En famille,  La Plume de Florean,  T(an)tation

T(an)tation – Chapitre 17

Travaux dirigés

Lorsque l’on arrive enfin à la maison, Méli me saute au cou.
– Enfin ! Je me suis ennuyée de toi ! Tu t’es bien amusé ?
Je souris en aidant Annie à sortir les serviettes mouillées du coffre.
– Oui, c’était sympa.
Annie a un sourire secret.
Mélissa me tire par le bras et me traîne dans la maison.
– Viens, tu vas m’aider pour mon TD !
Elle monte déjà les escaliers vers sa chambre.
Oh oh.
Annie me sauve sans le savoir.
– Mélissa ! Arthur doit d’abord prendre une douche, on s’est baigné et on est plein de sable ! Vous ferez ça après-manger.
J’entends Méli marmonner puis s’exclamer:
– Ok !
Je respire.
J’espère que je serai remis de mes émotions après le dîner… Ma cousine a une manière bien à elle de préparer ses TD.
Je pose mes affaire dans la chambre, je prends de quoi me changer, et je vais dans la salle de bains.
Tata y est déjà.
Elle sourit en se déshabillant.
– Pas cette fois, mon chéri, Mélissa pourrait nous surprendre.
J’hésite, puis j’avance vers elle et je la prends dans mes bras, avant de lui presser les seins et de l’embrasser.
Elle rit.
– Arthur… méchant garçon… obéis à ta tante.
Sa voix montre qu’elle n’est pas fâchée. Ses caresses dans mon dos, ses baisers dans mon cou et sa main qui me prend les couilles fermement et les serre avec un rien d’avidité, aussi. Je passe mes doigts le long de sa chatte pour lui montrer que j’ai envie, mais je recule après un dernier baiser.
– Ok, tu as raison, mieux vaut ne pas tenter le diable. Bonne douche, Tata.
– Mmmh… merci, Arthur.
Elle a répondu avec une note de regret, je souris encore en poussant la porte.
Elle aime le risque, elle me l’a dit. C’est parfait.
Et puis… je suis rassuré: je peux encore bander aujourd’hui.


– Et ce TD ?
Méli a commencé à m’embrasser à peine la porte fermée.
– Mmm… un prétexte pour… mmmh… être seule avec toi…
J’apprécie les baisers, mais je temporise. Il est encore tôt, Vincent ou Annie pourraient nous surprendre.
– Tu… mmm… ne veux pas qu’on se fasse une… mmm… promenade avant ?
Elle me fixe, l’air mutin.
– Avant quoi, cher cousin ?
Je ris en lui pelotant les seins.
Elle me glisse une main dans le bermuda et sens ma peau nue.
– Avant que tu ne commences à me déshabiller, chère cousine.
– Mmmm… tu t’es fait une beauté pour moi… Je peux voir ?
Je fais une moue ironique.
– Tu vois ce que je te disais ? On va se promener ?
Elle fait la fausse offusquée.
– Regardez qui parle ! Mais… tu me donnes une idée… Viens.
Elle retire sa main, prend son sac et y fourre deux serviettes.
On descend les escaliers.
– M’man, on va faire un tour à la rivière !
Annie répond de loin.
– Ne rentrez pas trop tard, tu as des cours, demain, chérie.
– Promis !
Elle me prend par la main et me traîne presque dehors. Le ciel est rouge-orangé, le soleil presque couché, la nuit va bientôt tomber.
– On va à la rivière pour de vrai ?
Elle pouffe à ma formulation.
– Bah oui, pourquoi ?
– Rien, juste il va faire bientôt nuit, on ne va rien voir. Ce n’est pas un peu dangereux ?
Elle rit.
– No-on ! Je l’ai fait plein de fois, avec des copines. C’est chouette de se baigner dans le noir, et l’eau paraît plus chaude. Et puis ce n’est pas profond, tu sais bien.
– Ok.
On chemine gaiement, main dans la main.
Des vraies vacances, quoi.


