En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 16

Coup de chaud

Mes doigts glissent dans la mouille abondante qui coule sans discontinuer et forme des bulles transparentes chaque fois que je les sors du sillon brûlant. Les poils blonds coupés courts sont drus et le frottement contre ma main est un peu plus agréable à chaque passage.
Betty m’a saisi la queue dès les premiers va-et-vient, elle la serre et la masturbe trop lentement pour que je vienne, mais juste ce qu’il faut pour que je sois aux anges…
Elle prend son pied sans se cacher, la croupe en l’air, presque à quatre pattes, elle se balance sur mes doigts qui la pénètrent, sans retenir des gémissements qui deviennent presque des cris, par moments.
Le petit cul ferme est si étroit, la raie si bien dessinée, que je ne manque rien du spectacle, chatte ouverte, anus dilaté, j’ai envie d’y mettre le pouce, d’y mettre la bite.
Annie nous regarde, assise sur sa serviette, les cuisses croisées, serrées. Je jurerais qu’elle se masturbe ainsi, si tant est que ce soit possible.
Betty me tire la pine.
– Viens… oh… viens…
Je marche maladroitement à genoux dans le sable pour me mettre à hauteur de sa tête, sans être sûr que c’est ce qu’elle veut… elle ouvre sa bouche avec un sourire coquin et me lèche le sexe de bas en haut avant de me gober le gland et de le suçoter sans hâte. Elle est magnifique, ma queue dans sa bouche.
Annie gémit. Je lève les yeux vers elle. Elle se presse les seins jusqu’au sang en serrant les cuisses de plus en plus fort
Je lui souris. Betty me suce. Je continue d’enfoncer le majeur et l’annulaire dans sa chatte trempée. Elle est couverte d’une sueur qui fait briller son corps fin et tonique au soleil. De ma main libre, je caresse sa tête et ses cheveux, doux et fins, j’essaye de voir tout à la fois, le vagin blond où disparaissent mes doigts, la croupe cambrée où trône un beau cul étroit rougi par le soleil, la petite bouche autour de mon gland, la langue qui surgit parfois, câline ou sauvage, et Annie, bien sûr, qui m’observe en se griffant les loches.
Betty se tend soudain sur mes doigts, en serrant le cul, je les laisse profondément enfoncés et presse du pouce le clito boursouflé qui darde et bat délicieusement.
– Ooh… ooooh…. oui….
La blonde amie serre sa serviette à deux mains, ma queue oubliée pour un temps, elle tremble et s’agite sur ma main écrasée entre les cuisses. Je me branle en la regardant jouir, je suis au septième ciel.
– Ah… ah… oh…
Elle se détend soudain, essoufflée, repue, les yeux fermés, le front en sueur.
Elle se tourne sur le côté et m’attire à elle, j’ai à peine le temps de mater ses seins qu’elle m’embrasse fougueusement, sa langue dans ma bouche, épaisse, lascive, géniale. Elle me prend les bourses puis la bite dans ses mains et rompt le baiser en soupirant, les yeux brillants, la voix suave.
– Allonge-toi.
Elle se redresse en titubant un peu, l’air épuisé. Je prends sa place sur la serviette. J’ai le haut des épaules en feu. Coup de soleil. Betty s’agenouille, j’ai une belle vue sur ses seins dorés et sur sa fente blonde béante. Elle n’a d’yeux que pour ma queue à la verticale, tendue à craquer qu’elle branle avec soin, des couilles au gland, langue sortie, comme pour y goûter encore.
– Ouh… si je m’attendais…
Elle laisse sa phrase en suspens. Je tends le bras et lui pinçote les tétons, qui durcissent immédiatement. Annie nous rejoint et s’agenouille de l’autre côté, en miroir parfait de sa copine blonde, les nichons plus gros, la chatte plus lisse.
– Permettez ?
Les doigts de ma tante se mêlent à ceux de son amie sur ma bite tendue, elles me masturbent à deux et quand Betty se met à quatre pattes et me donne des coups de langue sous le gland, Annie l’imite, leurs deux bouches se mélangent autour de moi, elles s’embrassent en dégustant le gland, elles se lèchent en me léchant.
Je n’ai jamais eu la queue si grosse, si gonflée, si prête à gicler. Des veines foncées parcourent le piquet dressé que les deux femmes nues s’échinent à satisfaire, le gland est un champignon rouge garance, sensible, qui bat à chaque fois qu’une pointe de langue le titille, à chaque fois qu’un pouce le presse, qu’une paume le caresse.
Je ne reste pas inactif. Je passe mes mains sur les deux culs cambrés, en apprécie le moelleux, les courbes, la fermeté, puis je parcours les deux raies écartelées, et, de chaque côté, j’enfonce d’un trait mes majeurs et annulaires dans les sillons des chattes inondées de mouille.
Elles geignent et sourient et me sucent chacune leur tour, je suis entre sable et ciel, bras écartés à la perpendiculaire, deux vestales nuent me gobent le clou, je suis un dieu pour quelques instants.
Betty n’y tient plus, elle m’enjambe et colle sa chatte contre ma bite, qu’elle frotte en ondulant le bassin.
– Est-ce que tu es puceau ?
Si l’on excepte la fois où Tata s’est empalée sur moi…
Je l’embrasse sans répondre en lui pressant un sein, ferme et plein.
Elle balance son bassin et écrase la fente grasse sur mon gland – je manque de venir.
– Mmmm… ça veut dire oui… je peux arranger ça, tu crois ?
Elle passe sa main entre nous, ses seins au-dessus de ma bouche, et saisit ma queue qu’elle place au bord de l’antre moelleux et brûlant. Il me faut toute la volonté du monde pour couiner:
– …attends… Annie, d’abord.
Elle sourit.
– Oh, ce jeune garçon veut que Tata soit sa première, je vais être jalouse, tu la choisis parce qu’elle est plus jeune ?
– Hein ? Non ! Tu es magnifique ! C’est juste…
Elle rit.
– …que tu aimes ta tante, je sais, je plaisantais…
Annie, qui s’empalait toujours sur mes doigts, les seins dans ses mains. se redresse, l’air troublé.
– Oh… mon chéri… C’est mignon…
Je souris.
– Viens…
Elle secoue la tête, l’air désolé.
– Non, je ne crois pas, non. Laisse Betty, je reste là, tu auras mes seins et mes lèvres, imagine que c’est moi, d’accord ?
– Tu vas adorer, mon petit…
Betty se frotte le clito avec ma queue. Je serre les dents et supplie Annie du regard.
– Je veux que ce soit toi, ma première…!
Ou Mélissa, mais ça, je ne lui dis pas.
Elle sourit et chuchote à mon oreille:
– …tu ne m’as pas donné une bonne raison… laisse-toi faire…
Je capitule.
– Ok…
Betty me place lentement entre ses jambes tandis que Tata m’embrasse avec ferveur.
Elle me glisse tout doucement dans sa chatte étroite et pousse dans hâte.
Elle gémit.
– Ouh… je respecte… regarde où je vais te mettre…
Annie se tourne et s’exclame:
– Betty !
Je relève la tête.
La chatte de Betty, accroupie sur moi, est bien visible, les lèvres rose-rouge ouvertes, dégoulinantes de mouille blanchâtre. Elle a glissé le gland entre ses fesses et le presse contre son petit trou qui s’assouplit à mesure qu’elle me pousse à y pénétrer.
Le haut de mon gland se fraye un chemin, je le vois disparaître et réapparaître, tandis qu’elle se tend et gémit en souriant.
C’en est trop.
J’essaye de me retenir, mais j’explose. Elle rit en me masturbant dans les plis de son cul et contre sa chatte, tandis que mon plaisir gicle dans ses doigts, sur mon ventre, partout.
– Oh… Oh…
Elle se décale alors et Annie me prend dans sa bouche et me boit à la source, avec une fougue sauvage, je sens qu’elle a envie de moi, je ne sais juste pas comment la faire craquer…
Betty s’agenouille dans le sable, le cul gouttant de sperme, et me plaque ses seins sur le visage, que j’aspire avec bonheur en glissant à nouveau mes doigts dans sa chatte souillée de ma semence.
Elle gémit, soulagée et s’enfonce sur mes doigts en va-et-vient rapides.
Elle ne met pas longtemps à venir.


