En famille,  La Plume de Florean,  Le réveillon d'Arthur

Le réveillon d’Arthur – Chapitre 14

La nuit de Mélissa

Je laisse Arthur grimper les escaliers avec sa tisane, je compte jusqu’à 10 et je monte à mon tour.
Je le vois entrer dans la chambre de maman avec la tisane et refermer la porte.
Ils s’entendent bien, ces deux-là. Maman aurait un peu le béguin pour Arthur que ça ne m’étonnerait qu’à moitié. Je souris. Mon aventure avec Thomas me donne de drôles d’idées…
Je file vers ma chambre me changer. Je me déshabille entièrement. Mon string est trempée d’une mouille blanchâtre qui s’est accumulée-là toute la soirée à l’idée de me faite sauter par Thomas cette nuit.
Je mets l’ensemble que maman m’a offert, le petit soutien-gorge rose-fuchsia, un peu serré sur mes petits seins – mais ils paraissent plus gros ainsi – et le string qui dessine parfaitement les lèvres de ma chatte. Je m’admire dans le miroir. Cheveux blonds, yeux verts, corps juvénile aux formes appétissantes… une parfaite petite salope… Tonton va adorer.
Je ne peux pas y aller comme ça… il faut que je l’allume mais moins ostensiblement… j’ai exactement ce qu’il faut.
Je passe un short en jean serré et un haut rose pâle, je mets une touche de gloss discret.
Le short me rentre dans le cul.
Le top moule mes seins.
Parfait.
Je m’apprête à sortir, cœur battant.
J’ouvre la porte en silence.
Personne dans le couloir.
Je le traverse sur la pointe de mes pieds nus et je frappe à la porte de Thomas.
Il m’ouvre et je m’engouffre dans sa chambre.
Il a l’air un peu gauche, un peu gêné de me regarder, c’est chou.
— Sûre de toi ?
Je ricane et me mets sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Nos lèvres se trouvent facilement, il se penche, m’enlace, je me love dans ses bras.
Je pose mes mains derrière sa nuque et force l’étreinte, le baiser se prolonge, la timidité disparaît, ses mains me caressent le corps, passent sur ma taille fine, sur mes fesses, remontent dans mon dos, sur mes seins, puis redescendent sur mes fesses engoncées dans le short court.
Je brise le baiser, et me serre contre lui, il me berce, m’englobe, me caresse, je ferme les yeux, il sent bon, il est doux.
Il s’écarte un peu, me regarde, lovée dans ses bras, me sourit.
— Toujours partante ?
– Mmm mmm.
— Laisse-moi t’admirer…
Je me recule et tourne sur moi-même. Il me mate. J’adore.
— Tu es ravissante.
Je souris et m’approche pour caresser son entrejambe.
— Je voulais être bandante, pas ravissante…
Il hoche la tête.
— Tu es bandante. Et ravissante.
Je l’embrasse avant de m’agenouiller devant lui. Je déboutonne son pantalon, le baisse un peu, puis je fais de même avec son boxer. Son sexe se tend devant moi, long, fin, il tombe sur mon front, sur mon nez, lourd, veineux, sanguin… Je le prends délicatement entre mes doigts et le lèche doucement.
— Je t’ai pour moi toute seule… (ma langue passe lentement sous la queue turgescente)… pour la nuit… (je prends le gland dans ma bouche et l’en fais sortir)… alors ne perdons pas de temps…
Sa bite glisse toute entière sur ma langue, râpe mon palais, cherche à entrer dans ma gorge, je pose mes mains sur ses fesses nues pour le pousser en moi, puis le relâche pour respirer. Un filet de salive coule de mes lèvres, je le gobe à nouveau, plus fort, plus loin, il saisit le haut de ma tête, m’attrape par les cheveux et, par à-coups, imprime un rythme lent mais ferme, à ma fellation. J’ai à peine l’occasion de respirer lorsqu’il se recule, je hoquète plusieurs fois, crache une salive de plus en plus abondante, mais je suis récompensée par ses gémissements et la tension dans ses muscles, par son visage crispé de plaisir.
— Ooooh, tu suces bien, petite nièce…
Je lui souris.
— Et tu es bon, mon tonton… J’aime bien être ta petite salope…
— Tu n’es pas une « salope ». Coquine, oui. On se fait juste plaisir, tous les deux.
Je suçote le bout de son gland et réponds:
— Va pour coquine, alors…
Il rit.
