mes doigts. Ses mamelons durcissent sous mes paumes. Elle attrape mes fesses, se plaque contre mon aine et m’attire plus loin en elle en couinant délicieusement, elle me saute, toute à sa jouissance.
Elle se décontracte enfin, essoufflée, en nage, elle relâche son étreinte et me repousse gentiment.
Ma bite sort de son vagin dans un bruit de succion prononcé, je suis poisseux de sa mouille, j’adore.
— Attends…
Elle grimpe à quatre pattes sur le lit et se fourre ma queue sous les lèvres.
— Pousse-la dans ma gorge. Fort.
Elle m’avale.
Loin.
Je pousse.
Sa bouche se distend sous ses coups de menton déterminés, elle hoquète, elle me veut tout entier, j’attrape ses cheveux et la force à aller plus loin, elle a un haut-le-coeur, me repousse, je la libère…
Elle remonte en respirant bruyamment, crache un flot de salive bouillonnante sur mon gland turgescent et…
— Encore…
Elle se fait sauvage, je lui baise la bouche comme je lui baiserais la chatte, elle me pousse dans sa gorge malgré des hauts-le-coeur et hoquets douloureux, toujours plus loin, son nez dans mes poils pubiens, sa langue tirée pour me lécher les couilles…
Elle bave à gros bouillons et bientôt ma bite est enduite d’une salive épaisse, écumante.
Elle remonte une dernière fois, lentement, le visage rougi par l’effort, par les asphyxies successives, elle crache les derniers grumeaux sur mon sexe et me regarde, extatique.
— Ça devrait aider…
Elle me lèche sous le gland et se retourne sur le lit. Elle me regarde en coin, cambrée, les fesses offertes.
— Sois doux, ça fait longtemps que je ne l’ai pas fait…
Mon coeur bat la chamade. C’est le moment. Ça m’excite d’imaginer qu’elle l’a déjà fait. Ma tante à moi, qui aime la sodo… c’est incomparable…
Je grimpe sur le matelas, écarte la couette, et viens me placer entre ses genoux. Elle rejette la tête en arrière quand ma bite encore enduite de salive effleure son petit trou, qui s’ouvre sans résistance à la moindre pression.
Je pousse doucement.
L’anus plissé cède mollement le passage à mon gland, qui y pénètre comme dans du beurre.
Tata se tend, tremblante.
— Aïe… oh… oui…
Je ressors lentement et la pénètre plus loin. Tata émet un geignement aigu.
— Mmmm… oh… doux… oh…
Elle pousse en arrière et s’empale sur ma pine jusqu’à la garde centimètre après centimètre.
— Oooooh…. aah… lent… oh… oui… oui…
Je suis comme paralysé. Annie me prend dans son cul, c’est elle qui le désire… elle veut que je l’encule…
Je me suis tellement branlé en imaginant ce moment…
Mon manche glisse entre les lobes généreux, j’admire le spectacle, le rondelle souple m’enserre fermement, les sensations dans mon bas-ventre sont décuplées par le fait que c’est Annie qui guide son plaisir, c’est elle qui me fait la visite, je ne suis qu’un plug anal qu’elle s’enfonce avec lenteur…
Elle imprime un rythme d’avant en arrière, ma queue disparaît entièrement en elle, ça sent le cul, la mouille, la sueur, elle me lime le chibre en prenant son temps pour mieux me sentir, m’apprivoiser…
J’attrape ses hanches amples et l’encule plus fort, plus loin, sans la presser, les mains sur le porte-jarretelles délicat.
— Oh… oui… viens… au fond… entier….
Elle ondule le bassin pour m’encourager à la prendre plus vite, je ne me fais pas prier, je ramone sa cheminée jusqu’à la garde, mes couilles butent contre sa chatte, mes abdos claquent contre son cul large et ample, elle se crispe et mord dans l’oreiller pour crier son plaisir.
J’accélère.
Elle se pâme en tremblant de tout son corps, se tourne l’oeil hagard et implore:
— Viens… maintenant… viens… plus fort…
Une excitation soudaine me vrille les reins. Le ton d’extase absolue qu’elle a utilisé… elle aime ça pour de vrai… elle aime que je la sodomise, que je lui prenne le cul, c’est un sentiment trop fort, je ne peux plus tenir.