Les abords de la rivière sont déserts. Il fait presque nuit, maintenant, je ne distingue plus les énormes rochers plats que par les reflets de la lune encore pâle.
Méli m’attire à elle et me baisse mon bermuda.
– Allez, tout nu !
– De quoi ?
– Bain de minuit avec ta petite cousine… Lève les bras.
Elle m’ôte mon T-shirt, puis mon boxer.
Elle touche longuement mon pubis rasé de frais et mes couilles nues.
– J’adore…
– Mélissa… si on nous surprend ?
– Dans le noir ? T’inquiète, je l’ai fait plein de fois.
Je me demande avec qui…
Elle s’accroupit.
– Tes shoes aussi.
Je me retrouve à poil, dehors, pour la deuxième fois de la journée.
Mélissa se relève.
– À mon tour.
Elle ôte ses vêtements, j’ouvre grand les yeux pour essayer de la voir nue, mais c’est à peine si je distingue les pointes de ses seins.
Elle me prend par la main.
– Viens.
Je frissonne un peu, les soirs sont encore frais, et l’idée de me baigner dans le torrent glacé m’inquiète un peu.
J’entends le clapotis de ses pieds qui entrent dans l’eau. Elle rit.
– Oush ! Ça réveille !
Je la suis à tâtons. Un pied, puis l’autre. La lame fraîche me saisit jusqu’aux os. Je ne peux m’empêcher de rire aussi.
– La vache ! On va pas se baigner là-dedans !?
Elle m’embrasse sur la joue puis sur les lèvres.
– Après, quand tu te seras habitué à la température. Viens.
– Ou quand je ne sentirai plus mes pieds !
Elle pouffe. Son rire est aussi léger et riche que les tintement de l’eau de la rivière.
– Tu es bête. Viens. Il y a un grand rocher plat qui sera parfait pour nous. Attention où tu mets les pieds, ça glisse.
Elle me tire par la main. On voit que dalle. L’eau me monte jusqu’aux mollets et les galets sont tous plus casse-gueules les uns que les autres.
Je glisse un peu, ça éclabousse. Heureusement, elle s’arrête bien vite.
La Lune est basse, mais elle éclaire son visage lorsqu’elle se tourne vers moi, timide.
– C’est là.
Elle me prend dans ses bras et m’attire tout contre elle. Ses petits seins sont gelés sur mon torse. On s’embrasse. Elle s’assied puis s’allonge sur le rocher froid, je la suis, elle me tient le visage dans ses deux mains, me dévore la bouche de ses baisers brûlants, elle écarte les cuisses et colle son sexe contre ma queue qui durcit douloureusement – j’ai beaucoup donné aujourd’hui, mais pas assez, manifestement.
On n’entend que nos langues qui se mêlent, nos lèvres qui s’étreignent, les clapotis de l’eau sur les berges, le vent doux dans les arbres.
Elle est essoufflée.
Moi aussi.
Elle me regarde dans le noir, les yeux brillants. Elle me caresse le dos, passe ses mains sous moi, et m’attrape la bite, qu’elle guide dans ce sillon chaud qui m’obsède depuis quelques jours…
Nous ne nous quittons pas des yeux à mesure que je me fraie un chemin en elle, ses doigts m’agrippent fermement, me plantent dans le creux délicat, elle s’ouvre, coule autour de moi, elle se cambre et me cale, sans plus oser respirer. Enfin, elle me relâche, me caresse le corps, m’appuie sur les fesses pour que je fasse le reste du chemin, pour que je lui montre que j’accepte son offre…
Je l’embrasse sur les lèvres, immobile, et me glisse au fond d’elle, sans me presser, en silence, elle fond et se détend, c’est étroit, serré, sa chatte m’étrangle la queue, c’est divin, je me perds dans les sensations nouvelles, elle gémit son plaisir, je retiens le mien de peur de venir trop vite.
– Han… oh…
Quand Tata est montée sur moi et m’a mise en elle, durant les quelques secondes que ça a duré, j’ai été envahi d’une chaleur intense, c’était mou, grand, immense, incroyable de profondeur.
Méli, elle, contracte la chatte, m’aspire et veut me sentir, elle me masse de sa vulve étriquée, je sens chaque centimètre de ma bite lutter pour pénétrer l’espace élastique et humide, combattre pour la remplir entièrement, elle m’enserre de ses jambes, elle crie sa satisfaction qui résonne en échos aigus sur les rochers, dans le creux des arbres.
– Mmm… mmmm…. Ah !
Elle se crispe soudain, elle me fait aller plus vite, accélérer, je la dompte, je la chevauche, ma poulaine sauvage, elle m’embrasse et jouit autour de ma queue , j’ai à peine conscience de mes bourses qui effleurent dangereusement le rocher, qui tapent contre ses fesses.
– Ooooh… oooh… oh…
Elle respire haut et vite, son corps est en sueur, son ventre plat vient caresser le mien, au rythme de sa respiration.
Elle se détend, semble fondre sur le rocher, mon sexe est trempé de ses liquides, j’ai envie de venir, je la lutine lentement en la couvrant de baisers, je bute au fond de son vagin étroit, c’est juste magique.
– Mer…ci…
Elle rit sans bruit.
– Oh… merci… viens…
Elle me repousse, me sort d’elle et me prend dans sa main.
– …dans ma bouche. Je ne sais pas si j’ai beaucoup saigné mais…
Elle se redresse et me gobe sans attendre.
Sa bouche aussi est étroite par rapport à celle de sa mère, mais sa langue, pointue et vive, se délecte des saveurs de sa chatte sur mon gland, elle me branle d’une main en me pressant les couilles de l’autre, c’est trop excitant…
– Oushhhh….
Je sens le sperme monter et lui gicler au visage, elle me vide contre son nez, sa langue récolte les amas dégoulinants, je ne vois rien que sa tête dans le noir qui se balance dans tout les sens pour me lécher partout, me sentir partout, m’avaler aussi loin que lui permet sa petite bouche, me cajoler jusqu’à mon dernier spasme, ma dernière gouttelette de plaisir.
Je dégonfle immédiatement, ce qui n’est pas très étonnant après la journée passée entre Betty, Tata et Méli. Je me recule et m’allonge à ses côtés, sur le rocher plat et gelé.
Elle se tourne et me caresse le visage sans parler, en me regardant à la lueur de la lune.
Je souris.
C’était une journée parfaite.
Elle m’embrasse tendrement et frissonne dans la nuit.
– Ça pèle un peu, non ?
Nos rires résonnent longuement dans les rocailles érodées de la rivière.