— Ma petite coquine qui suce trop bien…
— Et qui aime te sucer…
Je le reprends en bouche. Le gland bat sur ma langue, emplit mon palais…
Je glisse une main dans mon short, sous ma culotte, et me caresse frénétiquement. Je suis excitée comme lors de ma première fois. Je pense à Arthur, qui adore me sauter, et à Thomas, qui frémit sous mes coups de langue, et mon plaisir augmente encore, je ne respire plus, je force son sexe à aller plus loin dans ma gorge en me masturbant comme une furie.
Il se recule soudainement, sans sortir tout-à-fait de ma bouche. Je donne un coup de menton et l’avale à nouveau. Il gémit:
— Oush…Att… attention…
Tonton se tend à rompre, je ne bouge plus sur sa queue, j’ai un petit haut-le-cœur que j’essaye de contrôler. Le gland gonfle et bat sur ma langue, les mains sur ma tête se crispent, je me caresse lentement, espérant qu’il ne va pas jouir tout de suite.
L’alerte passe, il se détend, il sort de ma bouche avec douceur, je halète, respirant difficilement, et crachant un flot de salive sur la queue brillante.
Je me relève et l’embrasse, en le masturbant toujours de mes deux mains
— Merci. Tu suces comme une pro.
Je souris.
— Je n’ai pas beaucoup d’expérience pourtant.
Il me caresse la joue.
— J’aime que tu sois si jeune, tu sais ?
Je hoche la tête.
— Et moi j’aime que tu sois un homme expérimenté…
Nouveau baiser langoureux.
Il soulève mon T-shirt, admire ma poitrine étroite dans le soutif rose transparent et me la caresse, par-dessus le tissu fragile, puis par-dessous.
— Tu es belle.
Une de ses mains descend vers mon short et glisse dans ma culotte. Les doigts sont frais sur mon clitoris, le soulagement est immense, je l’embrasse. Je suis trempée.
— On va dans le lit ?
Il enlève complètement son pantalon et son boxer, et me pousse vers le grand lit aux draps blancs fraîchement repassés.
Deux foulards rouges sont posés sur la table de nuit. Je devine instinctivement à quoi ils servent.
— Attache-moi.
Il suit mon regard, mon geste vers les bouts de tissu et hausse les sourcils.
— Tu es sûre ?
Je suis trop excitée pour écouter la petite voix qui me susurre à l’oreille que ce n’est peut-être pas une bonne idée. J’enlève mon T-shirt et mon short. Il m’admire. Mon string est tâché de mouille, déjà. J’ai tellement envie.
– Sûre. Je t’ai dit: je suis à toi ce soir. Fais-moi ce que tu aimes.
Il hoche la tête, m’embrasse.
— Mets-toi à quatre pattes sur les draps.
J’obéis.
Je tremble un peu d’anticipation.
— Ok. Ne bouge plus.
Il m’attache les mains dans le dos. J’ai la tête sur un oreiller, un peu tordue, les fesses en l’air, soumise, déjà. Il a serré les liens suffisamment pour que je sente que ce n’est pas du chiqué, mais ils ne me font pas mal. Je le regarde en coin. Sa queue est dressée, tendue, il la caresse en me matant, puis prend le second foulard et me bande les yeux.
Ça m’excite terriblement.
Il grimpe sur le lit, je le sens venir se placer à genoux juste derrière moi, il écarte la ficelle de mon string, et me caresse le cul, lentement.
— Tout ce que j’aime ?
Je hoche la tête en tremblant légèrement.
— Tout.
— Alors…
Une claque sur mon cul. Je sursaute. Je n’ai pas vraiment eu mal, mais je ne m’y attendais pas !
Une fessée ?
Oups.
— Je continue ?
Mon cœur accélère ses battements dans ma poitrine.
— Je… oui… fais-moi tout ce qui te fait bander.
Une seconde claque, plus appuyée sur l’autre fesse.
Je me tends.
— Hmpf… pas trop fort…
— …je ne veux que ton plaisir…
Il me caresse le cul, passe sur ma chatte, par-dessus le tissu-stretch du string, j’écarte un peu plus les jambes.
— …ça va te plaire, fais-moi confiance.
Une claque à droite, caresse, claque à gauche, caresse.
J’ai le cul qui chauffe, un peu douloureux, il revient vers ma minette, j’ai les yeux fermés sous le bandeau. Curieusement, les caresses rendent la fessée supportable, agréable même, j’ai le ventre en feu, je veux qu’il me prenne.
— …c’est ça… tu sens le plaisir monter ?
— Mmm… oui…
Claque.
— Tu me fais bander, Mélissa…
Caresse, arrondie, sur mes fesses rougies.
