En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 13

Tata rase gratis

Je m’étire, encore groggy de ma nuit agitée. Je n’ai pas vraiment eu de mal à trouver le sommeil, mais j’ai rêvé que Vincent et Annie m’invitaient dans leur lit, elle nous suçait tous les deux puis nous la prenions ensemble, en sandwich, l’oncle et le neveu. et au moment où je plongeais ma queue entre ses fesses écartées, mon père entrait et hurlait « Arthur ! Ma propre soeur ! Comment oses-tu !? ».
Réveil en sursaut, sueurs froides.
J’ai eu du mal à me rendormir, après.
Je me tourne.
Annie est là, assise au bord du lit, dans une nuisette noire moulante.
– Bonjour mon chéri. Tu es beau quand tu dors…
Elle se penche et m’embrasse.
– Prêt pour le grand saut ?
Elle glisse une main sous la couette et saisit mon pénis endormi. Je ne porte pas de caleçon. Elle écarte la couette et s’empale sur ma queue soudain énorme d’un coup, en gémissant son plaisir.
– Mmm…
Je me réveille encore.
Argh.


Tata me prépare mon petit déjeuner.
Elle porte un short en éponge rose, qui lui moule le cul de façon scandaleuse, et un haut très moulant au motif Mickey, décolleté en V, qui dessine ses seins nus dessous. Une tenue d’intérieur, façon bimbo limite vulgaire.
J’adore.
Elle verse le café chaud dans mon bol en souriant.
– Mélissa est en cours aujourd’hui.
Nous ne sommes pas dans la même zone de vacances, et Méli a promis qu’elle irait aux cours importants pendant que je serai là.
Je hoche la tête.
– Je sais.
– Elle voulait venir te dire au revoir, j’ai préféré qu’elle te laisse dormir.
Il y a comme une trace d’ironie dans sa voix. Je me demande si elle sait… Elle sourit.
– On est tous seuls pour la journée…
Les battements de mon coeur se font plus rapides.
Elle se penche – ses seins sont vraiment énormes – et me caresse la joue, l’air mutin.
– J’avais pensé aller à la plage de Cap-Nud avec une amie. Tu nous accompagnes ?
Oh.
J’avais espéré mieux.
– Euh… ouais, oui, pourquoi pas ?
Elle me pose un baiser sur les lèvres, visiblement heureuse de ma réponse.
– Déjeune vite, il y a un peu de route. Tu me rejoins sous la douche ?
Elle sourit encore et sort de la cuisine.
J’engloutis littéralement mes tartines.


