En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 10

Où je veux, quand je veux.

Le repas de midi s’est déroulé dans la bonne humeur, ivres que nous étions Mélissa, Annie et moi des différents émois de la matinée.
Annie s’est presque montrée décente. Pour faire la cuisine, elle avait mis un tablier court qui épousait admirablement la forme de ses seins. Elle portait aussi une jupe d’été blanche et transparente au travers de laquelle on devinait aisément l’absence de culotte et le galbe généreux de ses fesses.
Chaque fois qu’elle surprenait mon regard intéressé, elle remontait légèrement le tissu, ou le plaquait complètement sur son fessier en pour bien le mettre en valeur, au risque de se faire surprendre par Méli.
Ce petit jeu de séduction était gênant, mais excitant.
Après le repas, Méli est allée chercher une copine à la gare – elles doivent réviser, les examens sont la première semaine de juin – et je suis resté avec Tata pour essuyer la vaisselle. Ou du moins, c’est ce que je croyais.


J’attrape une assiette qu’elle me tend, elle me sourit, malicieuse.
Je bande encore. Je vais passer mes vacances à bander, je crois.
Elle s’approche de moi et me caresse le bermuda en jean, là où c’est plaisant…
– Que les choses soient claires, Arthur…
Elle caresse mes abdos, glisse sa main jusque sous mon boxer et saisit ma queue durcie.
– … c’est où je veux, comme je veux, quand je veux.
Je hoche la tête en haletant.
Je sursaute en entendant la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer, et la voix de Mélissa en grande discussion avec sa copine.
Annie me regarde droit dans les yeux et serre ma bite plus fort entre ses doigts.
– …même si c’est dangereux.
Elle sourit et s’approche.
Je suis comme un lapin pris dans un piège-à-loup. Mélissa va entrer. Elle va nous surprendre. Les voix se rapprochent.
Annie m’embrasse goulument en me masturbant énergiquement.
Je ne peux rien faire. C’est trop bon.
Elle retire sa main et rompt le baiser, me laissant pantelant, torchon dans une main, assiette dans l’autre, juste quand la porte s’ouvre.
– Maman, Alicia est là, on peut réviser dans ma chambre ?
Ma tante acquiesce.
– Je vous porterai le goûter. Ne mettez juste pas la musique trop fort.
Elle me regarde, l’air coquin.
– Arthur m’aide pour la vaisselle.
Je me secoue et me remets à essuyer.
Mélissa hoche la tête.
-Profite, Arthur, d’habitude c’est moi, l’esclave de maman ! Tu nous rejoins après ?
Il y a une fausse innocence dans sa voix qui m’interroge…
– Ok… je ne vous dérangerai pas ?
Méli sourit. Ses taches de rousseur rosissent légèrement.
– Jamais.
– Ok alors. Je peux peut-être vous aider à réciter ou un truc comme ça ?
Elle se passe la langue sur les lèvres et ses yeux pétillent soudainement.
– Quelque-chose comme ça, oui.
Ma tante intervient.
– Il arrive dès que j’en ai fini avec lui.
Je tressaille au sous-entendu à peine masqué.
Méli hausse les épaule, ce qui fait rebondir ses petit seins nus sous son t-shirt serré.
– Ok.
Elle sort. On entend ses pas s’éloigner et grimper l’escalier.
Annie soulève sa jupe.
– À genoux.
Je jette un oeil vers la porte.
Où elle veut, quand elle veut.
Très bien.
Je m’agenouille.
La chatte béante est trempée, les poils sont courts et drus.
Elle m’attrape la tête à deux mains et écarte les cuisses.
J’oublie le danger et plonge ma langue dans la fente salée.

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