— Oooh…
Claque.
— Aïe…Mmmh….
Caresse douce. Ses doigts se prennent dans mon string, il le descend, lentement, en travers de mes cuisses.
— J’aime te fesser…
Je me surprends à hocher la tête.
— … j’aime aussi…Tonton… mmm… encore…
— Tu es encore plus coquine que dans mes fantasmes…
— …mmm… tu es dans les miens aussi…
Il me caresse le cul.
— Tu en veux encore, vraiment ?
Je me cambre sur sa main, toujours plus soumise.
— …oui…
— Alors…
Il fesse le haut de mon cul, une fois, deux fois, trois fois, quatre… la paume à plat produit un bruit sec, terrible, mais il me caresse à nouveau, plus longuement.
— Oooh…
C’est délicieux.
Ses doigts descendent vers mon sexe ouvert, et le pénètrent sans hâte, je suis trempée, il le voit, son majeur et son index disparaissent dans mes tréfonds, déclenchant en moi une vague de soulagement extraordinaire.
— Oh….mmmmh….
Il plaque sa main contre ma chatte lisse comme une petite pomme, et joue de ses doigts, avec tact et fermeté. Je tire sur mes liens par réflexe, mais je suis complètement entravée, les mains bloquées dans le dos, à sa merci.
Il retire ses doigts et plonge sa langue dans ma chatte avec un bruit de succion délicieux, la tête à l’envers, le nez contre mon clito, la langue dans mon vagin, je m’épanouis sous ces caresses buccales, je m’ouvre comme une fleur butinée.
Le mouvement de sa tête devient plus ample, les éclairs dans mon ventre se succèdent, foudroyants, interminables, la jouissance n’est pas loin déjà, je ne réalise pas tout de suite qu’il me lèche aussi le cul et le périnée, ses doigts reviennent me pénétrer tandis que sa langue ouvre lentement mon petit trou délicat.
La sensation est plus qu’agréable, je ne proteste pas, je ressens, j’accompagne le mouvement, j’essaye de me détendre plus encore, de lui ouvrir le passage, c’est doux et chaud, le mélange de sensations me rend folle de désir, je veux venir, et venir encore, la jouissance se construit, grandit, m’inonde, je gémis, la tête enfouie dans le coussin.
J’ai envie de le sucer et de le sentir au fond de ma chatte mais il ne ralentit pas, au contraire, il accentue la pression, sa main continue de me lutiner allègrement, sa bouche me suce le cul sans discontinuer, avec une gourmandise manifeste.
Son autre main vient sur mes fesses, à plat, et je le sens jouer avec son majeur sur la pastille souple de mon anus humide de salive, qui s’ouvre soudain. Je me cambre et me contracte en sentant au moins deux doigts me pénétrer brusquement, une sensation de vide m’étreint le ventre, je me soulève, hésitante, n’osant lui dire d’arrêter… Que va-t-il penser de moi ?
— Aah…
Il ne sait pas qu’Arthur m’a déflorée partout… il se méprend sur mon geignement.
– Détends-toi, ma belle.
Je hoche la tête en tournant un regard aveugle dans sa direction, submergée par un désir intense, ne pouvant m’empêcher de gémir en sentant les caresses de sa main gauche qui me masturbe tout en jouant dans mon vagin. Je ne peux pas faire semblant… j’adore… je susurre:
— …encore…
Il sourit et se penche pour embrasser mes fesses.
— Tu as un petit cul tellement rondelet… j’en rêve depuis longtemps… ta blondeur… ta jeunesse… tes formes délicieuses…
Ses mains accélèrent en moi, devant et derrière, ses doigts pénètrent de plus en plus loin, de plus en plus facilement, les sensations se mêlent, je me détends, m’affale, sa voix me berce, me flatte, me donne confiance.
— Si tu aimes, je peux essayer quelque-chose d’un petit peu plus gros…
— Mmmmh… oui… oui…
Ses doigts s’enfoncent, dans un doux ressac, le plaisir atteint un pic et ne semble pas vouloir en redescendre,
— Tu veux bien que je te prenne par derrière ?
La main de Tonton est à plat sur mon cul, il a introduit son pouce entier… je sens ses doigts s’entrechoquer en moi, des deux côtés de ce plaisir nouveau. La pensée de sa queue toute entière dans mon cul m’allume complètement… mon excitation croît. Je ne réponds pas, mais je crois qu’il devine…
— Mmmmh…. ooh… Thomas… Tonton…
— Alors, ma belle… Tu veux bien…?