La jouissance m’enserre les couilles et j’explose soudain en spasmes euphoriques au fond d’elle. Ma bite enfle et l’inonde, chaque contraction lui arrache des petits cris aigus, je me vide lentement, je déverse ma semence dans ses boyaux, m’abandonnant au choc de la jouissance pure, appréciant chaque jet de sperme comme une bénédiction. En cet instant, je ne suis qu’un sexe en érection et Tata n’est qu’un cul serré, une femme-objet, comme je ne suis qu’un plug pour elle…
Je m’écroule, ma queue toujours tendue dans son cul délicat, mes mains pressant ses seins amoureusement mais fermement. Elle balance toujours les hanches, prolongeant son plaisir interdit en gémissant discrètement.
J’embrasse le creux de son dos, son cou, ses épaules, puis ôte lentement mon sexe poisseux de son anus. Je m’allonge à ses côtés. Elle se retourne sur le dos, jambes écartées, le ventre enflé, et se masturbe ostensiblement, en récupérant le sperme qui coule de son cul pour se l’étaler sur sa chatte nue et molle.
— Oh… Arthur… mmm…
Elle a les yeux fermés et respire par à-coups, ses seins se soulèvent, gonflent, puis s’écartent avant de gonfler à nouveau, je me caresse la queue en la regardant se faire plaisir. Elle serre soudain les jambes en geignant, tout son corps tremble, se tend, et, deux doigts enfoncés dans le vagin, elle s’immobilise, satisfaite.
Elle ouvre les yeux, m’embrasse en souriant et me dit:
— Merci…
Je lui rends son baiser.
— C’est moi.
— Tu as aimé ?
Je fis signe que oui.
— Tu aimes que je sois ta tante ? Ça t’excite ?
Je souris encore et lui mordille les lèvres.
— Je suis amoureux de toi depuis que je suis enfant… tu as peuplé mes fantasmes de collège et de Lycée… alors oui, ça m’excite de sauter ma tante… Et toi ?
Elle presse ma bite entre ses doigts.
— Le fait que tu sois mon neveu m’excite terriblement… le secret qui nous unit… ta jeunesse…ta belle queue toujours si dure pour moi… ton regard sur mon corps… tu es le rêve d’une femme…
Je pose mes lèvres sur les siennes.
— Tu as aimé… derrière ?
Elle rit en se mordant les lèvres.
— Plus que ça… Tu as été très doux… tu peux me prendre par derrière à chaque fois, si tu veux…
— Waw… vrai ?
Je passe la main sous ses fesses, elle se cambre légèrement. Je glisse un doigt sur son petit trou poisseux et l’y enfonce sans rencontrer de résistance.
— Mmm… vrai…
Elle se plaque contre ma main. Mon index disparaît totalement.
Nous nous embrassons longtemps, mon doigt jouant les prolongations dans sa voie étroite.
— En tout cas, c’était une belle manière de fêter Noël…
Elle sourit, énigmatique.
— Et ce n’est pas fini…
Je lui rends son sourire.
Nous nous câlinons sans hâte, mon doigt lové dans son cul, sa main autour de ma queue.
Je ne peux pas rester dormir ici, mais je peux profiter encore un peu…


— Arthur ?
J’ouvre les yeux.
Il fait encore nuit.
— Mmm ?
Tata me caresse la joue.
— Il est presque 3 heures. J’adorerais que tu restes, mais…
Je hoche la tête et me lève lourdement.
— Bonne nuit Tata.
— Bonne nuit mon chéri.
Je me penche et lui pose un baiser sur les lèvres. Elle s’agrippe mollement à moi.
— Fais de beaux rêves.
— Toi aussi.
Je souris et quitte la chambre en silence.
J’hésite à rejoindre Mélissa.
Je me déplace à pas-de-loup dans le couloir, vers sa chambre.
Je tourne lentement la poignée…
…puis je me ravise.
Et si elle se réveille ? Je ne peux absolument pas lui faire l’amour, là, il me faut un peu de repos après cette journée et cette nuit incroyables.
Je lâche lentement la poignée de porte et retourne vers ma chambre.
C’est ça, une bonne nuit de sommeil, et j’aurai peut-être le temps de baiser Tata ou Méli avant leur départ à midi…
Je souris.
J’ai trop de chance.

Leave a Reply