– Bonne nuit, Arthur.
Vincent est couché, Méli aussi, il ne reste qu’Annie et moi, qui glandouille en zappant devant la télé.
Annie est en nuisette transparente.
Pas de soutif, mais une culotte.
Elle se penche et m’embrasse, j’ai une vue royale sur la falaise qui sépare ses seins massifs.
Je les caresse par-dessus le tissu soyeux. Elle se laisse faire.
– Bonne nuit, Tata.
Elle sourit contre ma bouche.
Elle se relève.
– Fais de beaux rêves, mon chéri.
Je me redresse.
– Attends.
Elle reste debout devant moi.
– Oui ?
Je souris.
– Tourne-toi.
Elle obéit, curieuse.
– Enlève ta culotte…
Elle se penche en avant, soulève sa nuisette, et ôte le vêtement en me montrant ostensiblement son beau fessier.
Je passe ma main sur les lobes rebondis et au creux de ses cuisses.
Elle me tend la culotte.
Je la saisis et rajuste la soie sur ses fesses.
– Bonne nuit, Tata.
Elle me regarde un instant, l’air incertain.
Puis elle grimpe debout sur le canapé et me présente sa chatte nue.
Je souris en y plongeant le visage.
Je ne peux plus bander aujourd’hui, mais je peux toujours me régaler autrement.
Et je suis rassuré.
Elle aime vraiment le risque.

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