Je hoche la tête contre le coussin, mes poignets attachés dans mon dos commencent à me faire mal, je m’étale encore plus pour relâcher un peu la tension dans mes bras. Il me caresse toujours.
– Oooh… oui… oh… viens viens….
Il se relève, ôte ses doigts de ma vulve mais garde son pouce dans mon petit trou, l’étirant en cercles de plus en plus amples. J’ai la tête qui tourne, et une envie de faire l’amour terrible.
Il place ses genoux dans les miens, sa queue vient se poser à l’entrée de ma chatte et me pénètre sans hâte, en continuant son petit jeu dans mon petit trou avec le pouce, les sensations se mêlent, puissantes, je ferme les yeux dans le coussin, le bandeau commence à glisser sur mon nez, je m’ouvre à lui, à ses coups de reins puissants, je reconnais le plaisir qu’il m’a donné cet après-midi, son sexe et le mien s’accordent parfaitement, le plaisir est entier, présent, fort, sa longue queue me remplit jusqu’au fond, son pouce tourne toujours dans mon cul mais je n’en éprouve ni gêne, ni honte, Thomas me fait du bien, c’est tout ce qui importe.
Je mords dans l’oreiller en criant mon plaisir, j’appelle la jouissance, le rythme des coups de reins accélère, leur amplitude aussi, il me pénètre jusqu’au pubis, ressort presque entier avant de me harponner à nouveau. Sa queue est tellement longue, je la sens serpenter et enfler en moi, elle déclenche des vagues de chaleur délicieuses, je m’ouvre un peu plus à chaque coup de boutoir, je veux qu’il me transperce la chatte de part en part. Il m’attrape les seins pour la première fois ce soir et en pince les tétons entre ses doigts, fortement. Mon plaisir est décuplé.
– Ooh… aa… aa… hin… hin…
Des éclairs me vrillent le ventre, je jouis bruyamment, en souriant d’extase, la tête enfoncée dans le coussin, les yeux clos, il sort son pouce de mon petit trou, attrape mes hanches et me lime plus fort, pas trop vite, mais fermement, la jouissance dure et se prolonge, je tire sur mes liens espérant pouvoir libérer une main pour me masturber, mais mes poignets irrités sont bloqués.
— Oh… Thomas… Tonton… libère-moi….
Il ralentit en moi, se penche, m’embrasse le creux du dos, et me détache les mains.
— Tu vas en avoir besoin. Caresse-toi, petite nièce, petite coquine…
Il se retire et place sa queue entre mes fesses.
— Un peu de gel… c’est mieux…
Une substance froide s’agglutine sur mon petit trou, il baigne sa bite dedans.
— J’adore ton petit cul, ma blonde adorée… laisse-toi faire…
Mon cœur bat la chamade. Le sexe exerce une pression sur mon anus qui s’ouvre instantanément, puis se rétracte en rejetant le gland trop gros. Il presse à nouveau, je sens la queue entrer doucement, puis ressortir.
Je me branle le clito à me l’arracher.
— Détends-toi… tu es belle comme tout….
Je ne respire plus.
Il fait tourner son sexe plus lentement, je m’ouvre à nouveau, il pousse sans forcer, je respire profondément en me caressant plus lentement, presque inconsciemment, la main sous moi, et soudain, c’est fait, le chapeau de son gland est tout entier en moi, bien plus massif que celui d’Arthur…
Tonton se tend, son sexe bat  quelques instants, et commence à aller et venir…
Après le fils, le père… j’aimerais tant me faire les deux en même temps… La pensée me fait sourire, je le laisse m’enfiler à son rythme, j’ai confiance en mon oncle.
La pénétration est très lente, je ne sais pas où il en est, je me caresse, sens ses couilles, les attrape et les flatte, avant de continuer à me masturber, les plaisirs se mêlent, la sodomie est plus dure qu’avec Arthur mais ce n’est pas désagréable, les sensations les plus marquantes viennent de ma pastille distendue, agréablement irritée, je me trouve dans un halo cotonneux, fait d’une volupté, d’un bien-être ivre que j’ai peu expérimenté jusquà maintenant, qui m’englobe toute entière. Il me prend bientôt jusqu’à la garde, il a du mal à rester lent, il se retient, ne force pas, je le sens au creux de moi, se pâmer, battre et gonfler, il se penche et me caresse à nouveau les seins, en donnant toujours de tous petits coups de rein, il égrène son plaisir sans me faire mal, je lui en suis reconnaissante, mais je veux le sentir plus fort. Je l’encourage.