Quand j’entre dans la salle de bains, elle est nue, assise sur le rebord de la baignoire, les cuisses écartées. Elle se rase les grandes lèvres avec précaution.
Elle lève la tête.
– Ferme le verrou, on ne sait jamais, si Mélissa ou Vincent rentrent…
J’obéis.
Elle me fait un clin d’oeil et reprends la rasage intime.
Ses seins nus pendent et se gonflent d’être pressés l’un contre l’autre. Sa chatte savonneuse est entrouverte, ses doigts protègent le clitoris de la lame, le cajolent, le caressent tendrement à mesure que les poils naissants disparaissent tout autour. Elle garde une touffe courte juste au-dessus.
Je bande.
– Tata ?
– Mmm ?
– Pourquoi tu ne rases pas tout ?
Elle relève la tête, l’air étonné.
– Ça te plairait ?
J’acquiesce vivement.
– J’adorerais.
Elle adopte un air faussement pensif.
– Je veux bien, mais si tu me laisses te faire la même chose.
Me raser la bite ?
– Ok.
Elle semble apprécier ma réponse.
– Approche.
J’obéis, hésitant.
Elle baisse mon caleçon et rit silencieusement en constatant mon érection.
– Mmm… Si vigoureux de bon matin… J’aime te faire cet effet-là, tu sais ? Ça me montre que je suis encore désirable…
– Tu es plus que désirable, Tata. Une bombasse.
Elle rit et se penche et me prend dans sa bouche, lentement, entièrement, amoureusement.
– Mmm… vilain flatteur…
Je sens sa langue onduler, jouer, me masser.
Elle remonte lentement, aspire et suçote jusqu’au gland, qu’elle libère d’un coup de langue bien appuyé.
– Sûr de toi ?
Je me mords la lèvre, queue tendue sous son nez. Comment lui refuser !
– Oui. Et je ne te flattais pas, tu es vraiment belle et… et bonne.
Elle sourit secrètement.
– J’aime ça.
Elle me mouille les poils avec le gant de toilette qu’elle trempe dans le bain chaud, en me branlant doucement. Elle écarte bien les cuisses pour que je sois plus près. Ou que je la mate. Un peu des deux sans doute. J’ai envie d’elle grave ! Elle pose le rasoir sur mon pubis. Je frémis.
– Doucement…
– Tu vois, mon petit chéri, j’ai des fantasmes aussi… Je te rase ta… vigueur…. je pourrai te goûter totalement épilé. Et comme ça, ma petite… minette… toute rasée ne se sentira pas seule.
J’a-do-re.
– Tata, laisse-moi te…
Elle lève un doigt.
– Une fois que Monsieur aura réalisé mon fantasme, interrompt-elle, nous verrons ses désirs.
Waw.
Je me cambre en avant. Annie me savonne abondamment et commence à me raser, méthodiquement, en tenant ma bite d’une main et le rasoir de l’autre. Elle me suce de temps à autres, en continuant de faire disparaître les poils. Je ne suis pas fier, surtout lorsqu’elle entame la tonte de mes couilles en les malaxant dans tous les sens, en les étirant de ses mains délicates, pour ne rien oublier.
– Tourne-toi.
J’obéis.
Elle me fait me pencher en avant pour raser les poils sur mon cul.
Je flippe.
– Devant.
Je me retourne.
Elle se caresse la chatte.
– A genoux.
Je m’agenouille, coeur battant, mais elle reprend le gant et me mouille le torse, avant de reprendre son oeuvre en ponctuant le passage du rasoir par des baisers appuyés. Elle me rince, et me met le rasoir dans la main.
– À toi.
Elle écarte les jambes et me présente sa chatte, ouverte, clitoris bien visible.
Je la caresse et, mû par une force invisible, la doigte, accrochée à la baignoire, tandis qu’elle dévore ma queue nue des yeux.
Elle m’arrête d’un geste.
– Mmm… C’est bon mais au travail, mon chéri.
Je retire mes doigts. Un filet collant se détache. J’adore constater son plaisir. Je n’en reviens pas de lui faire cet effet !
Le rasoir est glissant et humide.
– Tu me dis si je te fais mal, ok ?
Elle hoche la tête en souriant tendrement.
– Mmm mmm.
Je trempe le gant, puis la lame, dans l’eau chaude et savonneuse du bain.
Elle écarte les cuisses ostensiblement. Elle mouille !
J’applique le gant chaud et humide sur la toison courte. Mes doigts glissent sur son envie qui déborde.
– Mmm…
Elle ferme les yeux.
Waw.
La lame brûlante glisse sur ses vallons intimes, tond le gazon léger, laisse place à l’infinie douceur de sa peau nue, une pêche pas tout-à-fait mûre…
J’y vais très lentement.
Je me régale de découvrir la nudité pure de la chatte que j’aimerais tant pénétrer, j’y plonge tantôt le majeur, tantôt la langue, elle me laisse jouer avec elle, elle ondule la bassin, je la goûte et la titille comme pour m’assurer que je ne rêve pas…