Tata me suce encore après que je sois vidé et bu, nettoyé, rassasié.
Betty est venue en m’écrasant la main entre ses cuisses serrées, elle est allongée à côté de moi, ma main sur son sein, sa tête au creux de mon épaule, elle a fermé les yeux et me caresse le torse amoureusement.
Je suis comblé comme jamais.
Je regarde les dunes, la mer au loin où quelques personnes jouent dans les vagues, totalement nues elles aussi…
Je caresse les cheveux d’Annie, toujours occupée à essayer de réveiller mon pénis repu, un sourire doux éclaire ses lèvres quand elle croise mon regard.
C’était risqué, quand même.
Et si on nous avait vus ?
La honte.
…risqué ?
Je souris.
Je pense que je sais exactement comment convaincre ma tante de me laisser la sauter.
Il faut juste que j’ose.


L’après-midi n’est qu’un long câlin et un plaisir pour les yeux. Les miens, du moins.
Voir Betty et ma tante jouer dans les vagues glacées, la chair de poule leur hérissant les seins, faisant darder et foncer les tétons saisis… un délice.
Voir Annie passer de la crème à son amie, avec une infinie douceur et des mains qui se promènent sur la poitrine, entre les cuisses… un bonheur,
Voir ces moments où, replaçant leurs serviettes, l’une et l’autre se cambre, à quatre pattes, me présentant sans le vouloir leurs postérieurs et leurs sexes encore émus… une tuerie !
Et Betty qui flirte avec moi dans la voiture sur le chemin du retour, sous les yeux bienveillants d’Annie, qui conduit… qui me promet de me revoir, chez elle, seul… et de réussir à me prendre là où elle voulait me prendre tout à l’heure… ça, aucun mot ne peut le décrire. Incroyablostupéfiantimpossiblochancexcitantbandant, peut-être. Et encore.
Oui, dans l’ensemble, j’ai passé un très bel après-midi.

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