— Encore… c’est…. bon… mmm… plus fort… prends-moi toute… viens…
Il accélère.
Me plaque contre le lit.
Me baise le cul à un rythme effréné.
— Plus fort… plus fort… mmm…
Je me cambre, j’ai l’anus qui chauffe, des éclairs dans tout le ventre, je crie mon plaisir, je l’encourage.
— Viensviensviensviens…
Il se tend soudain, tout au fond de mon cul, l’aine collée contre les lobes écartelés de mes petites fesses.
— Oushhhh….
Il se redresse lentement, me replace à quatre pattes, difficilement… Il s’arrête de bouger, sa queue sort presque de moi, il me tient les hanches, de chaque côté, puis me sodomise à nouveau, plus rapidement, mon ventre fait des bonds, la sensation est de plus en plus délicieuse, je ne sais pas s’il avance plus loin dans mes tréfonds ou s’il recule, je tâte son sexe par dessous, ses couilles sont là, contre ma chatte, il me pénètre tout entier, mais je suis suffisamment détendue pour ne pas en ressentir de gêne, juste un plaisir féroce.
— Aah ooooooooooh….
C’est lui qui gémit férocement, il va venir, c’est certain, il tremble et se tend, puis s’arrête encore, tout au fond de moi, je sens son pubis contre les lobes de mes fesses, je me masturbe plus vite, mes doigts entrent et sortent de ma chatte sans discontinuer, je suis trempée et moite, je lui presse les couilles pendant qu’il essaye de retarder son éjaculation imminente. Il se recule, sort complètement de moi, et me retourne. Le bandeau tombe sur ma bouche.
— Mmm…
— Viens, viens !
Il se branle debout, je me redresse rapidement, dégage le bandeau qui tombe sur mon cou, m’agenouille devant lui, bouche ouverte. Il me fixe en souriant.
— Ooooh… viens… ma petite coquine….viens…
Il m’attrape la nuque et me force à avaler sa semence, je fais mine de résister pour l’exciter, mais les jets de sperme qui le secouent et me strient le visage me rendent heureuse et fière, je le suce en riant, toujours soumise, en admirant son corps tendu, sa bite qui m’arrose de semence…
— Avale avale, oh oui, avale avale avale…
Le sperme amer me coule dans la gorge et le long des joues, j’en ai sur les cils – ça va coller à mon mascara – je le suce longuement, même si sa queue vient de mon cul, jusqu’à ce que sa pine dégonfle complètement. Il me caresse le visage et les seins, me sourit.
— Merci, petite nièce, tu es vraiment bonne.
Je m’allonge sur le dos, je replace le bandeau sur mes yeux, j’écarte les jambes ostensiblement et lui dis:
— Viens, à ton tour de me sucer. Et si tu bandes à nouveau, n’hésite pas à recommencer…
Je l’observe à travers le bandeau légèrement transparent. Il sourit et mate ma petite chatte nue.
Je le sens s’allonger sur le ventre, sa tête au creux de mes cuisses.
Sa langue passe lentement sur mon sexe lisse.


Je quitte la chambre d’un pas mal assuré.
J’ai les fesses qui chauffent – j’ai adoré la seconde fessée, mais je n’aurais peut-être pas dû la réclamer – et mal au cul, mais ça valait vraiment le coup.
Du sperme coule encore de ma chatte – il a voulu venir dedans, et c’était top de le sentir se vider dans mon vagin tout serré.
Il faut que je dorme.
La porte de la chambre de maman s’ouvre dans le couloir.
Je m’accroupis et me cache dans un coin – je suis à moitié à poil, et je n’ai pas envie d’expliquer pourquoi à maman.
Je sursaute en voyant Arthur qui en sort.
Que fait-il encore dans la chambre de ma mère ? Ils ont discuté aussi tard dans la nuit ?
Il se dirige vers ma chambre et tourne la poignée.
Je grimace.
Merde !
Il va se demander pourquoi je ne suis pas dans mon lit… Qu’est-ce que je vais lui raconter…?
Vu mon état, il va savoir que je me suis tapée son père… Merdemerdemerde.
Il reste immobile un instant devant la porte, puis se ravise.
Il vient vers moi pour rejoindre sa chambre.
Je me glisse sans bruit dans les escaliers.
Il passe devant sans me voir et entre dans sa chambre.
J’ai eu une bonne vue sur lui… Il avait les cheveux ébouriffés et les fringues froissées.
WTF ?
Je rejoins ma chambre en silence, pensive.
Maman a le béguin pour lui…
…ce n’est tout de même pas partagé ?

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