Les lames sont aussi silencieuses sur sa peau qu’une plume pourrait l’être.
Je m’attaque aux grandes lèvres, plus molles, plus difficiles à raser, mais elle a déjà fait tout le travail, elles sont déjà douces et soyeuses, les pores nus, hérissés. Elle écarte davantage les jambes, je lui passe le gant chaud sans hâte, je la lèche timidement à chaque nouveau passage de la lame délicate.
Si j’osais…
J’hésite à peine. Elle l’a fait pour moi.
– Retourne-toi.
Je cherche l’épilation parfaite. Elle sourit mollement, coquine jusqu’au bout des seins, et se met à quatre pattes, les fesses en l’air, je pose mes doigts tremblants sur le petit trou en m’attendant à ce qu’elle me tance et me repousse, mais non, elle imprime un petit mouvement qui me montre son accord… je me demande… si je poussais sur mon pouce…
Je ne tente pas le diable, j’appuie l’air de rien sur la pastille tendre qui s’ouvre sous la pression délicate et rase doucement les quelques poils entre ses fesses amples. Elle se cambre et se laisse faire, docile, soumise, la tête rejetée en arrière.
Sans tabou.
Je comprends mieux.
Waw.
Je rince à l’eau chaude et au gant.
Elle attend que j’aie fini avant de se rasseoir sur le bord de la baignoire.
Sa chatte est nue, la fente parfaitement épilée, ça la rend encore plus excitante.
Elle transpire.
Moi aussi.
Elle me regarde presque timidement en caressant ma queue et mes couilles qui n’ont plus un poil sur le caillou. Ça me fait bizarre, mais l’esthétique me plaît.
Elle sourit, l’air incertain.
– Tu es beau.
Je prends ses seins dans mes mains et les soupèse sans honte en pressant les mamelons ramollis par la chaleur humide de la salle de bain.
– Tu es belle.
Elle hoche la tête, pensive.
– Viens.
Elle me saisit fermement la bite et la place sur sa chatte, entre les lèvres luisantes d’excitation.
– Juste une caresse… pas dedans. Compris ?
Je hoche la tête sans comprendre vraiment.
Elle sourit et me fait aller et venir dans la mouille grasse en me masturbant lentement.
Oh, non non. Je veux la sauter, ici, maintenant !
Je pousse sur mes reins, mais elle me maintient fermement au bord d’elle.
– Coquin. Laisse-toi faire, c’est bon comme ça, aussi.
Elle m’embrasse et me branle contre la chatte de plus en plus mouillée, de plus en plus ouverte, je romps le baiser et mate juste ma queue qui suit les plis de la peau de pêche, qui écrase le clitoris boursouflé d’envie, qui luit dans la lumière du néon de la salle-de-bains.
Elle halète en souriant, elle râle, accélère sa caresse, elle ne va pas tenir, elle va me planter dans son vagin et m’y enfoncer jusqu’au couilles, je la supplie du regard, elle s’active sur ma queue, la fait glisser du cul au clito, du clito au cul, de plus en plus fort, de plus en plus vite.
C’est quand elle glisse sa seconde main sous mes couilles et qu’elle les serre avec une douceur infinie que je pars…
Je sens mon corps se tendre violemment et, sans prévenir, le sperme jaillit en longues saccades presque douloureuses, couvrant grassement la chatte de jets blanchâtres. Annie sourit en tirant la jute abondante à deux mains, je n’ai d’yeux que pour le sillon large souillé, qui goutte de ma semence.
Je ris de plaisir, j’hallucine, c’est incroyable ce que ma tante – ma tante !!! – me fait vivre depuis que je suis arrivé.
Je l’embrasse fougueusement, elle rit à son tour.
– Et bien, quelle ardeur ! Ça t’a plu ?
Je ricane, épuisé, ivre.
– Oh oui ! Mmmmmeerci !
Ma queue mollit déjà, mais elle la caresse toujours.
Elle me regarde et soupire, un air doux sur le visage.
– C’est toujours à ce moment que je regrette d’avoir été sage…
Elle passe sa main sur mon pubis soyeux. Je l’embrasse encore.
– Pourquoi tu ne m’as pas laissé…
Elle pose un doigt collant sur ma bouche.
– Tu ne m’as pas donné une bonne raison…
Elle me caresse le torse.
-… mais je dois avouer que c’est de plus en plus dur de résister…
Elle se mordille la lèvre en arborant un sourire de diablotin.
– Qui sait…?
– Tata…
– …on se prend un bain ? Sinon on va vraiment être en retard pour la plage… on a un peu traîné…!
Je souris en acquiesçant.
Elle ouvre le robinet et se glisse dans l’eau sans attendre. Ses gros seins flottent à la surface. Je la rejoins, une seule pensée à l’esprit.
Elle va bien craquer à un moment ou à un autre.

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